Amour Chez Racine

littérature : le classicisme. Ce courant culturel est caractérisé par le gout de l ordre de la mesure  de la rigueur et de la raison JEAN RACINE apparait a ce mouvement comme MOLIERE CORNEILLE LA BRUYERE. Il était considéré comme l auteur classique. Parmi ses œuvres nous pouvons citer Phèdre dont notre travaille est porté I. Etude des personnages principaux 1. PHEDRE Racine propose dans sa préface la clef de ce personnage éponyme de la pièce. La formule est célèbre : « Phèdre n’est ni tout à fait coupable

Euripide, Platon et également Jean Racine. Jean Racine écrit Phèdre en 1677, cette œuvre théâtrale tragique reflète les caractéristiques du Classicisme en respectant les règles de vraisemblance, avec la règle des trois unités (temps, lieu, d’action), et de bienséance. Ce mouvement artistique et littéraire se développe durant le règne de Louis XIV « Le Roi soleil ». Le château de Versailles est l'instrument de la splendeur et de l'autorité de ce roi. Jean racine introduit à la cour royale, se spécialise

Jean Racine (22 décembre 1639 à 21 avril 1699.) naquit à la Ferté Milon, dans l'Aisne. Issu d'une famille bourgeoise, il fut orphelin très jeune, et fut ainsi envoyé à Port Royal, chez les jansénistes. Ne souhaitant pas s'engager dans une carrière religieuse, Racine commença à écrire ses premières pièces au cours des années 1660 (Alexandre le Grand, 1665, etc.). Mais c'est véritablement en 1667, avec la pièce Andromaque, que le jeune homme rencontra le succès. Les pièces qui suivront, comme

la mythologie grecque) - Princesse grecque, fille de Minos, le roi de Crète , et de Pasiphaé, sœur d’Ariane, épouse, comme sa sœur, deThésée. Elle s'éprit d'une passion insurmontable pour son beau-fils Hippolyte, mais celui-ci ne répondit pas à son amour, et Phèdre, pour se venger, dénonça Hippolyte à Thésée, l'accusant d'avoir voulu attenter à son honneur. Thésée s'adressa alors àPoséidon et le pria de faire périr son fils Hippolyte. Poséidon fit sortir des flots undragon qui épouvanta les chevaux

Quelquefois, mais trop tard, je lui demandais grâce ; J'employais les soupirs, et même la menace. Voilà comme, occupé de mon nouvel amour, Mes yeux sans se fermer, ont attendu le jour. Racine, Britannicus, 1669 (acte II, scène 2) Eléments de réflexion pour une étude de cette scène 2 Comment le récit de l'enlèvement de Junie révèle-t-il de la part de Néron un amour ambigu ? I. Un récit en contraste A. Le récit de deux visions * récit d'une vision réelle : * temps : cette nuit * lieu : "en ces lieux"

à l’éducation des filles. ● « Phèdre » Racine personnage héroïque tragique, poursuivie par Vénus et le destin. Elle vit un amour interdit et ne contrôle pas ses sentiments. ● « Cyrano de Bergerac » de Edmond de Rostand : personnage admirable par son écriture et son discours. Extraordinaire par sa laideur. B) Des personnages en proie à des sentiments évolutifs ● « la Princesse de Clèves » évolution de la passion constante chez Nemours, évolution chaotique chez la Princesse qui cherche à la faire taire

supérieurs à celui du destin d’un seul individu : enjeux politiques ou inspirés de la mythologie). Les personnages sont également nobles (rois, princes, héros mythologiques). Le langage se doit aussi d’être de qualité (langage poétique, par exemple chez Racine). La tragédie de l’époque classique (= 17ème siècle, pour rappel) se réfère à cette définition d’Aristote (IV ème siècle avant Jésus-Christ). La tragédie classique essaie de respecter la règle dite des trois unités : une seule action (une intrigue

Jérusel 1ère S Sujet d’invention : Phèdre Cher ami, Je t’écris cette lettre encore sous le charme de la représentation de Phèdre de Jean Racine avec lequel, comme tu sais j’entretiens une amitié que les récentes attaques personnelles n’ont fait que renforcer. Cette pièce a été magnifiquement jouée par le troupe de Racine dans un théâtre de Bourgogne digne de l’occasion : tous les sièges y étaient occupés par des personnalités insignes de la Cour ainsi que par l’élite intellectuelle

par son jeûne et ne pouvant supporter les plaintes d'Œnone elle choisit d'avouer, un choix qu'on peut lui reprocher. Lorsque Phèdre apprend la disparition de Thésée elle dévoile, encouragée par Oenone, son amour à Hippolyte. On ne peut pas lui reprocher de l'avoir fait, Thésée étant mort son amour n'est plus aussi coupable.Thésée n'est finalement pas mort et Phèdre a appris que Hippolyte en aime une autre. Aveuglé par sa jalousie elle laisse Œnone faire croire a la culpabilité de Hippolyte. Elle a

Corneille fait de brillantes études chez les Jésuites et exerce la charge d'avocat général à la table de marbre du Palais pendant vingt ans. Il se fait d'abord connaître et apprécier grâce à ses comédies tel Mélite en 1628. Il est ensuite remarqué par Richelieu qui lui verse une pension. Cette association s'achève avec Le cid qui vaut à Corneille la gloire nationale et inaugure une série de chefs-d'oeuvre. Si Corneille a été plus tard délaissé au profit de son rival Racine, et qu'il mourut dans l'indifférence