Analepse

ligne car renoue avec le récit qui précédait ( qui était en focalisation int) , cette première ligne ne renoue pas directement avec ce qui précédait, elle renoue avec la fin du chapitre 5 qui nous dit (« une grande forme »). Le chapitre 6 était en analepse par rapport au chapitre 5. Voilà pourquoi il renoue avec le chapitre 5. C’est une incise simple dans son style, les romanciers ont un style plus ambitieux. Cosette aussi est un surnom , ( Euphrasie ). L’ « homme » est répété 12 fois. Il y a un

réaliser la théorie du milieu social . Il y a une adéquation entre le milieu sociaux économique et la psychologie . Tuesday 28 October 2014 Fonction proleptique : une annonce du destin du personnage à travers la description d’un objet quotidien . Analepse : Flashback Prolepse : annonce de quelque chose qui va se passer La justification : Pour que la description ne soit pas hétérogéne au récit , on fait en sorte qu’elle soit prise en charge par un personnage . Temps de la narration : Narrateur toujours

les interrogatoires jusqu’à obtenir enfin une définition de l’homme : l’homme est un animal dénaturé. La situation finale : Les tropis sont déclarés être des hommes mais le jury décide d’innocenter Douglas. 2/ Temporalité On observe deux analepses au quatrième et au septième tableau. En effet, ces scènes sont des retours en arrière au camp d’expédition, là où ont été découverts les tropis. Ce texte étant une pièce de théâtre il n’y a donc

envoie en Europe. · La narration  La narration est constituée de deux récits croisés : l’histoire de Salvatore Piracci en focalisation interne à la troisième personne et celle de Soleiman, racontée à la première personne du singulier. Deux analepses importantes sont remarquées : lorsque la femme raconte son périple pour rallier l’Italie depuis Beyrouth au commandant et lorsque Salvatore se remémore sa rencontre avec Soleiman. · Cadre spatiale et temporel L’histoire se passe en 2006 en

le passé simple). C’est le récit des faits à la suite logique des évènements (vendredi, suit le chapitre précédent). On note quelques passés simples (« ajusta », « attendirent », « entra », « s’excusa », « arriva », « oublia ») qui souligne des analepses qui comblent l’ellipse entre la fin du chapitre 6 et le début du repas. Le présent est utilisé pour marquer que dans ce décors si factice, il se passe réellement quelque chose qui n’est pas au niveau de la réception mondaine mais entre les deux amants

Narrateur souligne sa parenté avec personnages nobles & excellence de sa situation mise en valeur -> tournures superlatives (voir texte). Héritière -> jeune âge du personnage, sa nubilité + préfiguration du mariage. Le portrait moral : Le narrateur -> analepse (l. 5 à 20), = personnalité de Mlle de Chartres. Elevée -> milieu féminin (père mort) ; éloignée de la cour & aventures galantes -> « sa mère a passé plusieurs années sans revenir à la cour ». -> Bien éduquée sa fille. Qualités morales + intellectuelles

qu’elle envoie en Europe. La narration  La narration est constituée de deux récits croisés : l’histoire de Salvatore Piracci en focalisation interne à la troisième personne et celle de Soleiman, racontée à la première personne du singulier. Deux analepses importantes sont remarquées : lorsque la femme raconte son périple pour rallier l’Italie depuis Beyrouth au commandant et lorsque Salvatore se remémore sa rencontre avec Soleiman. Cadre spatiale et temporel L’histoire se passe en 2006 en Italie

vidame » lui donne un statut social· Hyperbole « une des plus grande héritières » elle est haut placé socialement, on connait son nom et sa fortune · En plus d’être belle elle est attractive Ligne 5  : · Retour dans le passé = analepse· On dit que son père est mort quand elle était jeune pour expliquer comment elle a été éduquée Ligne 6 et 7 : · Présentation de Mme de Chartres = digression dans le récit· Elle est très importante pour la princesse· Description

nombreuses règne volontairement une certaine imprécision dans l’inscription du récit dans l’Histoire (reportez-vous à mon cours). Voyons alors 2/LE TEMPS DU RÉCIT : son régime, son rythme, sa vitesse. Un récit au passé (qui devient analepse/flash back dans le film: à vous: insistez bien sur ce point) qui relate globalement 39 années en 108 pages : c’est déjà plus qu’une indication. •une forte prédilection pour la répétition de moments :la cabane, les visitations,les venues de

personnages de Balzac, Zola, ou Maupassant sont si haut en couleur .L’auteur réaliste écrit ses romans vis-à-vis de son époque pour que cela plaise au gens, quand un auteur écrit son roman, il intègre des procèdes de style (flashback, coupure de temps, analepse) comme on peut le voir dans Germine Lacerteux des frères Goncourt ou dans le chapitre III Germinie est décrit par un narrateur interne qui raconte le déroulement de sa vie, les flashbacks ne suivent pas le cour normal du temps et ils sont des artifices