Analepse

narrateur d’aller importuner le procureur. Ellipse, retour à une discussion bien postérieure avec Joséphine. Puis juste après cette discussion analepse sur la vie de la famille Bourrache (déjà une fleur, vertus dormitive de cette fleur) métaphore de l’oubli ? Crime commis le dimanche soir. « les bonnes gens partent vite, seuls les salauds ont la vue dure ». Analepse, retour au moment de la déposition chez le juge Mierck. Description de V. Va voir Le restaurant Le rebellion et Bourrache. Remémoration douloureuse

qui définit implicitement la scène par la périphrase « large bouche » / ce n’est pas le lieu principal de l’action • Temps : nuit « obscure » (irrespect de l’unité jour) qui semble être créée par le mage lui-même • Action : retour en arrière (analepse) avec le récit de Pridamant au passé simple, on se rend compte que c’est une pièce qui sure plus de dix ans • Intrigue : repentir d’un vieillard à la recherche de son fils (Clindor) = réconciliation du père avec son fils qui doit passer par une

des regrets : Pridamant à fait fuir son fils. - antithèse (vers 30 à 32) = contraste entre son comportement passé et celui qu’il voudrait avoir. - Emploi de l’imparfait pour décrire ce qui le tourmente - Alexandrin : comme dans une tragédie - Analepse : raconte ce qui c’est passé 2 - Scepticisme de Pridamant - Chiasme (vers 19 et 20) montre son doute vis à vis d’Alcandre. - Il exprime son doute aussi en racontant ces diverses expériences pour retrouver son fils (vers 40 à 46), utilisation

ni de les mettre au même niveau. Il se voit donc obligé de trier les informations, de ne garder que ce qu’il juge intéressant (utilisation des ellipses), de hiérarchiser et d’organiser le tout. Il peut même ne pas suivre la chronologie avec des analepses et des prolepses, or toutes ces manipulations sont impossibles dans la vraie vie. Ainsi, dans l’extrait de Madame Bovary, alors que la fermière est dépeinte et semble être le centre de l’attention, le public bourgeois reste très vaguement décrit

« Chason de chasse ») Amplification : L’amplification se fonde sur une gradation entre les termes d’une énumération ou dans la construction d’un paragraphe. Anacoluthe (féminin) : C’est une rupture de construction. Exemple dans Athalie de Racine Analepse (féminin) : En narratologie, c’est un retour sur des événements antérieurs au moment de la narration. Anaphore (féminin) : Une anaphore est un procédé qui consiste à commencer par le même mot les divers membres d’une phrase. Exemple dans Horace de

Boule de Suif, 1880. Exercice 2 Dans cet extrait de la nouvelle de Maupassant La Parure. a) étudiez le rythme du récit (chercher pause, sommaire, scène elipse). Discourt indirect libre b) trouvez une prolepse(saut dans le futur) et une analepse(saut dans le passé), montrez quel est l’intérêt de cette construction. c) quel est le point de vue adopté dans chacun des passages suivants ? Quel en est l’intérêt : – du début à « son misérable argent » ; point de vue omniscient – de «

se reporte sur l’escargot. Larmes d’argent = larmes d’Adélaïde + souffrance exprimée à travers les escargots. C) Une tension dramatique liée à l’intrigue. -scène = sorte de résumé de l’intrigue principal + anticipation à l’intérieur d’une analepse. Lecteur connait déjà le destin de Silvère. -mots ‘fusils’, ‘coup de feu’ et ‘meurtre’ sont des mots servant de programme narratif aussi bien à Macquart, qu’au père de Miette, qu’à Miette et Silvère = ensemble des persos qui sont de la marge sociale

préliminaires : Recueil publié en 1852. Historiquement : prise de pouvoir par Louis-Napoléon Bonaparte. Période d’instabilité politique post-révolutionnaire. Nerval : aristocrate, poète affilié au mouvement romantique. Poème construit autour d’une analepse (flashback) à l’époque de Louis XIII ( XVIIe siècle) provoqué par l’écoute d’un “air” mystérieux : seules caractéristiques, sous formes d’adjectifs qualificatifs épithètes : “très vieux, languissant et funèbre”. Plan métaphysique : c’est l’âme même

brutalité du geste sont souligné par l’allitération en [p] (exemples). Le passage du premier au deuxième quatrain est une ellipse narrative qui fonctionne comme un accélérateur. * Ainsi qu’au vers 10 « naguère », qui constitue dans le récit une analepse, évoquant le temps passé et glorieux de l’albatros. * La compassion du lecteur est sollicitée par les tortures morales au vers 12 (« mime »), ainsi que les tortures physiques au vers 11 (« agace son bec »). La douleur est soulignée par les allitérations

exceptions au silence : - Monsieur Linh, pour se rassurer, chante la chanson (…) pour entendre sa propre voix et la musique de sa langue .(= retrouve des repères). Lexique de la musique. Allitération en liquides . - analepse du narrateur pour combler l’anonymat dans lequel Monsieur Linh pourrait se sentir perdu. (il retrouve aux yeux du lecteur une histoire, un passé, une identité) - Philippe Claudel : J'écris pour ceux qui ne peuvent plus parler