Analyse Extrait Nadja Breton

Qui est la vraie « Nadja » La lecture de l’extrait, Nadja, peut fournir un point de départ utile pour connaître le projet surréaliste. Publié en 1928, le livre correspond à une période d’éclatement des œuvres issues de ce mouvement, et possède une certaine forme narrative qui, sans trop déconcerter le lecteur débutant, lui permet de s’initier aux procédés d’écriture surréalistes. La singularité de Nadja tient en grande partie à son montage composite ainsi que

Travail de session : analyse comparative entre 2 oeuvres au programme Nadja et Madame Bovary La littérature a beaucoup évolué au fil des années. En effet, ce qui s'est écrit dans les derniers siècles est loin de ressembler à l'Odyssée d'Homère. Pourtant, il existe encore des points de comparaison entre des écrits issus de différents courants littéraires forts, par exemple: les thèmes, les styles, les actions, les personnages etc. Les mouvements littéraires en eux-mêmes sont comparable. Pour

douzaine d'heures au mois de Mai. Séance 1 Dominante : Histoire littéraire Support : documents 1 à 6 extrait du nouveau MAGNARD "Lectures", tome 2 (19 et 20° s) 1 et 2 : BRETON, Manifeste du Surréalisme (sur l'écriture automatique et l'image surréaliste), 3 : BRETON, extrait de l'Union libre + illustration TANGUY (cadavre exquis), 4 : BRETON, extrait de Nadja, 5 : BRETON, extrait de l'Amour fou, 6 : Synthèse sur le Surréalisme, "l'écriture et le rêve"+ encart "jeux surréalistes". Activité

Nadja 1ère partie Pour André Breton, « qui suis-je? » revient à dire « qui je hante? ». Il se donne une image de fantôme dans sa vie. Il cherche à savoir ce qui le différencie des autres hommes. Il parle d’une anecdote entre Victor Hugo et Juliette Drouet sa maîtresse qui faisaient pour la millième fois la même balade et l’un montrait à l’autre une porte différente d’une propriété. Il ne vaut pas un culte à Flaubert mais il s’assurait qu’il cherchait à nous montrer des détails dans ses œuvres

NADJA – ANDRE BRETON En 1927, peu après sa rupture amoureuse avec Nadja, André Breton lui dédit une œuvre autobiographique en son nom. Loin de correspondre aux caractères romanesque, ce livre relate avant tout des évènements réels de son existence. Dans son Manifeste du Surréalisme écrit en 1924, cet écrivain anciennement dadaïste propose un nouveau mouvement littéraire. L'extrait situé de la page 64 à 69, annonce implicitement l'arrivée de Nadja qui se confirme à la fin du passage. En quoi les

220 • Studia Romanica Tartuensia IVa • 221 Licia Taverna La ‘deixis surréaliste’. Breton, le genre textuel et l’énonciation de la subjectivité Le langage reproduit le monde, mais en le soumettant à son organisation propre. Émile Benveniste, Problèmes de linguistique générale La deixis, pourrait-on dire, est liée à l’instance d’énonciation et à son co-locuteur potentiel, les seules entités à partir desquelles les coordonnées spatio-temporelles énoncées peuvent être correctement

 André Breton : Nadja, ou le récit d’un prédateur ? dimanche 2 décembre 2007, par Jean-Louis Cloët Sans doute est-il temps que Polaire s’intéresse à la « Prostérité » du « Pape du Surréalisme », André Breton, pour mieux permettre de nous situer en le situant [comme dirait Debord]. « Nadja » est le récit fait par Breton d’une rencontre avec une femme, rencontre que la critique présente habituellement comme étant « supra-poétique ». Ne serait-ce pas plutôt-là le récit d’une prédation cynique ? [Extrait :

d'énonciation ? » s'interroge André Breton. Dans quelle mesure les œuvres au programme vous paraissent-elles s'inscrire dans ce questionnement ? André Breton est un écrivain important du surréalisme. Ce mouvement est né sur les traces du Dadaïsme, aux alentours de 1919, et son influence s'est peu à peu éteinte après la morte d'André Breton en 1966. La citation du libellé est extraite d'un recueil poétique écrit par ce dernier : Point du Jour, en 1934. Ici, André Breton nous amène à nous interroger

ont été établies par Michel Meyer et figurent p. 163-171. 7 i « vers anciens2 »), il n'est peut-être pas interdit de vouloir obtenir un peu plus d'adéquation dans les termes et de fluidité par ailleurs. Il peut tout spécialement en aller ainsi de Nadja, en raison d'un des deux principaux impératifs « anti-littéraires » auxquels cet ouvrage obéit : de même que l'abondante illustration photographique a pour objet d'éliminer toute description — celle-ci frappée d'inanité dans le Manifeste du surréalisme

*   André Breton : Nadja, ou le récit d’un prédateur ? (Suite : II) dimanche 16 décembre 2007, par Jean-Louis Cloët Les amateurs de Breton ayant fait exploser l’audimat sur notre site — ce qui est d’autant plus méritant que je ne suis guère amène avec le « Pape du surréalisme », — par amitié, je me sens tenu de livrer quelques fragments de la suite, avant de leur donner le cœur du cœur d’ici quelques temps : l’analyse du corpus iconographique, des dessins de Nadja. Encore un texte que les éditeurs