Amy Robsart

les traces de Lamartine, qui était son idole. La mort de sa fille, Léopoldine, marque beaucoup la manière d’écrire d’Hugo. Jusqu’à 1827 il écrit des journaux (« Le Conservateur littéraire »), des romans (« Bug-Jargal »), des pièces de théâtre (« Amy Robsart ») et des poèmes (« Ballades »). En 1827 il publie Le Préface de Cromwell, en 1828 il écrit Marion de Lorme, drame en vers, qui est censuré, et en 1830 il publie Hernani, pièce de théâtre joué à la comédie française et très acclamé par la jeunesse

les traces de Lamartine, qui était son idole. La mort de sa fille, Léopoldine, marque beaucoup la manière d’écrire d’Hugo. Jusqu’à 1827 il écrit des journaux (« Le Conservateur littéraire »), des romans (« Bug-Jargal »), des pièces de théâtre (« Amy Robsart ») et des poèmes (« Ballades »). En 1827 il publie Le Préface de Cromwell, en 1828 il écrit Marion de Lorme, drame en vers, qui est censuré, et en 1830 il publie Hernani, pièce de théâtre joué à la comédie française et très acclamé par la jeunesse

siècles fondues sous un seul titre. Devenus exécuteurs testamentaires, ils prolongèrent les Œuvres complètes par les Œuvres inédites sans respecter l’ordre prévu, ni surtout la distinction entre les œuvres, achevées – Le Théâtre en liberté, Amy Robsart – ou inachevées – La Fin de Satan, Dieu –, et les fragments. Les récits des deux tomes de Voyage, les poèmes de Toute la lyre et des Années funestes, les volumes intitulés Choses vues et Post-scriptum de ma vie, recueils de textes de même tonalité

exclusivement au théâtre, mais publie néanmoins des recueils de poésies : Les Feuilles d'automne (1831), Les Chants du crépuscule (1835), Les Voix intérieures (1837), Les Rayons et les Ombres (1840). Déjà en 1828, il avait monté une œuvre de jeunesse Amy Robsart. L'année 1830 est l'année de la création d’Hernani, qui est l'occasion d'un affrontement littéraire fondateur entre anciens et modernes. Ces derniers, au premier rang desquels Théophile Gautier, s'enthousiasment pour cette œuvre romantique – combat

et Ballades (août 1828), qui lui valent la protection du roi, et Les Orientales (janvier 1829). Comme il désirait toujours abattre les classiques sur leur terrain admis, le théâtre tragique, il enchaînait aussi les projets et les échecs, ainsi Amy Robsart, échec à l’Odéon enfévrier 1828. Mais le succès de Henri III et sa cour en 1829 de son ami Alexandre Dumas lui redonna vigueur et il s’attela à un drame historique en Espagne (les sujets français étant systématiquement censurés par le pouvoir royal

siciliennes 1824 ancelot Fiesque népomucène Lemercier richard III et jeanne shore 1825 Mérimée le théâtre de Clara-gazul 1826 vitet les barricades 1827 Hugo Cromwell loève-veimars scènes historiques et scènes contemporaines 1828 Hugo Amy robsart 1829 Mérimée la jacquerie casimir Delavigne Marino Faliero Dumas Henri III et sa cœur Hugo Marion de Lorme Soulié Christine à fontainebleau Vigny le more de Venise 1830 Hugo Hernani Dumas Christine Musset la nuit vénitienne 1831

exclusivement au théâtre, mais publie néanmoins des recueils de poésies : Les Feuilles d'automne (1831), Les Chants du crépuscule (1835), Les Voix intérieures (1837), Les Rayons et les Ombres (1840). Déjà en 1828, il avait monté une œuvre de jeunesse Amy Robsart. L'année 1830 est l'année de la création d’Hernani, qui est l'occasion d'un affrontement littéraire fondateur entre anciens et modernes. Ces derniers, au premier rang desquels Théophile Gautier, s'enthousiasment pour cette œuvre romantique – combat

et Lorenzaccio du romantisme ? Cela pourra être le point de départ de révisions ou de recherches plus précises. 201 Exercice 6** 1. Les élèves distingueront le vaudeville de Labiche, Un mouton à l’entresol, du drame de Victor Hugo, Amy Robsart. 2. Le nom de Falingart semblerait déplacé dans une tragédie. La familiarité de la construction « c’est bien de l’ouvrage ! », le ton gaillard, l’allusion aux soins conjugaux peuvent caractériser le climat d’un vaudeville. Les exclamations menaçantes

serviras.] pas de pareilles expressions, − Si je te voyais briser ton avenir pour ce qui doit n'être qu'une fantaisie, reprit Goupil avec une chaleur à laquelle Bongrand eût peut−être été pris, j'irais briser cette poupée comme Varney brise Amy Robsart dans Kenilworth ! Ta femme doit être une d'Aiglemont, une mademoiselle du Rouvre, et te faire arriver à la députation. Mon avenir est hypothéqué sur le tien, et je ne te laisserai pas commettre de bêtises. − Je suis assez riche pour me contenter