Ambivalence

même rôle : ▪ L’or ▪ Les bijoux ▪ L’art ▪ L’immobilier |Nota Bene : ces fonctions de la monnaie peuvent être contradictoires : | |Il y a ambivalence de la monnaie : doit être dépensée mais peut être conservée ( une monnaie doit être suffisamment rare pour être | |gardée mais pas trop non plus pour servir dans les échanges

imparfaite semble l’emporter. En effet, ce cadre très contraignant est fictif, les hypothèses de CPP ne sont jamais pas réunies. à quelques exceptions près (marchés financiers, marchés de matières premières). Le mot concurrence porte en lui toute son ambivalence : qui dit concurrence dit compétition, mais encore fait-il qu’il y ait suffisamment de concurrents pour qu’ilsne puissent influer sur les prix. C’est le cas des monopoles (un seul offreur pour une infinité de monopoles), des oligopoles (quelques

sans plus personne à qui parler, à qui donner des ordres – mais continue à tromper cette solitude et à maintenir la dimension du dialogue jusqu’au bout (avec son « Vieux linge » : « Toi – je te garde », même si c’est avec un objet inanimé) 3/ Ambivalence phrase clé du passage « Vieille fin de partie perdue, finir de perdre. » a au moins deux sens : - valeur performative pour dire la fin, avec la multplication des redondances – dimension pléonastique au sein de chaque syntagme « fin de partie

puisqu’elle est la réunion des contraires. 2. Une femme difficile à comprendre Jeanne se donne sans se donner «Ses yeux où rien ne se révèle». Elle garde tout son mystère. Strophe 4, les antithèses doux/amer, or/fer soulignent à nouveau les ambivalences de Jeanne. On dit souvent que les yeux sont le miroir de l'âme, or ici rien ne se révèle. Le poète ne peut atteindre l'âme de Jeanne. Il peut avoir son corps mais pas son âme. C. La situation du poète 1. Le poète enivré On peut parler

sont loquaces→raison de leur bavardages absurde . « raison » c’est normalement tous ce qui est raisonnable mais ici rien ne l’est → les personnages se moque t’il ou se prennent t‘il au sérieux ?→ambivalence des discours 2) Se Devellope au cours du discours Le sujet est lancer l 8, « voix mortes », c’est un oxymore. Se sujet tombe a l’improviste→absurde,

-Enfin, le langage engendre l’asservissement inconscient de son propre esprit. Une langue=une culture. « Une langue est un prisme… » Et plus profondément, sans langage pas de pensée consciente, c’est-à-dire pas de pensée. Hegel. EXPLIQUER III. Ambivalence de l’ « outil » langage : on peut dominer ce qui nous domine, à condition d’abord d’en prendre conscience. Désaliénation. -Ce qui limite permet : ainsi, être obligé de parler une langue pour penser permet de penser et ensuite de penser à ce qu’on

impi et volage. Ce portrait émane de Sganarelle qui se révèle, à travers son discours et son attitude, naïf, crédule, malsain et fasciné. Comment faut-il interpréter un portrait de son maître aussi peu objectif ? Dom Juan apparaît dans toute cette ambivalence, est-il un monstre qui méprise rien ni personne, un libre penseur affranchi des croyances religieuses ? Sous couvert de critiquer le libertinage de mœurs, Molière ne fait-il pas l’apologie d’un autre libertinage d’esprit qui consiste à rejeter tous

perfectionnés que sont les machines. Hannah Arendt écrit : " l'outil le plus raffiné reste au service de la main qu'il ne peut ni guider, ni remplacer. La machine la plus primitive guide le travail corporel et éventuellement le remplace tout à fait. " Ambivalence du progrès technique : Formulé dès le XIXe siècle par Marx, le problème est, en fait, que la technique n'est pas neutre. Maîtrisée par une minorité, concepteurs et propriétaires des machines qui accroissent l'efficacité du travail humain, ou auteurs

pour vivre ? ») - Les sujets proposition/citation : ex : « Le Moi haïssable » (Blaise Pascal). « Je suis ce que je ne suis pas ». « S’accorder avec soi-même ». 3. Comment lire les sujets ? - sujet à une notion : Il faut chercher les ambivalences, les contradictions, les paradoxes, les contrastes, les dualités, les ambiguitées… Par exemple : « l’égoïsme » est un reproche mais est-il nuisible pour autant ? Il faut faire dire « Ce n’est pas si évident ». « Nous cherchons tous notre utile

remarque, on relève, repérer, observer, mettre en évidence… Déduction : relever, suggérer, renforcer, témoigner, accentuer, amplifier, mettre en valeur, traduire, valoriser… Articulateur : de plus, de surcroît, en outre, en effet…. Mots clés : ambivalence : ambiguïté des propos. Homme damné, fatalité. Cathartique : Eveille la pitié Didactique : apporte une morale. Auteurs : Montaigne : Auteur du 16°s Œuvres : Les Essais. André Malraux : Ecrivain français et auteur majeur du XX°s, ministre