Amphitryon Dénouement

fils que poursuivent des amants jaloux. Acte IV : Clindor est emprisonné et condamné à mort. Son amante réussit à le délivrer. Acte V : Clindor est surpris avec son aimée par son rival qui les tue tous deux ! Pridament est désespéré. Mais le dénouement…Après tout, pourquoi vous le révéler ici ? Courez, courez à la recherche, vous aussi, de L’Illusion comique . Lisez-la jusqu’à la dernière ligne… Corneille vous a bien joué, n’est-ce pas ? Ridicules, les précieuses ? « Vous puez comme charogne

illuminaient l'appartement, tendu de damas rouge. Chapitre IV. 163 L'éducation sentimentale Quatre domestiques en habit noir se tenaient derrière les fauteuils de maroquin. A ce spectacle, les convives se récrièrent, le Précepteur surtout. −− " Notre amphitryon, ma parole, a fait de véritables folies ! C'est trop beau ! " −− " Ça ? " dit le vicomte de Cisy, " allons donc ! " Et, dès la première cuillerée : −− " Eh bien ! mon vieux des Aulnays, avez−vous été au Palais−Royal, voir Père et Portier ? " −−

schande) Paraît qu'elle s'vend même à des flics, (eerlijk) Quelle décadence! Y a plus d'moralité publique Dans notre France. Georges Brassens 1 ) Titre : Titre présentant le personnage principal accompagné d'un adjectif qui donne par avance le dénouement, le destin du personnage. Ce type de titre, manifestement hérité de La Fontaine, fait de cette chanson un cas d'école, une fable sujette à une interprétation moralisante. On voit d'avance ce qu'il y a d'ironique dans le choix du titre... 2 ) La

truffes. Un lus-tre et des girandoles illuminaient l’appartement, tendu de damas rouge. Quatre domestiques en habit noir se tenaient derrière les fauteuils de maroquin. À ce specta-cle, les convives se récrièrent, le Précepteur surtout. — « Notre amphitryon, ma parole, a fait de véritables folies ! C’est trop beau ! » — « Ça ? » dit le vicomte de Cisy, « allons donc ! » Et, dès la première cuillerée : — « Eh bien, mon vieux des Aulnays, avez-vous été au Palais-Royal, voir père et Portier ? » —

ce que les étrangers veulent à manger. » Le train arrivait à l’heure la plus chaude de la journée. Au moment de déjeuner, un tumulte de foire faisait trembler toute la maison et les convives en sueur, qui ne savaient même pas qui étaient leurs amphitryons, accouraient en troupeau pour occuper les meilleures places à table, cependant que les cuisinières entraient en collision avec leurs énormes marmites de soupe, les grands fait-tout pleins de viande, les saladiers de légumes et les plateaux de riz

pieuse, y vit une action charitable en disant qu'il était temps d'éclairer Naïs, bien près de faire une folie. Francis, le diplomate, se chargea de mener à bien cette sotte conspiration à laquelle tous ces petits esprits s'intéressèrent comme au dénouement d'un drame, et dans laquelle ils virent une aventure à raconter le lendemain. L'ancien consul, peu soucieux d'avoir à se battre avec un jeune poète qui, sous les yeux de sa maîtresse, enragerait d'un mot insultant, comprit qu'il fallait assassiner

unity from a consistent concern with human behaviour and social foibles. He repeated plots, situations and characters from play to play – fathers who force their children to marry against their will, servants who plot against their masters, stagy dénouements which save the day – because they worked well in theatrical terms. But even his broadest comedy always has a point: to highlight the folly of his monomaniacs or to show some social failing in an absurd light. But from the start, he also drew on