Anaphore

ATTENTION ! Dénotation (= ce à quoi le signe fait référence) # connotation (= tous les éléments qui peuvent s'ajouter à cette référence) • jeu de sonorités : anaphore du son « a » en début de chaque paragraphe, assonances en a/o > titre : « à mi-chemin, la cage au cachot » • inversion syntaxique : S/V/C => C/S/V, avec compléments de lieu en anaphores : le cageot semble chercher sa place • rythme musical : saccadé, par rapport à la longueur semblable des différentes propositions de l'unique phrase du

I/Description du mouvement d’élévation v1-2 -anaphore « au-dessus » + césure à l’hémistiche => renforce l’idée d’élévation -accumulation de CCL ref à la nature => romantisme : s’évader dans le rêve, l’idéal.-3 des 4 éléments qui constituent l’univers => s’agira de s’élever au-dessus du monde que l’on connait, pour se purifier v3-4  : idée se poursuit -anaphore « par-delà »  : plus loin que

hémistiche « vois-tu » qui est ce « tu » on a, dans un premier temps, l’impression qu’il s’agit d’une femme aimée par le poète. On constate un jeu d’alternance et anaphore entre le « je » et le « tu » qui crée l’illusion d’un dialogue. Et on peut voir un ton affirmatif « je sais que tu m’attends »V.3 : pour commencer il y a une anaphore avec « j’irai » ce qui montre la détermination du poète. Il évoque aussi la nature avec le mot « forêt, montagne », on ne sait toujours pas vraiment où désirs seront

visages du double puis une deuxième sur les fonctions de chacune des apparitions. Les différentes figures Cet extrait est composé de 18 strophes, chacune étant des sizains constitués d'octosyllabe. Jusqu'à la 10eme strophe, on remarque une anaphore pour insister sur le thème récurrent du poème (strophes 1, 3, 5...). Cela a pour but d'insister sur le personnage du double, qui incarne un autre moi qui se manifeste dans la douleur (souvenirs lointains et tristes de l'enfance, d'un idéal du monde

chez Giton, 2 fois chez Phédon: l'un attire, l'autre repousse. * Par ailleurs, le verbe " être ", peu présent chez Giton, et récurant chez Phédon. L'un se disperse dans l'action, l'autre est intériorisé. Une certaine rigidité syntaxique : anaphore récurrente d'un portrait à l'autre, mais aussi à l'intérieur de chaque portrait. Grande simplicité dans la composition des phrases : · " il " + complément, · " il " + verbes, · " il " + être, · effets répétitifs (" il s'arrête et l'on

revivre) l’absente. Au troisième quatrain, notons le déchaînement de la nature dans les trois premiers vers : le champ lexical de la violence (« mugissais », « brisais », « déchirés », « jetait ») montre la nature déchaînée. Au vers 10 et 11, une anaphore de « ainsi » est employée pour insister sur le souvenir autrefois heureux, et qui fait maintenant souffrir. La fusion des sentiments du poète (exaltation et excitation) et le déchaînement de la nature, du lac, montre l’harmonie entre eux deux. C’est

, etc. 3. Les procédés utilisés Le genre de l'éloge recourt à tous les procédés du registre laudatif : un vocabulaire mélioratif (donc qui valorise) ; des figures par amplification (hyperbole) ou par opposition, des répétitions (anaphores, accumulation, énumération) ; des métaphores et des comparaisons valorisantes ; un rythme et une syntaxe qui donnent souvent une allure emphatique au discours. II/LE BLAME Les origines historiques du blâme Symétrique de l'éloge

ALLITERATION n.f. Répétition d'une ou de plusieurs consonnes dans un groupe de mots Allitération en [s] dans Colombine de Verlaine :     Cassandre sous son     Capuce ANAPHORE n.f. Répétition d’une même expression ou d’un même mot en début de phrase ou de vers - Partout l’image idée, partout la pensée fleur, partout les fruits - Anaphore de "il y a" dans le poème Enfance III, de Rimbaud ANTITHESE n.f. 2 termes de sens opposés dans une même phrase - Le navire était noir, mais la voile était blanche

déploration, de plainte : Orphée se plaint jusqu’à ce qu’il soit tué « tu peux couper sa corde » : traversée du Styx (fleuve séparant les enfers du monde terrestre) « sorti des forêts ténébreuses » : enfers b) Expression d’un amour exclusif et obsessionnel Anaphore (7 fois en début de phrase)  souligne l’obsession du poète envers celle qu’il aime. Au vers 25, répétition anaphorique  plus persistant et convaincant que jamais. « étoiles » : surnom d’Yvonne Georges Référence à la nature, prend différentes formes

énumération élogieuse des différentes caractéristiques de la femme. De plus, il y a un renouvellement de la forme du blason : anaphore (procédé traditionnel) : « Ma femme » qui est le sujet et l'objet de l'Amour et la destinataire du discours du poète. Le parallélisme, symétrie, même construction qui se répète dans les vers pour caractériser la femme. D'autres anaphores prolongent l'anaphore initiale : « au … de » . (vers 40-41) L'absence de ponctuation et le recours au vers libre donne un souffle