Analyse Les Soleils Couchants Verlaine

Lorsqu’un futur médecin étudie le corps humain, il ne l’étudie pas en bloc, mais par sections : il en étudie l’anatomie. Ce n’est pas différent pour la littérature. Comment analyser un « bloc » de 5000 ans d’œuvres aussi différentes que l’Épopée de Gilgamesh et la Modification ? Pour étudier la littérature, il est nécessaire de créer des subdivisions. Cela permet, entre autres, de classifier les textes et de les aborder de façon différente suivant que l’analyse qu’appelle leur forme ou leur époque

Vocabulaire. Savoir littéraire : - Poésie française. - Tableau « Petit historique de la poésie en France» (feuille de cours) - Synthèse baroque - Synthèse surréalisme - Synthèse symbolisme - Révision classicisme, romantisme et réalisme (feuille de cours) Analyse et compréhension de textes - « Pôvres petites couleurs » de Marc Favreau (feuille de cours) - Petits poèmes (feuille de cours) - Rutebeuf « La complainte Rutebeuf » - François Villon « La ballade des pendus » - Louise Labé « Je vis, je meurs » - Joachim

chansons de geste sont écrites en vers et sont divisées en strophes de longueur variable -les chansons de geste ne favorisent pas les rimes mais favorisent la sonorité. Chanson, La Comtesse de Die, XIIème siècle Grande peine m'est advenue Analyse - Question 1 Pour un chevalier que j'ai eu, Chevalier = amour platonique Je veux qu'en tous les temps l'on sache Valeur = fidélité à l'être aimé Comment moi, je l'ai tant aimé; Et maintenant je suis trahie, Car je lui refusais l'amour J'étais

Léopold Sedar Senghor (Ethiopiques, 1956) Etudes complémentaires : - Biographies de Rimbaud, Apollinaire, Senghor Différents extraits de poèmes sur la ville Lecture de « Villes I » et de « Ville » de Rimbaud (comparaison avec « Villes II ») Analyse comparée des textes de Sartre (« New-York, ville coloniale »), d’Albert Camus (« Pluies de New-York »), de dessins de Tardi illustrant Céline avec le poème de Senghor. _________________________ 54LunevilleLBichat1ann42005 PASI Nancy-Metz

utilise l'image " Un grand soleil d'hiver éclaire la colline ", qui laisse prévoir qu'après l'hiver symbolisant la mort et la guerre, viendra la chaleur et la clarté redonnant vie. L'idée de victoire et de bonheur futur est également servie par l'enfant, auquel il fait allusion " Et je te dis de vivre et d'avoir un enfant " qui symbolise la vie et la renaissance. De plus, on constate un réel contraste entre ce passage et le reste du poème. « Un grand soleil » symbole d’espoir et de vie

dame .Il voudrait aussi que son corps reste aussi beau qu'avant de Mourir Ce poème me touche dans le sens où à la mort de quelqu'un les pleures et les larmes sont souvent versées par toutes les personnes qui sont touchés par la mort du défunt. Analyse : l'auteur utilise plusieurs figure de style. En voici deux : la plus évidente est la comparaison. De faite il compare Marie à une rose du mois de mai pour donné l'image d'une jeune fille fraîche comme la rose du mois de mai. Et il utilise la synecdoque

l’information, pour communiquer et argumenter ➤ Activités nombreuses reposant sur l’usage d’Internet : Repères historiques, artistiques ou littéraires, pp. 18-23 Prolongements des textes échos ou des Perspectives, des lectures d’images. • Lire et analyser des images fixes et mobiles ➤ Images fixes : Lectures d’images : – Édouard Manet, Olympia (1863), p. 40 – Honoré Daumier, Le Banquier (1835), p. 63 – Ron Mueck, Big Man (2000), p. 89 – Claude Monet, La Gare Saint-Lazare (1877), p. 101 –

l’information, pour communiquer et argumenter ➤ Activités nombreuses reposant sur l’usage d’Internet : Repères historiques, artistiques ou littéraires, pp. 18-23 Prolongements des textes échos ou des Perspectives, des lectures d’images. • Lire et analyser des images fixes et mobiles  ➤ Dossier Histoire des arts : L’invention de la photographie, p. 77 ➤ Images fixes : Lectures d’images : – Édouard Manet, Olympia (1863), p. 40 – Honoré Daumier, Le Banquier (1835), p. 63 – Ron Mueck, Big Man (2000)

faiblesse de sa pensée qui le fait souffrir en lui faisant comprendre qu'il n'est rien. Cette petitesse peut cependant être consolée par un sentiment panthéiste : Et devant l'infini pour qui tout est pareil, Il est donc aussi grand d'être homme que soleil ! (Lamartine, Harmonies poétiques et religieuses) Cette vision peut également faire du poète un mage : l'infini est ainsi le centre du recueil d’Hugo, Les Contemplations. L'esprit s'arrête « éperdu au bord de l'infini », et accède aux vérités

CHARLES D’ORLEANS le prince poète : poème prend le rythme d’une chanson : Le temps a laissié son manteau De vent, de froidure et de pluye Et s’est vestu de de brouderie De soleil luyant, cler et beau. Le temps devient une figure vivante, tient autant qu’à son naturel, à la pointe de mélancolie Double mouvement dont l’héritage sera revendiqué par les grands rhétoriqueurs : - subjectif et allégorique - réaliste et