Ambivalence

« Vaut-il mieux se perdre dans la passion qu’avoir perdu toute passion? » « L’épée use le fourreau, dit-on quelque fois. Voilà mon histoire. Mes passions m’ont fait vivre, et mes passions m’ont tué. ». Cette citation de Rousseau met en exergue l’ ambivalence de la passion. «l’épée use le fourreau» signifierait que le fait de s'adonner à nos passions comporterait le risque d'amenuiser nos forces, qu'elles soient physiques ou spirituelles, et pour Rousseau, bien qu’elles aient été un moteur de vie

└ - strophe 6 : les bruits inquiétants de la tempête à l'air libre -3- Oh ! sur le pont, là-haut, le vent long et féroce... ┌ - mouvement de recul, de peur ? Sens de cette exclamation ? ┤ └ - mouvement d'envie ? Le poème se termine sur cette ambivalence très caractéristique du tempéramment de Barnabooth. Conclusion Composition en apparence très décousue, succession d'impressions juxtaposées : ce qu'il voit, ce qu'il pense, ce qu'il entenD... Mais le poème est toutefois susceptible de s'organiser

le poète est timide, il a peur d’exprimer ce qu’il ressent. Cette idée est avant tout mise en avant au vers 6, puisque le poète se décrit comme une personne dont la « crainte [le] rend glace ». Malgré son amour pour cette femme, on constate une ambivalence dans les sentiments amoureux du poète. Du Bellay traduit les difficultés de l’amour par sa dangerosité. Ces sentiments qu’il éprouve le mettent dans un embarras extrême, puisque la glace, c’est la froideur, la dureté, et ce aussi bien au sens littéral

étonné mille fois, en y réfléchissant, d'où me venait alors tant de hardiesse et de facilité à m'exprimer ; mais on ne ferait pas une divinité de l'amour, s'il n'opérait souvent des prodiges. En fait tout le roman, comme la vie, est bâti sur cette ambivalence qui représente le bonheur de l’amour et la fatalité de la passion. II. Les circonstances : La promenade anodine 1- Innocence, banalité de l’étudiant provincial et désoeuvré. Nous n'avions pas d'autre motif que la curiosité. Peut-on croire les

du je qui peut interprété comme un retrait. Autre figure du retrait : mention politique et critique insérées dans les fables : thème omniprésent (règne louis XVI). Le singe = projection de la figure de La Fontaine ? ▪ Incursion du je Ambivalence entretenue par La Fontaine dans ce je qui s’exprime dans le plan politique que par des prétéritions : fable 1 du livre 12. il nous échappe en tant que moraliste ; se dérobe. Présence de ce je de l’auteur personne pose la question de l’évolution

(l.35 et suivantes) > réveil de souvenirs cauchemardesques - chp lex du « laisser-faire » qui rejoint le nazisme (l'Europe savait et n'a rien fait) : « tolérées »12, « ça passera »21, « on se tait »22, « supporté »26, « on a fermé l'oeil »27 - ambivalence victime/coupable : « victime »25, « subir »26// « complice »25, « supporter »26 > mise en valeur de l'analogie nazisme/colonisa° - violence de l'ironie:« très distingué, très humaniste, très chrétien-bourgeois du Xxe s »34 Césaire se moque des valeurs

AMBIVALENCE DU SYMBOLE Nous avons déjà rencontré cette notion qui est très générale. Les symboles sont ambivalents, c'est-a-dire que l'on peut les considérer sous deux aspects différents, pouvant aller jusqu'a l'opposition complète. Un esprit chagrin pourrait prétendre, avec une apparence de véracité, qu'on peut leur faire dire n'importe quoi... et son contraire. Au-delà de la caricature, il y a la matière à réflexion. Prenons les quatre voyages de le l’initié, que nous venons d’évoquer, ils représentent

Bien que ce rêve soit magique, Nausicaa en souffre puisqu’elle voit Ulysse dont elle est tombée amoureuse, partir au chant XIII. Ce n’étais pas réellement une prophétie mais une ruse d’Athéna pour aider son protégé. On remarque une certaine ambivalence du sommeil, est-il source de vie ou plutôt de mort? En effet le sommeil peut nous ouvrir sur un futur possible, mais il reste contradictoire. C’est pourquoi il est présenté comme réparateur et indispensable. Dans le chant V par exemple, après

mains, féminines ou masculines ouvertes en face à face, tendues comme pour recevoir. Elles se mêlent aux nuages, et semblent vouloir saisir quelque chose d’ « impalpable ». Ainsi donc, Man Ray et Eluard sculptent la main, utilisent toute son ambivalence : elle est tantôt source de désir, expression du pouvoir, matrice de liberté, de création ou de connaissance.

Ce qui nous effraye le plus du surnaturel c’est son ambivalence, on le ressent pendant nos  moments les plus solitaires, mais on ne peut pas l’observer, ni le toucher . On parvient à  imaginer une force paradoxale, éternel et immuable, qui est completement au dela de notre  comprehension  et qui machine en permanence sans aucun egard a notre bien etre, mais on  n’arrivera jamais a le comprendre, et c’est cette incomprehension de ce monde qui marque  notre inquietude et qui est source d’anxiete