Amédée Bonnet

la liberté, en représentant la femme brandissant le drapeau de la France, 3) Les personnages de cette scène appartiennent à la bourgeoisie, au civil et à la modestie. 4) La femme dont la poitrine est dénudée est vêtue d'une robe jaune et d'un bonnet phrygien. Elle se trouve en hauteur au centre de la scène ce qui la met en valeur, pointant vers le ciel sa main droite tenant le drapeau de France et dans sa main gauche un fusil à baïonnette. 5) La violence de l'action est montrée en mettant

signe de reconnaissance nationale. Aussi est-il l’emblème de nos équipes sportives nationales.  Le faisceau des licteurs Le faisceau remonte à la République romaine, où il indiquait l’imperium, la puissance. Sous la première République, surmonté du bonnet rouge, il signifie que le pouvoir appartient au peuple, et il symbolise l’union des 83 départements. En 1848, puis après 1870, il figure sur le sceau de la République, tenu par la Liberté.  L’arbre de la liberté L’un des symboles les plus riches

du peuple, coiffée d'un bonnet Phrygien dont s'échappent des boucles. Celle-ci est représentée en pied et occupe de fait la place principale. Elle brandit par la hampe un drapeau tricolore qui occupe l'axe médian de la toile. Sa poitrine est en partie découverte. On distingue quatre autres personnages aux abords de la barricade : deux enfants des rues – l'un coiffé d'un béret brandissant des pistolets de cavalerie, la bouche ouverte sur un cri, l'autre coiffé d'un bonnet de police s'agrippant au

de vue ? Composition ? Couleur ? Lumière ? … Ce tableau est une huile sur toile, qui mesure 260 cm de hauteur, et 325 cm de longueur. Le personnage central du tableau est une femme qui brandit un drapeau tricolore et un fusil, et qui porte un bonnet phrygien. Elle a la poitrine dénudée, les pieds nus, et a le profil d'une statue : elle est très différente du reste de la scène. Au premier plan, on peut voir les corps des blessés et des morts. Au second plan, on voit cette femme qui entraîne la

française. Le drapeau national, né en 1792 est composé de trois couleurs : le bleu qui représente Paris, le blanc qui est la couleur du Roi et lerouge qui représente les sans-culottes. Marianne est l'allégorie de la République française. Elle porte un bonnet phrygien qui était autrefois porté par lesesclaves affranchis à Rome. L'hymne national est la Marseillaise. C'est un chant de guerre qui a été composé par Rouget de Lisle, un officier français, à la suitede la déclaration de guerre à l'Autriche. La

tenue la rend différente, spéciale. Elle est même unique, seule femme participant au combat. Sa poitrine généreuse, son aisselle velue, ses joues rougies, son profil de déesse antique (on reconnaît presque le nez grec de la Vénus de Milo), le bonnet phrygien reconnaissable sur sa tête (symbole révolutionnaire), sa posture combattive en font une figure intensément populaire derrière laquelle la foule de combattants se rallie. La marche est lancée, vers le spectateur. - Le titre nous donne la

constitution française.Elle n'est adoptée officiellement en France qu'à la fin du XIXe siècle, par la Troisième République. La Marianne Marianne est la figure allégorique de la République française. Sous l’apparence d’une femme coiffée d’un bonnet phrygien, Marianne incarne la République française et représente les valeurs républicaines françaises contenues dans la devise : « Liberté, Égalité, Fraternité ». Contrairement à nombre de ses homologues comme Britannia, Italica, Helvetia ou la Mère

Au centre du tableau on peut observer une femme avec les seins nu ce qui est très rare à l’époque et elle tient dans la main gauche le drapeau de la France. Dans sa main droite on y voit une baillonette qui montre la révolte. Cette femme porte le bonnet phrygien symbole de la liberté. A côté de la femme, on voit un enfant des rues qui tient dans sa main un revolver et en bandouillère une cartouchière. Cette enfant a inspiré le personnage de Gavroche dans les misérables de Victor Hugo. A l’arrière-plan

type de ces journées révolutionnaires. Des personnes de groupes sociaux divers sont représentés sur cette peinture. La meneuse de cette vague est une femme à moitié dénudée portant un drapeau tricolore dans une main, une baïonnette dans l’autre et un bonnet phrygien sur sa tête, symboles de la révolution. Cette femme représente clairement la Liberté guidant le peuple. L’éventail des groupes sociaux se diversifie du gamin des faubourg au bourgeois de famille aisée. Ce qui fais que toutes les couches sociales

alors que les quatre autres sont debout. Il y a : -Marianne que l’on reconnait au port du drapeau tricolore qu’elle brandit et ne fait ainsi qu’un avec son bras droit et se déploie en ondulant vers l’arrière du sombre au lumineux comme une flamme du bonnet phrygien, et ses seins dénudés noircis par la poudre. Elle est représentée comme une jeune femme vivante et fougueuse. -Les gamins de Paris : A sa droite, il y a un enfant du peuple, les pistolets de cavalerie en main porte en bandoulière une sacoche