Amour Ingénu

envers Horace, ressent du mépris pour la jeune femme : > Par cette métaphore, le tuteur lui dit qu’après tous les efforts consacrés à son éducation, qu’elle lui est redevable. Mais celle-ci sais bien que tous les efforts fournis n’étaient pas par amour, mais bien afin qu’elle lui soit totalement soumise. C’est bien au contraire qu’Agnès croit devoir d’avantage à Horace qui lui a apprit tout ce qu’elle sait, ainsi le fait qu’elle était maintenue dans l’ignorance. Cette candeur ne l’a laissant pas

Isabelle, ingénue de la troupe et objet de la flamme du jeune Sigognac et des ardeurs du cruel Vallombreuse. Elle rend son amour au baron. Scapin, chef de la troupe, bon vivant, bateleur plein de bagout et de malices, toujours prêt à trouver une solution à tout. Matamore, le guerrier terrible, en réalité un vrai vantard doublé un couard incorrigible. C'est le pilier de la troupe, dont le rôle ridicule attire les foules. Hélas, il meurt et prive la troupe de ses talents. Zerbine, la malicieuse

à Agnès. Arnolphe s’énerve mais est bien vite rassuré par le récit ingénu qu'elle lui fait, il décide de préparer le mariage. Agnès, croyant que son futur mari est Horace, lui exprime sa gratitude, mais il la détrompe. Horace rencontre le tuteur : les serviteurs lui ont refusé une nouvelle visite, mais Agnès l'a renvoyé en lui lançant une pierre ... à laquelle était joint un mot d'amour. Arnolphe reconnait sa jalousie, et son amour ; et il aimerait être aimé d’Agnès. Nouvelle rencontre entre le tuteur

contre les interdit et les tabous imposés par la morale et la société. Les libertins rejettent la foi dans les principes religieux et la soumission à l'autorité de l'église. La séduction y est un art complexe que l’on entreprend par défi, désir ou amour propre. La femme y est identifiée comme une proie à « entreprendre » qui finit plus ou moins par céder devant son « chasseur ». Après le règne de Philippe d'Orléans, en 1715, la noblesse se précipite dans la recherche des plaisirs simple et du luxe

contre les interdit et les tabous imposés par la morale et la société. Les libertins rejettent la foi dans les principes religieux et la soumission à l'autorité de l'église. La séduction y est un art complexe que l’on entreprend par défi, désir ou amour propre. La femme y est identifiée comme une proie à « entreprendre » qui finit plus ou moins par céder devant son « chasseur ». Après le règne de Philippe d'Orléans, en 1715, la noblesse se précipite dans la recherche des plaisirs simple et du luxe

désirs : il veut qu’elle soit soumise et fidèle. A force de vouloir la préserver du monde extérieur il est prit à son piège puisqu’elle tombe amoureuse d’Horace. Agnès avoue ici son amour coupable sans le savoir ( comme Phèdre). En quoi cet aveu est-il comique ? I/ Deux personnages de comédie A/ La jeune ingénue • Voc/thème de la naïveté : v.1.2 rime Agnès n’a aucune idée du monde extérieur, découvre relations humaines • Thème enfermement (explique incompréhension v.4 insistance

puéril. Virginie et Paul sont deux enfants qui s’aiment ingénument depuis leur naissance. Ils sont nés en même temps, ils ont le même âge et se considèrent comme frère et sœur. Mais au fil de l’histoire, leur amour sera de plus en fort. Naïfs, ils ne comprendront pas qu’ils s’aiment au-delà d’un amour fraternel. Ils sont ignorants et pauvres, loin de toute civilisation. Ils sont aussi sans contact direct avec la société, ce qui les préservent au début. Ils sont affranchis des usages, des préjugés, c’est

ovoïde à deux anses souvent en terre cuite. Breloques : Petit bijou fixé à un bracelet ou une chaîne. Ephémère : Un papillon. Crépite : De l'infinitif Crépiter : Emettre des bruits secs et fréquents. Moribond : Qui est près de mourir. Ingénu :  Candide, innocent, naïf. Hideux :  Laid, repoussant. Cours : On note la présence dans ce poème ¨ Hymne à la Beauté ¨ de nombreuse oppositions très contrastées. Nous avons ainsi un contraste entre le haut et le bas ¨ ciel ¨ et ¨ abîme ¨

Deuxièmement, Agnès, qui donne elle aussi des leçons à son tour : A Horace, en lui prouvant qu'elle peut se battre pour lui et leur amour : « Me laissez-vous, Horace, emmener de la sorte? » (v.1724) A Arnolphe, en lui prouvant qu'elle peut se battre contre lui pour ce qu’elle désire vraiment : « Oui je l'aime. » (v.1520) Troisièmement, Horace apprend à Agnès grâce a son amour pour elle ces droits et elle a enfin le courage de se défendre contre son tuteur. Quatrièmement, l'amour qui donne des leçons

aussi. A la fin du roman, Valmont périt en duel avouant son amour naissant et sincère pour la présidente. Sa fin tragique, rehausse son statut d’anti-héros malhonnête mais il n’en demeure pas moins un personnage sans scrupules et machiavélique. Il donne l’image d’un séducteur perfide qui finalement se perdra dans son propre jeu. Cécile de Volanges : Sortie du couvent et promise à Gerourt, Cécile est l’emblème de la jolie jeune fille ingénue. Dailleurs sa naïveté et sa maladresse se retrouve dans