Analyse Du Film Alexandre Le Grand

ALEXANDRE NEVSKI D'EISENSTEIN Problématique : Comment le pouvoir met-il l'art à son service? Nous allons vous présenter le film Alexandre Nevski d’Eisenstein tout d’abord avec une présentation de l’œuvre puis son contexte historique ensuite nous allons vous présenter l’artiste, et enfin analyser l’œuvre ainsi qu’une conclusion. Présentation de l'œuvre : "Alexandre Nevski" est un film épique soviétique en noir et blanc parlant qui a été réalisé par Sergueï Eisenstein avec la collaboration de

pauvreté. 3 Composition Image Le réalisme (mouvement de peinture qui apparaît en 1849). Gustave Corbet peignait en grand les pauvres, il montre la pauvreté. Gustave Corbet en faisait partie. Il existe plusieurs types de perspectives : perspective hiérarchique : Les personnages plus petits ne sont pas petits mais ont moins de pouvoir voir pas de pouvoir. Plus le personnage est grand, plus il a de pouvoir. La première chose qu'on doit voir, c'est le personnage le plus important. perspective chromatique

fr/spip/IMG/pdf/FICHE_tpe.pdf Introduction ( accroche) Dans le cadre de notre Travail Pratique Encadré (TPE) nous avons choisi d’aborder... Annonce du thème: Représentation et réalité ---> La ligne générale (collectivisation), Ivan le terrible et Alexandre Nevski (culte du chef) Présentation du sujet: URSS de 1930-40. Après Lénine (politique), Staline_ Cinéma ---> Propagande_ Eisenstein. Pbtq: Cette récurrence des robots à l'aspect humain dans la littérature nous conduit à nous demander en quoi

Le film Le contexte Devant la montée du danger nazi, à la fin des années 1930, le Parti charge Eisenstein de réaliser un grand film patriotique afin de mobiliser le peuple pour la défense de l’Union Soviétique. Eisenstein est alors quelque peu en disgrâce, car son dernier film n’a pas été apprécié par le pouvoir. Le fait historique qui est au centre de l’intrigue (la victoire du peuple russe, conduit par Nevski, contre les Teutons) lui est imposé, et il est entouré de collaborateurs fidèles

cinéaste allemand Veit Harlan, réalisateur du Juif Süss. Tourné sur ordre de Joseph Goebbels, ministre de la propagande du IIIe Reich, ce film présente l’histoire falsifiée de Joseph Süss Oppenheimer, conseiller financier du duc de Wurtemberg Charles-Alexandre et assassiné en 1738 ; il servit d’appel à la haine raciale contre les juifs dans les années 1940. Si le film fut condamné à la Libération, Veit Harlan put continuer à travailler. Le documentaire télévisé, savamment dosé, risque de minimiser la

convertir, de mobiliser ou de rallier des partisans. Nous avons choisi de parler des trois arts principalement utilisés par Staline : le cinéma, la musique et l'art pictural. Nous verrons quelles grandes idées que Staline veut répandre à travers ces arts. Pour cela nous nous sommes basées sur le film Alexandre Nevsky d'Eisenstein, sa musique écrite par Prokofiev ainsi que des affiches de propagande. Nous allons nous demander en quoi ces arts ont ils joué un rôle dans la propagande stalinienne. Pour

et les SES. Notre plan se déroule en 3 grandes parties : 1) Le pouvoir accaparé 2) La propagande 3) Le régime de la terreur La première partie concerne les SES et le français, avec toutes les informations concernant le pouvoir accaparé ainsi que plusieurs extraits de textes et de roman pour le français. La deuxième partie rassemble les différentes étapes de la propagande ainsi que sa mise en place, pour les SES et elle possède l’analyse d’un film (Yvan le terrible) ainsi que quelques

travail sur la perspective : dans un rêve du héros, la salle de séjour de son appartement est vue en contre-perspective, c’est-à-dire que plus celui-ci s’y enfonce, plus il devient petit par rapport aux meubles et aux accessoires, construits plus grands que nature… » Le cinéma et ses métiers, Michel Chion,p.87, Bordas Un détail précis du regard de décorateur du cinéma m’éclaire petit à petit sur l’importance du regard du décorateur et de l’importance du cadre, de la perspective et de la lumière

retours entre son pays natal et l’Europe. La qualité autobiographique de la Bande Dessinée repose sur un discours narratif concis, précis, des phylactères ramassés, un langage incisif, direct, souvent familier, pétri d’autodérision. Le dessin est d’une grande pureté, simple, en noir et blanc. Les décors sont à peine esquissés car tout repose sur la caractérisation des personnages tant dans les traits de crayon que dans les mots que Satrapi met dans leur bouche. L’adaptation reprend la trame générale de

Question 1 Description des mise en scene des filmes evoque. 1. « L’Homme qui en savoit trop » (Alfred Hitchcock, 1956) Le film « L’Homme qui en savoit trop » c’est un cas unique dans la filmographie d’Hitchcock. En 1934 il a écranisè une adaptation du roman de Herman McNeile «Bulldog Drummond’s Baby » . Plus tard, en 1956 il a realisè un remake beaucoup mieux maitrisée. La progression dramatique est impressionnante. Les 35 min supplémentaires lui donne une attention accrue aux détails