Anaphore Et Rimbaud

(plates ou suivies AABB, croisées ou alternées ABAB, embrassées ABBA), ponctuation (coupes inhabituelles), longueur des vers (pairs, impairs), construction des vers (différentes strophes), formes (calligrammes), enjambements (rejets, contre-rejets), anaphores, épiphores. * Possibilité d’une lecture verticale du texte. Texte 1. BAUDELAIRE (Charles), Les Fleurs du Mal, (1861), Spleen et idéal, XIII, « Bohémiens en voyage » Prévoir Biographie et étude sur le symbolisme. http://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Baudelaire

homérique fait partie) est une information non déterminative que l’on donne sur un nom : « Ulysse aux mille ruses », « le bouillant Achille », Quand le front de l’enfant, plein de rouges tourmentes, / Implore l’essaim blanc des rêves indistincts… (Rimbaud, les chercheuses de poux ). Souvent leur mauvais usage aboutit aux clichés : « les rouges tomates », « les sombres forêts »… VIII - L’amphibologie consiste à « jeter dans tous les sens » pour créer une

blanche aubépine, urne fleur, comme lui Dans le grand ravage oubliée. HUGO, « L’Enfant », Les Orientales, XVIII Exercice Exercice 35. Les vers 4 à 7 comportent des anaphores : lesquelles ? Quel est leur rôle ? La suite du texte comporte une autre anaphore. Laquelle ? A-t-elle la même fonction que la première ? Tout avait la couleur uniforme du givre A la fin février pour vos derniers moments. Et c'est alors que l'un de vous dit calmement Bonheur à tous

la dépense, la contemplation fascinée du désordre. Cet idéal se manifeste dans l’écriture littéraire à travers des figures d’accumulation, d’opposition (antithèses, oxymores qui traduisent la complexité du monde) ou d’amplification (hyperboles, anaphores, etc.). est d’« instruire et plaire » pour corriger les défauts humains. La tragédie, par exemple, doit inspirer au spectateur « terreur et pitié », tandis que la comédie dénonce les ridicules et les torts de ceux qui s’écartent du droit chemin

l’énonciateur ? (termes évaluatifs, affectifs, modalisateurs) /interpellation du destinataire (pronom, question, apostrophes) / types de phrases – les figures de style : images : personnifications, métaphores, comparaisons – énumérations, répétitions, anaphores, parallélismes, hyperboles, antithèses, ironie… – le ou les registres : pathétique, tragique, lyrique, polémique, satirique, comique, épique, fantastique, réaliste – les effets sonores : allitérations, assonances – les références culturelles

dos divin après la courbe des épaules. J’ai bientôt déniché la bottine, le bas... – Je reconstruis les corps, brûlé de belles fièvres. Elles me trouvent drôle et se parlent tout bas... – Et je sens les baisers qui me viennent aux lèvres... Arthur Rimbaud, Poésies, « À la musique », 1870. Question En quoi les quatre textes du corpus relèvent-ils de la poésie satirique ? Travaux d’écriture Vous traiterez au choix l’un des trois sujets suivants. Sujet 1 : commentaire de texte Vous ferez le commentaire

cette passion. Le vers 6 explique le précédent avec l’insistance d’un parallélisme de rythme et de structure (6 // 6) semblable à celui du vers 3 : la césure est marquée par la ponctuation, les deux hémistiches sont semblables et commencent par une anaphore. On remarque l'alternance des mots d'une et de deux syllabes. Par le redoublement, «sans rien voir», «sans entendre», est marquée l’indifférence pour le monde extérieur. Il ne verra donc ni «la forêt» ni «la montagne», pour ne se consacrer qu’à

cette passion. Le vers 6 explique le précédent avec l’insistance d’un parallélisme de rythme et de structure (6 // 6) semblable à celui du vers 3 : la césure est marquée par la ponctuation, les deux hémistiches sont semblables et commencent par une anaphore. On remarque l'alternance des mots d'une et de deux syllabes. Par le redoublement, «sans rien voir», «sans entendre», est marquée l’indifférence pour le monde extérieur. Il ne verra donc ni «la forêt» ni «la montagne», pour ne se consacrer qu’à sa

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cette passion. Le vers 6 explique le précédent avec l’insistance d’un parallélisme de rythme et de structure (6 // 6) semblable à celui du vers 3 : la césure est marquée par la ponctuation, les deux hémistiches sont semblables et commencent par une anaphore. On remarque l'alternance des mots d'une et de deux syllabes. Par le redoublement, «sans rien voir», «sans entendre», est marquée l’indifférence pour le monde extérieur. Il ne verra donc ni «la forêt» ni «la montagne», pour ne se consacrer qu’à sa