Ambivalence

contradictions irrésolues. Le sonnet « Mon rêve familier » (1866) relate la rencontre en songes d’une femme idéale, | mais insaisissable, une femme aux contours flous et indéterminés, révélateurs de la vie intérieure ambivalente du locuteur. | Cette ambivalence se manifeste dans les caractéristiques doubles et oppositionnelles de cette femme avec qui il partage sa tristesse et qu’il semble vouloir rejoindre jusque dans la mort. La dualité de la femme aimée se perçoit dans son caractère inconnu et familier

Evocation du naufrage : l'île est donc le lieu de tous les dangers. La didascalie initiale souligne cette localisation particulière. Les personnages sont coincés dans un espace réduit bordé par une mer sauvage, et sont menacés par des indigènes cruels. Ambivalence de la mer qui tue les compagnons, mais qui permet aussi de fuir. * III : Champ lexical du péril : le risque de mort ('noyés'/'morts de faim'/'tuer les maîtres'/'danger de perdre la vie') et la volonté de survie ('happé/'bonheur d'aborder'/'eau

lézarde ce qui connote - en contradiction avec « l’alme, douce, humide, et restaurant flame » - le serpent qui est facilement associé au monde des morts et de la nuit. La femme est donc fatale, tentatrice et séductrice. On remarque d’ailleurs son ambivalence entre douceur et violence puisque ce sont les termes antithétiques « de coups » et « si doux » v.15 et v.16 qui riment ensemble. Malgré tout, la femme a un pouvoir positif sur le poète puisqu’il s’éloigne de la mort. Enfin, une ultime partie

de codes ou d’œuvres traditionnels dans le fait qu’elle revisite des œuvres pour en faire une œuvre nouvelle à but satirique, critique ou simplement comique. Ne peut-on pas alors penser que cette relation est représentée en littérature par une ambivalence ?

puisqu’elle est la réunion des contraires. 2. Une femme difficile à comprendre Jeanne se donne sans se donner «Ses yeux où rien ne se révèle». Elle garde tout son mystère. Strophe 4, les antithèses doux/amer, or/fer soulignent à nouveau les ambivalences de Jeanne. On dit souvent que les yeux sont le miroir de l'âme, or ici rien ne se révèle. Le poète ne peut atteindre l'âme de Jeanne. Il peut avoir son corps mais pas son âme. C. La situation du poète 1. Le poète enivré On peut parler

rapport avec l’innocence de DG, Manon abuse de celle-ci ; « mon cœur » = omniprésence des sentiments - LYRISME - • Tout est malgré lui. • Discours narrativisé => amour éclairé vs amour aveugle. • Amour passionnel et sensuel => « enflammé » : ambivalence du feu ; beau mais trop intense (d’ailleurs insisté par l’hyperbole).• Manon = femme d’expérience => prolepse sur la suite de l’histoire ; elle était censée aller au couvent (ses parents l’avaient envoyé) ; assume son penchant pour le plaisir

Doute vis-à-vis d'Alcandre. - " l'enfer devient muet quand il me faut répondre, Ou ne me répond rien qu'afin de me confondre" -- > il est désespéré car les enfers le laissent dans une ambivalence déjà visible dans le premier chiasme: les idées sont croisées mais ne lui apportent aucune réponse. - La recherche est vaine de toutes les manières: - énumération accumulatrice au vers 34 " Le po,.." Elle entraîne la souffrance

compliqué d'expliquer sa (( religion », et surtout .ra religion, entre parenthèses, travestie !!] • Or, ce poème, Une charogne, semble bien un poème atroce, plein de sombres pensées, de haine, peut-être, envers la femme aimée. [= femme aimée et haie, ambivalence des sentiments, très baudelainenne !] Un poème provoquant, qui veut faire violence au lecteur, qui veut le choquer: on a pu le considérer comme obscène, blessant la pudeur. • Le poète rappelle à la femme aimée un souvenir: lors d'une promenade amoureuse

la machine, entre défaillance de la main de l’homme à reproduire la réalité et capacité de la machine à y être fidèle. Le cinéma est en effet l’art qui, par excellence, ne construit pas l’imaginaire contre le réalisme mais à partir du réel .Ambivalence originelle qui suppose et s’accompagne dans la pratique d’au moins deux tendances elles aussi originelles, d’au moins deux manières d’envisager le cinéma : l’une dans sa stricte capacité à reproduire le réel, l’autre dans son potentiel technique

d'espoir et de vertu chez Lorenzo. Cependant après la mort du duc, il perd toute humanité , il apprend la mort de sa mère et fait lui même face à la mort. Conclusion: Le héro se présente donc selon un aspect particulièrement ambivalent. Ambivalence qui se manifeste dans son rapport à Alexandre dont il est à fois le complice et l'opposant. Et dans des rapports qui montrent sa vertu comme avec Phillipe. Au fil de la pièce , on aura pu voir plusieurs surnoms que lui donne chaque personnage ,