Anatomie de l'horreur

genocides comme celui des Tutsi au Rwanda en 1994 ; sujet qu’aborde David Gallieni dans le chapitre « Rwanda : idéologie du génocide » issu de son ouvrage La Règle du Jeu. De multiples œuvres apparaissent ainsi chaque jour pour décrire et témoigner de l’horreur de ces violences. Il sera alors opportun de se demander en quoi entre les bourreaux inhumains et les victimes déshumanisées, la littérature peut reconstruire une humanité. Afin de répondre à cette problématique, après avoir considérer dans un premier

d’influence + « il change la mer en brule-parfums »  - ambiguite du caractere : 1. Un monstre a double nature : * figure fantastique (c’est un monstre) mais aussi humaine : eternuement = un mouvement subit et convulsif des muscles expirateurs = anatomie de l’homme : caracteristiques humaines : dos, yeux, bouche, chair, coeur, un souffle... mais il ne possede pas de la psychologie de l’homme (pas d’ instincts naturels de peur (« les traits de l’arc ne le font pas fuir ») 2. Une figure emblematique

le pouvoir royal et celui qui le défie. Le corps est un champ du pouvoir politique : le roi lave l’affront aux yeux de tous. En effet, le supplice est public, il est une mise en scène, une cérémonie. Le corps est également un champ d’expiation : l’horreur du crime est reproduit sur le corps du condamné pour être, tout en même temps, révélé et annulé. Punition. Si le supplice avait une utilité sociale et politique, c’était également une manifestation dangereuse. Nombreux étaient les cas d’insurrection

chiasmatique du vers 5, qui préfigure dramatiquement la surenchère dans l'« horreur » et assure la visibilité de l'à venir (insistance du « voir » en position initiale, associé au « spectacle », ce deuxième mot assurant une sorte d'amplification que l'horreur interdit néanmoins de voir comme un tableau ou une mise en scène esthétiques). Mais la limite est fragile, entre la mise en scène et la mise en perspective. Le mouvement suivant, qui établit les circonstances précises de la découverte, est le récit

2009 - 2010 1) Histoire Juin 1859, Solferino, Nord de l’Italie. La bataille fait rage entre l’armée française et les troupes autrichiennes. Henry Dunant, homme d’affaires genevois, découvre l’horreur de la bataille : 40 000 morts et blessés abandonnés sur le terrain. Révolté par cet abandon, il décide d’organiser, avec l’aide de la population civile, le secours des blessés. Tout ceci sans aucune distinction de nationalité. Bouleversé par

chiasmatique du vers 5, qui préfigure dramatiquement la surenchère dans l'« horreur » et assure la visibilité de l'à venir (insistance du « voir » en position initiale, associé au « spectacle », ce deuxième mot assurant une sorte d'amplification que l'horreur interdit néanmoins de voir comme un tableau ou une mise en scène esthétiques). Mais la limite est fragile, entre la mise en scène et la mise en perspective. Le mouvement suivant, qui établit les circonstances précises de la découverte, est le récit

élèves sur ce qui pourrait apparaître comme trois faiblesses générales, pour les pousser à en relever des indices utiles à l’analyse. 1. Le film est déceptif. Il y a un manque spectaculaire, résultat d’un détournement organisé : la sciencefiction et l’horreur sont sous nos yeux mais invisibles, intérieures, la mutation est plus psychologique et idéologique que physique, le principe étant justement celui de la duplication parfaite et de l’« enfer du même »1. C’est ce que condensent des répliques comme

rehaussent les nuances dominantes, assez sourdes. L'ensemble est harmonieux et renforce les effets esthétiques de la composition géométrique. La scène est plongée dans une ombre générale. Cependant un fort éclairage oblique accuse le modelé des anatomies et les drapés des tissus. (REMONTRER LE MARTYRE DE SAINT MATTHIEU = même oblique) Les drapés sont amples, comme parcourus de larges ondes. Il crée un effet de clair-obscur qui dramatise la scène. La lumière valorise le visage du roi, la chair de

jugent choquants. Son tableau la Tranchée est ainsi qualifié par un critique d’art « d’infâme, avec cette joie insupportable du détail [...] la cervelle, le sang, les entrailles, et tout cela peut être magnifiquement représenté. Ainsi la deuxième anatomie de Rembrandt, avec ce ventre ouvert, est absolument sublime. Mais Dix est – excusez moi du terme – à vomir. Il y a un tel étalage de sang, de cervelle et d’entrailles que cela provoque en nous une réaction animale portée à son paroxysme. » Ce peintre

comme «le nouveau monde» C'est aussi la découverte de l'imprimerie en 1450 par Gutemberg permet de mettre les grandes œuvres de la littérature antique à la porté de tous , et de découvrir de nouvelles connaissances en anatomie avec l'Homme de Vitruve de Léonard de Vinci . C'est une période de recherche qui consiste a placer l'homme au centre du monde . Le mot Humanitas en latin désigne la culture. L'Humanisme est une forme de politesse qui deviendra par la suite une