Analepse

  genre  épique.     On   désigne   par   prolepse   toute   manoeuvre   narrative   consistant   à   raconter   ou   évoquer   d’avance   un   événement   ultérieur,   et   par   analepse   toute   évocation   après   coup   d’un   événement   antérieur   au   point   de   l’histoire   où   l’on   se   trouve,   et   réservant   le   terme   général   d’anachronie  pour

même représentative des faits réels doit être prouvée car certaines personnes vont toujours refuser de la reconnaître. Les analepses sont pourtant considérés incontestablement vrais. Le public en apprend que le frère de Simon et Jeanne est né d’un amour passionnel entre Nawal et Wahab : « il restera toi, moi et un enfant de toi et de moi » (p.25-26). Les prochains analepses montrent au public la naissance de l’enfant, le fait que « c’est un garçon » (p.29), son enlèvement et son signe distinctif

Esperanza, rencontre Mathilde-Esperanza (analepses) Octobre : Rencontre Thérèse Gaignard, Petit-Louis Lettres curé, Mme Conte Novembre : infos P-M. Rouvière Retour Mathilde à Cap-Breton Janvier : Lettre V. Passavant Lettre A. Leprince Lettre Mme Conte Février : Lettre P.M. Rouvière Mars : Lettre O. Bergetton Lettre G. Pire Lettre Mme Chardolot Avril : Lettre E. Gordes Juin : Lettre E. Boisseau Juillet : Rencontre E ; Gordes (analepse) Lettre G. Pire Rencontre V. Passavant

de l’enterrement (« La gêne des premiers jours s’effaça vite »). • Séquence 1 : l. 3 à 37. Retour dans la chambre de la morte. • Séquence 2 : l. 38 à 56. Analepse 1 : le jet de la clef sur les dalles du caveau (« Vers midi »). • Séquence 3 : l. 57 à 85. Méditation dans la chambre (« Et maintenant »). • Séquence 4 : l. 86 à 139. Analepse 2 : la première rencontre et la vie du couple (« Les heures passèrent »). 234 UN RECUEIL DE NOUVELLES • Séquence 5 : l. 140 à 211. Le refus de la mort de

Esperanza, rencontre Mathilde-Esperanza (analepses) Octobre : Rencontre Thérèse Gaignard, Petit-Louis Lettres curé, Mme Conte Novembre : infos P-M. Rouvière Retour Mathilde à Cap-Breton |Janvier : Lettre V. Passavant Lettre A. Leprince Lettre Mme Conte Février : Lettre P.M. Rouvière Mars : Lettre O. Bergetton Lettre G. Pire Lettre Mme Chardolot Avril : Lettre E. Gordes Juin : Lettre E. Boisseau Juillet : Rencontre E ; Gordes (analepse) Lettre G. Pire Rencontre V. Passavant

bases de notre analyse, elles comportent les analepses et les prolepses. Ce qui se vise dès l’incipit et l’ibid. Cela dit, dans l’histoire de l’Abbés Prévost, l’histoire commence par sa rencontre du Marquis avec Des Grieux qui va lui à son tour lui raconter son histoire avec Manon Lescaut, et se termine par la mort de Manon. Suivant ces informations, on pourrait distinguer deux anachronies, mais celles qui dominent c’est les analepses. Les analepses : Dès l’incipit, le narrateur emploi un retour

Récit d’Alfred Chapitre 3 Récit d’Alfred Chapitre 4 Récit d’Alfred Chapitre 5 Durée narration p.33-43 5 pages p.43-52 5 pages p.52-60 4 pages p.61-69 5 pages p.69-78 5 pages Moment de l’histoire Vers la fin de l’année 1834, un samedi soir (plusieurs analepses) Milieu de septembre (31) Fin de la nuit (scène) , (sept . 31) et le lendemain (scène) (sept.31) Même jour que le chapitre précédent dans la matinée (courte scène) Nuit (scène) p.62 (sept.31) Même nuit que le chapitre précédent (scène) p.69-70 (sept

Le subconscient de Cobb * Modifications : Ralentit, luminosité plus forte * Fonction : Montrer les enfants et leur donner de l’importance. Montrer l’obsession de Cobb, qui a un souvenir récurrent | A1Analepse réelle(objective)Analepse partielleexterne,homodiégétique,complétive | | S1Suite | 0:01:00 | P1 Cobb et Saito dans les LimbesCobb relève la tête pour voir ses enfants. * Prolepse sans déclencheur (c’est le début du film) * Qui : Réalisateur (dieu) * Fonction :

qu'il écrit sans réfléchir, ce qui lui vient à l'esprit: "Je cherche à mettre un peu d'ordre dans mes pensée". La diégèse est entrecoupée de moments ou le narrateur revient au temps présent pour des raisons différentes, ce qui constitue des analepses internes discontinues. Le narrateur les utilise comme frein à son laisser aller dans la narration. , par exemple à la page 65, il dit: "Mais je me laisse aller à noter ici ce qui ferait plutôt le sujet d'un sermon…". Il revient au temps de la narration

ami de AJB : Nushiño. AJB va alors ce defendre des blancs le tue et quand il revint les Shouars ne le laisse pas passer près d’eux car il a tue d’une maniere differente à quels que les Shouars sont habituer à faire, c’est alors que AJB part. Analepse 1: Dolores est mort de la malaria ils n’ont pas eut d’enfants… IV) Arrivée à El Idilio, il se rend compte qu’il sait lire mais au même temps ses dents lui agasse donc il alla chez le dentiste. Il lui dit qu’ il etait passionner par la lecture