Analyse Dame De Pique

de bal à vingt-neuf francs jusqu'au manteau de velours affiché dix-huit cents francs, La gorge ronde des mannequins gonflait l'étoffe, les hanches fortes exagéraient la finesse de la taille, la tête absente était remplacée par une grande étiquette, piquée avec une épingle dans le molleton rouge du col ; tandis que les glaces, aux deux côtés de la vitrine, par un jeu calculé, les reflétaient et les multipliaient sans fin, peuplaient la rue de ces belles femmes à vendre, et qui portaient des prix en

de bal à vingt-neuf francs jusqu'au manteau de velours affiché dixhuit cents francs, La gorge ronde des mannequins gonflait l'étoffe, les hanches fortes exagéraient la finesse de la taille, la tête absente était remplacée par une grande étiquette, piquée avec une épingle dans le molleton rouge du col ; tandis que les glaces, aux deux côtés de la vitrine, par un jeu calculé, les reflétaient et les multipliaient sans fin, peuplaient la rue de ces belles femmes à vendre, et qui portaient des prix en

aujourd'hui Une île, des personnages 4 9 15 21 73 L'ILE DES ESCLAVES Scènes 1 à 11 Divertissement 80 82 DOCUMENTATION THEMATIQUE Index des thèmes de l'œuvre La représentation des domestiques dans le théâtre du XVIIIe siècle 95 ANNEXES (Analyses, critiques, activités de lecture, bibliographie, etc.) 120 PETIT DICTIONNAIRE POUR COMMENTER L'ÎLE DES ESCLAVES 2 3 PREMIÈRE APPROCHE Marivaux : une vie pour l'écriture 4 février 1688. Pierre Carlet, qui ne prendra le nom de «

de bal à vingt-neuf francs jusqu'au manteau de velours affiché dix-huit cents francs, La gorge ronde des mannequins gonflait l'étoffe, les hanches fortes exagéraient la finesse de la taille, la tête absente était remplacée par une grande étiquette, piquée avec une épingle dans le molleton rouge du col; tandis que les glaces, aux deux côtés de la vitrine, par un jeu calculé, les reflétaient et les multipliaient sans fin, peuplaient la rue de ces belles femmes à vendre, et qui portaient des prix en gros

de bal à vingt-neuf francs jusqu'au manteau de velours affiché dix-huit cents francs, La gorge ronde des mannequins gonflait l'étoffe, les hanches fortes exagéraient la finesse de la taille, la tête absente était remplacée par une grande étiquette, piquée avec une épingle dans le molleton rouge du col; tandis que les glaces, aux deux côtés de la vitrine, par un jeu calculé, les reflétaient et les multipliaient sans fin, peuplaient la rue de ces belles femmes à vendre, et qui portaient des prix en gros

sorties de bal à vingt-neuf francs jusqu’au manteau de velours affiché dix-huit cents francs, La gorge ronde des mannequins gonflait l’étoffe, les hanches fortes exagéraient la finesse de la taille, la tête absente était remplacée par une grande étiquette, piquée avec une épingle dans le molleton rouge du col ; tandis que les glaces, aux deux côtés de la vitrine, par un jeu calculé, les reflétaient et les multipliaient sans fin, peuplaient la rue de ces belles femmes à vendre, et qui portaient des prix en gros

n'étiez en rien la cause de sa mort? — Détrompez-vous. Je n'ai jamais douté de ma culpabilité absolue dans cet assassinat. Mais ma conscience n'avait pas été préparée à cette situation. Vous savez, les adultes apprennent aux enfants à dire bonjour à la dame et à ne pas se mettre les doigts dans le nez: ils ne leur apprennent pas à ne pas tuer leurs petits camarades de classe. J'aurais éprouvé davantage de remords si j'avais volé des bonbons à l'étalage. — Si vous avez perdu la foi, comment pouvez-vous

informé sur la vie de Figaro, sur ses nombreux métiers : Vétérinaire, auteur dramatique, auteur de traités économiques, journaliste, banquier du pharaon, barbier. Comme dans tout roman autobiographique, Figaro raconte sa vie et la commente. Il fait une analyse psychologique de ses motivations et utilise un langage de l'introspection : " ambitieux par vanité, laborieux par nécessité… poète par délassement, musicien par occasion, amoureux par folles bouffées… " Les noms ou les adjectifs définissent l'état

de Saint-Malo, « dans la baie de Rance » (p. 11), sur la côte, comme en témoigne l’arrivée des Anglais par bateau (« un petit bâtiment qui arrivait avec la marée », p. 12). L’extrait est centré sur le prieuré (« prieuré de la Montagne », « Notre-Dame de la Montagne », p. 11-13), lieu religieux, qui va devenir le nouveau foyer de l’Ingénu. On passe d’un espace extérieur à un espace inté‑ rieur : à partir de la page 13, commence un souper réunissant plusieurs habitants autour du Huron ; le chapitre

peu. Jusqu’à ce qu’elle tombe amoureuse de Pat… Plus fantasy et suspense, « le Vestiaire de la reine morte » de Serge Brussolo (éd. Plon), où Marion, 12 ans, ne s’étonne plus de voir sa grand-mère, Yoëlle, essayer de faire parler le chat. La vieille dame est persuadée qu’il connaît le nom du meurtrier du grand-père. En vacances chez elle, la gamine, désœuvrée, va découvrir des secrets qu’elle ne soupçonnait pas. On adore enfin « l’Oiseau de mauvais augure » de Camilla Läckberg (éd. Actes Sud), un polar