Ambiguïté

femme et le lieu v.6 à 12 Oxymore v.7 + rapprochement paradoxal de l’idée de lumière et de celle de larmes v.12 V.9 à 12 : caractéristiques de cette femme « charmes », « mystérieux », « traitres » Diérèse + enjambement Ambigüité de la relation Rapprochement mystérieux Ambigüité de cette femme, insaisissable Fascination du poète pour une femme insaisissable Mise en valeur du mot « mystérieux » Un lieu indéfini, irréel, intemporel Oxymore v7 V.15-16 V.26, v3, adverbe « là » ds

ambigus. Ils ne sont pas univoques, mais ont plusieurs sens. C'est le cas des homonymes: un même mot est synonyme de l'adjectif pratique et désigne un meuble. L'homonymie, dira-t-on, est exceptionnelle. Mais il y a une ambiguïté dont chaque mot est nécessairement affecté, une ambiguïté essentielle, propre à tous les mots, qu'on appelle polysémie. Un mot ne signifie pas seulement ce qu'il désigne ou dénote, mais aussi tout ce qu'il connote ou suggère. Chaque mot contient des significations implicites

que l’on se souvient de nous mais notre manière d’être, notre façon de penser, nos actions. CONCLUSION : C’est pour cela qu’entre avoir et être un corps il y aura toujours ambiguïté Alors quel est le statut du corps ? Est-il intériorité ou extériorité ? Ne sommes nous pas contraint à admettre l’éternel ambiguïté et l’impossibilité de la dépasser ?

extérieur Dans un second temps, l’on constate deux espaces qui s’interpénètrent. Les lignes de fuitent de la vitrine et du prolongement de la rue ce confondes. Déplus, la paroi isole les personnages tout en créant une grande ouverture. Il y a une ambigüité intérieur/extérieur. Pour ce qui est de la lumière, nous somment en présence d’un éclairage intra-diégétique venant du plafond du bar. Les sources lumineuses très blanche du bar probablement des néons qui éclaire aussi bien l’intérieur que l’extérieur

: espoir/désespoir) L’auteur exprime ici le regret du bonheur passé, et le désespoir actuel (passé/présent) Typographie du poème fait penser à un pont (arches du pont: distiques, et piliers représentés par quatrins) Ambiguïté dans distiques : Apollinaire veut mourir? Ambiguïté tout au long du poème, car dans certains vers, on ne sait pas s’il faut s’exclamer ou s’interroger. B) le mouvement et l’immobilisme L’eau, le temps( éternels), les amours. Le texte s’écoule sans ruptures, v.1 et

femme ». → Chez Fragonard Fragonard joue avec les « ambiguités » et la « polymésie » de l'image : en littérature, ce style est appelé « marivaudage », dérivé de l'auteur de théâtre Pierre de Marivaux à qui l'on doit entre autres, la Surprise de l'amour, le Jeu de l'Amour et du hasard en 1730. Il sera réputé pour ses œuvres considérées comme « libertines » suggérant plastiquement le « désir amoureux par des scènes troublantes par leur ambiguité visuelle ». Le verrou, 1778 Clair-obscur, ligne

dans les 2 cas : le contrat est préparatoire : même la promesse synallagmatique, pourtant si proche de la vente, ne fait que préparer l’acte qui l’entérinera définitivement avec tous ses effets envers les tiers. Les promesses unilatérales : Ambigüités terminologique : les promesses unilatérales sont celles par lesquelles une seule des parties s’engage à vendre ou à acheter tel bien à telles conditions tandis que l’autre conserve le choix de conclure ou non : celui qui s’engage est le promettant

l'absence de lecture univoque. Enfin le dialogue entre le dessinateur et le poète s'élargit jusqu'à inclure le lecteur dans l’œuvre, lui exposant toute son ambiguïté et le poussant à bâtir un sens. La lecture de l'ensemble textes et dessins doit tenir compte d'une triple ambiguïté qui les constituent. En premier lieu une ambiguïté syntaxique, conséquence de certains partis-pris sur lesquels repose l'écriture poétique contemporaine du XXe siècle, qui ne donne pas un sens prédéfini au texte

(Baudelaire essaye établir liens écriture, peinture, musique.) III Rapport strophes/refrains -refrain exprime déjà envie d’aimer -amour : relation paysages lumineux, imprécis ex : vers 7 : « soleil mouillé »←presque oxymore. -Fascination, ambigüité de la Femme ← mise en valeur vers 9-10 par la diérèse « mystérieux ». Cela peut aller jusqu'à une certaine cruauté vers 11 : « des traitres yeux » ←vie, mort, plaisir, lumière : rassemblés. -vers 39-40 paysages + de rêve que réel -Vers 35 « les

ses semblables suite à ses progrès mentaux, il va se contenter de s’accommoder d’autrui sans créer de relation conflictuelle. C’est alors que, grâce à ces rapports non litigieux que l’Homme va s’épanouir parmi les autres et créer des liens sans ambiguïté de rapport de force. Sans cette innocence, l’être humain ne parviendrait pas à s’associer durablement et sincèrement avec les autres. L’Homme va ensuite se rapprocher de son état de nature qui le mène à ne pas évaluer l’importance de la vie humaine