Analyse lexicale

culpabilité vers 1264 ‘’ Que fais-je ? Où ma raison se va-t-elle égarer ? ‘’ et le champ lexical devient celui du suicide, Phèdre s’adresse a elle-même en s’auto critiquant ‘’mon époux est vivant, et moi je brûle encore’’ elle s’en veux à mort d’être amoureuse d’Hippolyte. Elle se dit incestueuse. Question 4 : Le champ lexical de la lumière dans les deux tirades est ‘’ Soleil, jour, lumière, clairs’’ et le champ lexical de l’ombre est ‘’ nuit, enfers, ombre’’. L’ombre et la lumière est une opposition

monde. Ensuite vient le champ lexical du lieu. Avec des mots et des expressions comme : «au milieu des vents» (l. 7), «au coin d'un bois» (l. 8), «une cabane» (l. 13) et «régions inconnues» (l. 19), René traduit son malheur par son désir de quitter ces lieux. Il va ainsi traduire le malheur quotidien dans lequel il vit. Ensuite, on peut constater que le héros rêve d'être ailleurs. René exprime son besoin d'aller vers un autre monde à l'aide d'un large champ lexical sur le mouvement, avec des expressions

Introduction * 1§ pour chaque point de confrontation, précédé d’une question qui introduit son thème * 1§ pour une éventuelle conclusion COMMENT S’Y PRENDRE : * Numéroter § * Lecture * Thème (Champ lexical, Dates pour voir évolution, titres des œuvres) à la 1ere lecture * Identifier le problème commun de ces textes (suffisamment large) peut être 2eme lecture * Pas lire tous les textes de la même façon : repérer texte « référence » ( texte le

l’auteur utilise un ton plus dramatique. Lorsque ce dernier réalise le chemin ou son fils va terminer celui-ci tombe dans un moment de panique et commence à avoir peut : ‘’’ alors moi jai eu peur et jai crié à l’aide, au secours, quelqu’un’’. Le champ lexical des mots comme peur, crié, à l’aide, fait ressentir la désespérassions de l’auteur qui rend cette chanson plus dramatique. Cependant, dans la chanson bozo les culottes, le ton utilisé est un ton plus léger. En somme, les deux auteurs mentionnent

« songe » peut faire penser à un rêve qui n’est pas encore devenu réalité, le poète le décrit seulement à sa bien-aimée. Mais dans cette strophe, le poète parle plus de la femme que du paysage. Pour montrer l’omniprésence de la femme, il utilise le champ lexical de la séduction (« charmes » ou « aimer »). Puis la 2ème strophe montre au lecteur l’endroit où il veut s’évader ; en effet il décrit la chambre « meubles luisant, polis par les ans » (vers 15), « les riches plafonds » (vers21), « miroirs profonds »

phrase qui tient plut^to du paradoxe (voir les remarques stylistiques sur cette phrase ds cours) c- l’importance de la famille et le rôle des parents Q. refuse de dédouaner la famille de son rôle et de ses responsabilités Omniprésence du champ lexical de la famille couplé à l’énoncé des responsabilités qui reviennent aux parents en matière d’éducation (l. 8-12) ; elles sont présentées parfois presque comme des devoirs (« cujus rei praecipua prudentibus cura est ») TR : malgré cela, la dernière

est un des thèmes principaux dans ce texte. Dès le début du texte, Ronsard parle d’amour dans le titre : le nom de Marie est un anagramme du mot « aimer », or l’anagramme est conçu pour représenter l’essence même de la personne. De plus, le champ lexical de l’amour est très présent dans ce poème : « amoureuse » vers 4, « beau » vers 6 et 13, « mignons » vers 7 et « baiser » vers 13. On remarque aussi cette intimité avec le vers 13 « Je vais baiser vos yeux et votre beau tétin ». Le poème devient

pense alors être le spectateur d’un « rendez-vous » amoureux. Mais la discussion dont il va être témoin va le surprendre. On remarque très rapidement que dans ce dialogue, le champ lexical de l’amour est très peu présent, on a «  votre main » et l’évocation du « mariage ». Par contre le champ lexical de l’argent domine et le mot « argent » est souvent présent dans le dialogue. Quand ils commencent à parler de l’avenir, Paul dit vouloir devenir « avocat » et Virginie ne manque pas de rajouter

émotif. Il éprouve une grande nostalgie à travers la nature : «Ma jeunesse ne fut qu’un ténébreux orage» (vers 1). L’allégorie suivante montre le côté abstrait des difficultés rencontré par l’auteur durant sa jeunesse par un ténébreux orage. Le champ lexical de la nature est signalé ici par l’orage. De plus Baudelaire utilise le cycle des saisons pour démarquer les différentes périodes de sa vie. Il schématise clairement sa vie, il la divise la jeunesse, la vieillesse, la mort symbolisé respectivement

l'amour, la mort et la vie. Tout d'abord la narratrice vie intensément ce qui est en train de lui arriver. Elle ne cesse de répéter sa surprise à travers la réalisation de ses descriptions. La métaphore de l'amour est présente tout le temps. Champ lexical de la passion : fièvre, foudroyées, frémissantes. Mais cependant la vie et l'amour ne vont pas sans la mort, p54 : « véritablement morte et non pas seulement épuisés ; tel des méduses échoués sur le rivage ». et puis p. 55 : « les mains sont parcourus