Analyse lexicale

psychologique =>"railleries" ,"sarcasme" Dans cette société, la méchanceté vient par les mots et tout est basé sur l'apparence. antiphrase "un ami" les valeurs ne sont pas basées sur leur âme mais sur ce qu'on montre aux autres =>champ lexical de l'image: "releva", "parvenir" II/a)C'est une femme qui s'inclut dans la vie mondaine *utilisation du pronom personnel "je" =>l.5, 12, 21 utilisation du pronom personnel "nous" =>l.2,4 adjectifs démonstratifs "ci" =>"apprenez à vous

choisi deux axes : tout d’abord, un texte descriptif, puis la présence des sentiments. I-Un texte descriptif. *Il y a des imparfaits : « lâchait », « réservait », « riait ». Beaucoup d’adjectifs : « grivoises », « malpropres ». Champ lexical du repas, de la nourriture : « plats », « andouille », « gigot », « omelette », « verre », « cidre », « boisson ». Le déjeuner est décrit comme « long ». A travers la qualité du déjeuner on peut voir la pauvreté des Duroy « plat pas très riche

muet quand il me faut répondre, Ou ne me répond rien qu'afin de me confondre. Extrait de L’illusion Comique - Corneille Annonce des axes Etude I - MISE EN PLACE DE L’INTRIGUE (vers 19 à 46) 1 - Tourment et malheur d’un père - champ lexical des tourments et des regrets : Pridamant à fait fuir son fils. - antithèse (vers 30 à 32) = contraste entre son comportement passé et celui qu’il voudrait avoir. - Emploi de l’imparfait pour décrire ce qui le tourmente - Alexandrin : comme dans

en ce qu'elle traite de deux sujets distincts : le champs lexical de la nature symbolique et la corrélation entre la vie et la mort. Dans cet extrait, Meursault se retrouve au calme avec le départ de l'aumônier. Sa présence fut un véritable supplice pour le condamné, comme le suggère : « lui parti, j'ai retrouvé le calme. J'étais épuisé et je me suis jeté sur ma couchette ».      A travers cette partie nous retrouvons le champs lexical d'une nature paisible dans une Algérie endormie, elle se

décousue _Champ lexical de « l’a peu prés » avec « un peu » « parcouru » « pas toujours » ( Rien n’est clair, tout change _Il passe d’un sujet a l’autre spontanément :3 lignes d’introduction, puis PAF Platon. Puis avec l’apostrophe « Ô Dieu » change a nouveau de sujet, oublie Platon. _De même, conjonction très présentes, avec « mais » « et » ou encore ce puissant « Ô » déjà évoqué, « plus encore », rythme soutenu. B. La digression dans la digression _ Champ lexical de la digression :

pathétique : émouvoir fortement, provoquer la pitié. Les procédés privilégiés sont : le champ lexical de la douleur et de la souffrance, le choix d’un point de vue subjectif (recours au « je »), apostrophes, exclamations, figures d’insistance (répétitions, anaphores, hyperboles). Le registre lyrique : susciter une émotion poétique, communiquer des sentiments personnels. Les procédés privilégiés sont : le champ lexical des sentiments, la présence des marques de la première personne, le recours aux images

4- Lexicologie / syntaxe II- Objet de la lexicologie 1- Le lexique 2- Lexique et vocabulaire 3- Vocabulaire actif / vocabulaire passif 4- L’unité lexicale : qu’est ce qu’un mot ? B- LA MORPHOLOGIE LEXICALE ILa néologie 1- Néologismes de forme a- la formation primitive b- La formation récursive 2- Néologismes de sens IILes emprunts 1- L’emprunt lexical a- l’emprunt direct (non intégré ou non assimilé) b- L’emprunt indirect (intégré ou assimilé) c- Le xénisme 2- L’emprunt sémantique 3- Le calque IIILa

éminences », « des petits », « il y a peu de jours », « autres traces », « rase la surface », « très longues », « moins creuses », « un peu boiteuse ». Explication Le champ lexical de verbe de perception suivant : « Vu », « aperçu », « remarqué », montre la précision de son regard à l’égard de milieu. Le champ lexical de la nuance : « Petit chien », « sillon léger et long », « petites éminences », « des petits », « il y a peu de jours », « autres traces », « rase la surface », « très longues

thèmes, la mer (élément concret) et l'amour (sentiment de  l'ordre de l'abstrait)   1. deux champs lexicaux primordiaux ·      "la mer" (six fois), relayée par "l'eau" au singulier ou au pluriel  (4 fois)   ·      "l'amour" (huit fois), "aimer" (1 fois) "amoureux" (une fois), relayé par "le feu" (métaphore précieuse de l'amour devenue traditionnelle)  (3 fois) et des mots du même champ lexical : "enflammer", "brasier", "brûle", éteint son feu)   2. la façon dont ils sont entrelacés ·     

liberté associée à la ville - Baudelaire se rend compte de cet aspect de la ville à sa fenêtre (romantique) - « Les tuyau, les clochers, ces mâts de la cité »: métaphore qui associe la ville à un navire naviguant sur l'immensité de la mer - champ lexical du ciel: « astrologue », « clochers », « ciel », « cieux » 3)Idéalisation de la ville - mouvement amorcé dans la première strophe: volonté d'évasion traduite par la métaphore « Les tuyau, les clochers, ces mâts de la cité », la récurrence du