Analyse Du Film Freaks

faire du profit. Ce sont eux dont nous parlerons principalement. On peut dire que le piratage a commencé dans les années 1960 en Amérique. Les pirates de l’époque s’appelaient des phreakers (expression créée à partir des mots anglais phone, free et freak) et s’intéressaient au système téléphonique. Leur but était de le connaître mieux que quiconque et d’en trouver les failles. En octobre 1971, les américains apprennent l’existence des phreakers et certains Etats du pays mettent en place les premières

pour une marque à raconter une histoire, quelle soit réelle ou fictive, par le biais de la communication publicitaire. La marque passe d’un discours basé sur le bénéfice produit à un discours « histoire », en remplaçant les arguments raisonnés et analyses chiffrées par le poids d’une histoire. Le storytelling a pour but de capter l’attention, de susciter l’émotion et de ce fait de créer un lien. Elle peut également être utilisée pour élever la marque à un rang de mythe. Comme l’explique Christian

cinéma en dissident, sans compromis, à l’intérieur même d’une économie qui est pourtant celle des supers productions hollywoodiennes. Tim Burton est certainement le dernier grand artisan d’Hollywood. Ce n’est pas un hasard s’il réalisa en 1994 un film sur Ed Wood, roi du cinéma bis américain, qui fut dans les années 50 une sorte d’alter-ego prémonitoire. Les deux hommes ont en commun d’avoir fait de la liberté la pierre angulaire de leur éthique. Il n’empêche qu’à la différence d’un Ed Wood toujours

Beatle » 2 Histoire 2.1 1957 à 1962 : la formation et les débuts 2.1.1 Des Quarrymen aux Beatles 2.1.2 Les séjours à Hambourg 2.1.3 L'apport décisif de Brian Epstein 2.1.4 L'intuition de George Martin 2.2 1963 à 1966 : la Beatlemania 2.2.1 Analyse du phénomène 2.2.2 Passage à l'Olympia de Paris 2.2.3 La conquête de l'Amérique 2.2.4 Cinéma et « œufs brouillés » 2.2.5 Le tournant de Rubber Soul 2.2.6 Demain ne sait jamais 2.2.7 « Plus populaires que Jésus » 2.2.8 L'arrêt des tournées

» 2 Histoire 2.1 1957 à 1962 : la formation et les débuts 2.1.1 Des Quarrymen aux Beatles 2.1.2 Les séjours à Hambourg 2.1.3 L'apport décisif de Brian Epstein 2.1.4 L'intuition de George Martin 2.2 1963 à 1966 : la Beatlemania 2.2.1 Analyse du phénomène 2.2.2 Passage à l'Olympia de Paris 2.2.3 La conquête de l'Amérique 2.2.4 Cinéma et « œufs brouillés » 2.2.5 Le tournant de Rubber Soul 2.2.6 Demain ne sait jamais 2.2.7 « Plus populaires que Jésus » 2.2.8 L'arrêt des tournées

variantes de leur nom (Beetles, Silver Beetles, Long John and the Silver Beatles, Silver Beats) avant de se fixer sur le mot-valise « Beatles14 » pendant l'année 1960. Il s'agit en fait de références au groupe accompagnant Buddy Holly, The Crickets, et au film L'Équipée sauvage avec Marlon Brando, où il est question d'un gang du nom de « Beetles » (« scarabées »). Il fait aussi référence au rythme (beat) du rock 'n' roll (appelé beat music). Les quatre adoptent définitivement cette appellation (attribuée

des mots, ce sont les mots qui décident si les images auront le droit de naître. Les mots, c’est le cap qu’un film doit passer pour que les images puissent exister. C’est là que beaucoup de films échouent. » Wim Wenders Sommaire Quelques mots pour commencer… ............................................. 1 Première partie • Mettre en forme son scénario Trouver le pitch de son film ........................................................... Écrire le synopsis.............................

peut pas être séparé de son présent. Le passé est une source inépuisable d’enseignements. Surtout sur le plan formel l’art a mille et une suggestions à donner, suggestions servant à rendre visibles les obsessions de notre temps, à les arrêter sur le film dans une sorte d’archive humain pour nous et pour nos descendants. Dans son dernier travail, Deluge, LaChapelle s’est inspiré de la Chapelle Sixtine. Après avoir séjourné en Italie, il a abordé le sujet du Déluge Universel en s’inspirant du célèbre

Francisco l'été à venir5. Cependant, les hippies n'utilisaient pas ce terme pour se désigner eux-mêmes, et les étiquettes les laissaient assez indifférents. Ils se disaient plutôt « flower children », « beautiful people » ou plus ironiquement « freaks » ou « heads » voire « acid heads » (respectivement : « les monstres », « les têtes » ou encore « les têtes à acide »)6. De manière générale, les hippies contestaient le matérialisme et le consumérisme des sociétés industrielles ainsi que tout

 Construit pour plusieurs diplômes en travail social, ce Livret 2 doit permettre à un jury, qui en fera lecture et analyse, d’identifier les connaissances, aptitudes et compétences que vous avez acquises dans votre expérience professionnelle salariée, non salariée ou bénévole. Pour vous aider dans la constitution de ce Livret 2, il est nécessaire : de lire attentivement la notice d’accompagnement spécifique au diplôme que vous visez, de consulter attentivement le référentiel professionnel