Analepse

comme une apparition (tournure impersonnelle « Il parut »). Tout est fait pour que l’héroïne du roman (du passage) se révèle très progressivement, ce qui la valorise. En effet, sitôt annoncée, l’arrivée de Melle de Chartres est repoussée par une analepse qui vient bouleverser l’ordre du récit (« Son père était mort jeune »), créant ainsi un effet d’attente et augmentant la tension dramatique. Le retour au moment du récit se fait à la fin du texte (« Lorsqu’elle arriva, le vidame alla au-devant d’elle

champs lexical de l’art montre une extrapolation de la vision du poète de la charogne en une peinture ; il y a une réappropriation de la vision de l’objet pour l’élever à un idéal artistique C. Le souvenir a. D’emblée, le poème commence avec une analepse « Rappelez-vous » où le poète invite son interlocuteur à se souvenir. Ainsi, malgré le réalisme initial de la description, on peut pressentir la distorsion de la laideur en beauté au travers du souvenir. b. L’idée de la réappropriation de la vision

moral En outre, le narrateur s'attache davantage à construire le portrait moral du personnage, ce qui fait entrer l'œuvre dans la catégorie du roman psychologique. En effet, pour aider le lecteur à saisir le personnage, Mme de la Fayette effectue une analepse  : le passé de Mlle de Chartres nous permet de comprendre sa personnalité. Elle a été élevée par sa mère dans un milieu féminin étant donné que « son père était mort jeune ». Elle a passé son enfance éloignée de la vie de cour et des aventures galantes

Le décor correspond au titre du recueil et aux rencontres galantes. C. La nostalgie d’une histoire d’amour. Le dialogue confirme l’hypothèse du couple amoureux, la première voix évoque le souvenir d’une époque heureuse « extase ancienne » : analepse. Cette voix adopte un registre lyrique : vocabulaire des sentiments amoureux + les métaphores de l’amour « ton cœur bat-il toujours à mon seul nom ? » (V9) + Les phrases exclamatives et les interjections « Ah ! » (V11). Toutefois l’échange verbal

la cour" L 1) .Tous les regards se tournent vers cette "beauté parfaite" or à la cour on est tous beaux et bien habillés, il à alors fallu quelle sont extrêmement belle pour se faire remarquer. .Le récit marque ensuite un temps d'arrêt avec une analepse On nous parle de son apparition puis tout à coup de son éducation ("elle était de la même maison que le vidage de Chartres" L 4) et à nouveaux de son arrivée. ."Il parut une beauté" métonymie Mlle de Chartres devient LA beauté. .On à ici une

rapport au reste du monde. Mais il s'agit également dans cet extrait de donner quelques indices sur le libertinage qui va apparaître au cours du récit, Manon n'ayant rien de l'ingénue héroïne des romans classiques. Enfin, le retour en arrière (analepse) permet de faire la distinction entre un personnage narrateur, dont le récit rétrospectif permet de faire ressortir le tragique lié à cet amour, et celui qu'il était lors de la rencontre avec Manon.

sommes arrivés..’’ ( Fin du chapitre XXII). Le condamné est à la Conciergerie mais il relate son transfert et le trajet qui sépare Bicêtre qu’il a quitté de la Conciergerie où il est. Ce parcours est relaté après coup au moyen de ce qu’il est appelé analepse ou rétrospection. Le retour en arrière a une portée d’une heure et est relaté moment par moment. Ce qui fait que la rétrospection a une portée. L’hôtel de la ville et la place de la Grève : Le chapitre XLVIII se rattache aux chapitres de la Conciergerie

: il est en hauteur et en extérieur, à la fois de la ville mais aussi du temps.  Penser au passé : 3 souvenirs que l’on découvre par la focalisation interne : o Rieux se rappelle de la fois où il était déjà venu sur la terrasse : il s’agit d’une analepse. o Rieux se souvient des gens morts qu’il avait aimé o Rieux pense à tous les morts de cette histoire (« ces pestiférés »)  Penser à l’avenir : la mémoire du passé rend possible une connaissance qui sépare Rieux de la foule, et qui lui permet de

situation extrême : une attaque militaire durant la seconde guerre mondiale. LectureLe passage comporte 3 mouvements 1. La situation du personnage « il » (l. 3) : du début à automate (l.6) 2. Analepse et mémoire : de « de sorte qu’il ne pourrait[…]»

 + présent itératif : prennent, suivent. →A peine, (v.5) + passé composé (=accompli du passé) accélèrent le récit : ellipse narrative entre Q1 et Q2 : l’attaque et la capture de l’oiseau sont passés sous silence.  → Naguère (v.10) : à l’inverse indique qu’il y a une analepse, creusant le récit dans le passé. • Cette scène est pathétique de par :  →L’allitération en [p] suggère le caractère pesant, le pas lourd de l’oiseau.  →Les  allitérations  en  [g],[k] traduisent  une  scène  brutale,  une  sérénité  rompue