Amour platonique

Louise Labé. Mais s'il réussit à amuser et à produire de l'émotion, on ne peut oublier que Marot était cependant avant tout un poète de la cour, un « technicien » de la poésie qui écrivait pour un mécène. Anne, pour qui, il brûlait d'un amour seulement platonique.

en plein jour, je veux dire dans le champ de la vision. Je crois qu'un regard clair nettoie la conscience comme un rayon de lumière purifie une eau infectée." (221) C'est aussi en Suisse que Bernard tombe amoureux de Laura d'un amour tout platonique. La jeune femme,un peu effrayée repart rejoindre son mari à Londres. Tous ces personnages (Boris, La Pérouse et Georges) se retrouvent ensuite, à la rentrée, à la pension Vedel, institution privée d'un autre temps où les maîtres

cette sélection est de montrer les différentes façons de déclarer son amour ; en s'adressant directement à sa bien-aimée , en parlant d'elle à la troisième personne , en faisant une déclaration à d'amour à l'Amour ou encore en évoquant la fin de deux amants. Dans les deux premiers poèmes ,les poètes déclarent leur amour à la femme qu'ils aiment en s'adressant directement à elles . Le poème de Machaut nous montre l'amour platonique du poète et de sa bien-aimée alors que Marguerite de Navare évoque la

poète se languit mais ce qu’elle représente. Le poète développe alors une poésie fortement inspirée de Pétrarque ou il expose la souffrance d’un amour non partagé. Dans ce sonnet CLVII en décasyllabes, Ronsard évoque la femme aimée à travers l’amour à la fois nécessaire mais destructeur qu’il lui porte mais qu’elle ne lui rend pas. Le poète associe ici cet amour à une nourriture nécessaire mais qui provoque la faim et devient poison, condamnant le poète à la souffrance et à la mort. Quelle vision de l’amour

vulgaire et un céleste. Selon lui, le vulgaire est l’Eros qui aime les aventures que ce ne soit avec les hommes qu’avec les femmes, il ne recherche pas l’intelligence seulement l’amour physique. Secondairement, l’Eros céleste est celui qui cherche un amour à la fois intelligent et physique. Il ne voit lui aussi aucun inconvénient à l’homosexualité. Il pense qu’il est important d’aimer les gens de bonnes familles et de hauts mérites, qu’il soit homme ou femme. Que les personnes de son entourage doivent

problème car le complexe ne revêt pas de caractère hostile ou destructeur. « Mignon » de Goethe, « Loulou » de Wedekind ou « Lolita » de Nabokov nous livrent une toute autre version des faits. D’un point de vue masculin, l’ « Eros pédagogique » platonique constitue une motivation pour la femme-enfant. Le souhait d’être récompensée dans le cadre d’une transmission de savoir et d’une attention pédagogique peut s’étendre jusqu’au domaine sexuel où le professeur, alors plus âgé, peut aussi prendre en

accepte enfin, à travers le personnage d'Aurélien de revenir sur le passé, sur ses propres années d'errance, de vide intérieur profond. Ce roman est le quatrième du cycle « Le Monde réel ». Ce roman, qui se déroule dans les années vingt, décrit le grand amour que le lieutenant Aurélien Leurtillois, célibataire oisif, encore hanté par les souvenirs du front, éprouve pour une jeune provinciale, Bérénice Morel, femme mariée, venue à Paris pour quelques jours. Les deux jeunes gens se rencontrent suite aux incitations

dans la même direction que Galatée. Le regard de Galatée, est dirigé vers les anges qui la visent de leurs flèches et symbolise l'amour platonique. L’amour platonique est une conception philosophique des relations amoureuses qui date de la Renaissance : elle fut en effet mise en évidence par le philosophe humaniste Marsile Ficin au XVe siècles. Il s'agit d'un amour chaste, en dehors de toute sensualité et de type intellectuel. Il symbolise souvent la perfection de l'union de l'homme et de la femme

Madame Sabatier Madame Sabatier, une intellectuelle, tenait un salon littéraire à Paris, Baudelaire étant l’un de ses visiteurs. En 1852, Baudelaire commence à lui envoyer des lettres d’amour anonymes. Il lui voue un amour, une véritable admiration spirituelle. De plus, Baidelaire voit en elle un ange désincarné et une image de la perfection; il ne voulut voir en elle que « l’ange gardien, la muse, la Madone ». Baudelaire continuait à envoyer des lettres anonymes avec des poèmes à la

antiques et respecte les bienséances : au théâtre il n’y a pas de personnages morts sur scène et dans les romans les auteurs ne décrivent jamais des actions intimes. La princesse de Clèves est également un roman précieux avec la présence d’un amour platonique, pure ; de description superlatives et c’est également un roman vraisemblable historiquement (sous la cour d’Henri IV) et psychologiquement (accès à toutes les pensées des personnages). Contextualisation de l’extrait : Avant l’extrait la princesse