Analyse Caricature Peine De Mort

------------------------------------------------- LA CARICATURE De Plantu à la une du « Monde » à Cabu en couverture de « Charlie Hebdo », en passant par « Les Guignols de l’Info », la caricature fait partie intégrante de notre quotidien. Mais ce « genre singulier », ainsi que le nommait Baudelaire, est plutôt récent : à peine deux siècles. 1. L’Histoire de la caricature A) Qu’est-ce qu’une caricature ? La caricature est un portrait qui exagère les traits les plus marquants

les relations philosophie, justice et politique. Platon fait de ce procès un mythe de la fondation de la philosophie. Composition du texte ① La négation des accusations ② Un plaidoyer ironique pour une jugement + souple ③ Condamnation à mort + Bilan du procès Souligne bien les enjeux et chefs d’accusation portés contre Socrate Les acteurs du procès Acte d’accusation soutenue par Lycon, Mélétos et Anytos (investigateur du procès). Socrate : vieillard discret Deux types d’accusations

Œuvre surréaliste Illustration 5: Œuvre Dadaïste Illustration 3: Œuvre de Max Ermst " Le rossignol chinois" Illustration 4: Œuvre de John Heartfield Biographie de John Heartfield : John Heartfield est né a Berlin le 19Juin 1891, Il est aussi mort a Berlin le 26 Avril 1968. J. Heartfield est d'abord peintre avant de devenir photographe. C'est George Grosz qui l'introduit dans le mouvement dadaïste en 1918. En 1920 ils mettent tout deux en place des photomontage qui deviendra l'activité principal

Commentaire d'arrêt I. Analyse 1. Les faits A) Matérielle : -La société presse-office aurait publié dans le périodique "lui" deux portraits de la célébrité GUNTHER SACH. -La société Presse-office aurait relaté des faits sans l'autorisation de Sachs, l'un des deux portraits était une caricature. -La société presse-office affirme que les publications seraient le fruit d'une compilation d’élément publié antérieurement avec une autorisation tacite ou expresse de Sachs. B) Juridique - A une

peut aider qq :) Année 2013-2014. Ismaël de la Serna, Europe, 1935, Centre Pompidou. Sommaire I/ Pourquoi Europe? II/ Biographie III/ Présentation de l’œuvre a) Contexte historique et artistique b) Œuvre c) Analyse et interprétation IV/ Comparaison V/ Ressenti de groupe a) Œuvre Cette œuvre est une peinture figurative dont la représentation est imaginaire. C’est une allégorie : l’allégorie de l’Europe exsangue et soumise à des tensions et de la

Cours de morale La Justice La peine de mort : Justice ou vengeance ? 1 La cité et la loi Degré d’orientation - 1ère année – Module II A.R. Charles Rogier & Lucie Dejardin Professeur : M. Fischbach Cours de morale Sensibilisation Regarde ces images Que signifient-elles pour toi ? Quels mots te viennent à l’esprit quand tu penses à la peine de mort ? Peine de mort 2 La cité et la loi Degré d’orientation - 1ère année – Module II A.R. Charles Rogier & Lucie Dejardin Professeur

couleur généralement froide, jusqu’au moment où les deux héros s’offrent l’un à l’autre, où les couleurs deviennent nettement plus chaudes. ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- Analyse du film ------------------------------------------------- Ce film présente une histoire d’amour totalement hors des clichés, et présente un portrait réaliste de la Normandie, région gravement touchée par la crise économique de 2008 (on est immergé

Classe de Première ☛ La question de l’Homme dans les genres de l’argumentation du xvie siècle à nos jours Le Dernier Jour d’un condamné Victor Hugo Édition de Geneviève Dragon Un homme est condamné à mort. Reclus dans sa cellule, il se met à écrire : ses pensées angoissées, ses vains espoirs, ses souvenirs heureux à jamais disparus, son désespoir face à l’horreur de la guillotine… Dans cet enfer carcéral, chaque heure est un nouveau supplice, chaque minute, une plongée anticipée dans la torture

Bonus Par Alexandre Gefen Petits Classiques Larousse -1- Le Dernier Jour d’un condamné de Hugo Objet d’étude : écrire et publier contre l’injustice. - Victor Hugo : préface du Dernier jour d’un condamné (début). - Jules Simon, La Peine de mort (1869) (préface). - Émile Zola, J’accuse (1898) (conclusion). - Donatien Alphonse Sade (Marquis de), La philosophie dans le boudoir (1795). - Commentaire (préface du Dernier jour d’un condamné) : a) Questions (4 points) : - Dans quelle situation

représentent la société « brassaient (…) l’air », on a l’impression que tout cela est superficiel, c’est un peu comme du vent, une comédie. L’attitude des collègues de l’avocat à la fin de la plaidoirie = ils disent des paroles convenues qui virent à la caricature, il répondent à un rituel. Il y a quelque chose de cruel dans le fait de demander à Meursault son impression sur le discours de son avocat, comme s’il n’était pas concerné par son jugement. b) Le discours de l’avocat « Beaucoup moins de talent