Analogies et correspondances

de l’Orient à l’Occident et du Septentrion au Midi », Temple qui englobe dans son espace tout ce qui est manifesté et non manifesté. « L’espace symbolise toutes les possibilités de la Vie universelle incluant celles de chaque initié, avec des correspondances astronomiques et astrologiques comme les points cardinaux et le zoodiaque » (extrait de la planche « Temple universel et Temple maçonnique »). Le symbolisme de cet espace, de ses axes, est à la fois cyclique et basé sur la polarisation des opposés

pour en régénérer la signification. Les poètes du Parnasse ( Gautier, Heredia ) cherchent à travers la poésie à représenter la beauté idéale. Reprenant l'idée baudelerienne d'une correspondance entre le monde des sens et celui de l'esprit, les symbolistes ( Rimbaud, Verlaine, Mallarmé ) cherchent à travers les analogies à accéder à une vérité superieure. Il s'agit de «  peindre non la chose mais l'effet qu'elle produit «  ( Mallarmé ). Les règles de versification et de syntaxe sont détournées, les

deux évènements ne prouve en rien qu'ils ont une relation de cause à effet. Exemple : Il picole parce que sa vie conjugale est un enfer. Arguments par l'analogie. Analogie est une ressemblance entre plusieurs(souvent deux) objets de pensée différents, on peut aussi dire association, parentée ou correspondance. Remarques : Les deux objets, phénomènes, ou situation font penser l'un à l'autre parce que leurs déroulements, leurs aspects présentent des similitudes => on cherche une conclusion

langage indépendamment de la vérité (persuasion). Raisonnement fallacieux : raisonnement fait pour tromper. Pas seulement faux, mais intentionnellement trompeur (synonyme : Syllogisme sophiste). Raisonnement par analogie : c’est un mode de raisonnement qui établit une correspondance entre 2 domaines de façon à illustrer le sens d’un des 2 domaines. Raisonnement par induction : prendre de nombreux exemples et en tirer une généralité. Aphorisme : formule percutante, fulgurante. (« On ne se

1ère strophe : correspondance entre le paysage et la femme aimée, invitation au voyage : "Mon enfant, ma soeur" (5 syllabes) : contradiction, impossibilité apparente , paradoxe, (on ne peut pas être à la fois le père et le frère) , il faut comprendre ce vers au sens symbolique. La femme aimée (Marie Daubrun ?) est une "âme soeur", une soeur d'élection ; il s'agit d'un amour idéalisé, spiritualisé. Cf. : "Pour rafraîchir ton coeur, nage vers ton Electre !" Electre est la soeur

précisément l'image de la « ronde » (v. 2) appelée pour conjurer la séduction des Ondines.   c) Le jeu des correspondances Les images consacrées au verre de vin (v. 1) entrent en correspondance avec celles qui décrivent la nature (v. 9‑10) : le « verre est plein d[e] vin » / « le Rhin est ivre » ; le vin tremble / les étoiles tremblent ; le vin est comme une flamme / les étoiles sont de l'or (analogie de couleur). Ainsi Apollinaire suggère la disparition des frontières entre l'animé et l'inanimé. Effet

Rhin Dernier vers : L’éclatement du verre AXE 2 : L’expression du surnaturel Arg 1 : Dans la chanson Arg 2 : Dans le paysage Arg 3 : Dans le cabaret AXE 3 : La puissance magique du poème Arg 1 : Un poème composé en boucle Arg 2 : Les correspondances du poème Conclusion : La complexité de ce poème peut donner lieu à de nombreuses interprétations. Son thème principal reste la création poétique et Apollinaire montre que celle-ci peut renouveler notre vision du monde. Il démontre que la poésie

une femme et un lieu. Problématique → Comment Baudelaire, grâce à son rêve en correspondance avec la femme aimée nous fait-il part de son idéal de vie ? I-L'analogie entre la femme et le paysage A-Un lieu à l'image de la femme aimée Dès le vers 6, le verbe d'équivalence « ressemble » donne l'impression que le lieu qui sera décrit sera le miroir de la femme aimée (« les miroirs profonds »). Analogie entre le paysage et la femme. Tout 2 exercent la même fascination sur le poète.

s'impose la théorie, chère à Baudelaire, des " correspondances ". L’image poétique est le seul et durable moyen d'exorciser la multiplicité dispersée et angoissante du monde. Le monde réel est désordonné, Baudelaire veut donc le réunifier par l'idéalisation. Selon Baudelaire, il existe une communication secrète entre le monde matériel et le monde spirituel, le visible participe à l'invisible. C’est ainsi qu’on peut expliquer la théorie des correspondances qui unissent l’apparence des symboles et  la

il prend pour paradigmes Cicéron et Pline le Jeune. Il fustige leur style grandiloquent et leur quête de gloire que l’on retrouve même dans leurs correspondances privées. Il s’opère dans ce chapitre une analogie entre l’entreprise épistolaire et l’entreprise des Essais. En effet, en exposant ce pour quoi il ne peut pas s’adonner à ces correspondances, Montaigne brosse non seulement un portrait au vitriol du genre épistolaire mais surtout, il dessine, en filigranes, les traits vigoureux de son style