Andre Gide L Amour

Julia CHARDAVOINE « L’ACTE GRATUIT » DANS CRIME ET CHÂTIMENT DE F. DOSTOÏEVSKI ET LES CAVES DU VATICAN D’A. GIDE Mémoire de Master sous la direction de Monsieur Philippe CHARDIN. École Normale Supérieure Lettres et Sciences Humaines. Section Lettres et Arts. Août 2008. 1 INTRODUCTION.......................................................................................................................................... 3 1 PREMIERE PARTIE : LE ROMAN DE L’ACTE GRATUIT. .....

Sainte-Beuve Stendhal Verlaine Vigny Villiers de l’Isle-Adam Zola XXe siècle Alain-Fournier Apollinaire Aragon Bazin Beauvoir Beckett Bernanos Bonnefoy Breton Camus Céline Patrick Chamoiseau Claudel Cohen Colette Ernaux Follain Gide Giono Giraudoux Goffette Gracq Ionesco Kafka Le Clézio Lévi-Strauss Malraux Mauriac Montherlant Pagnol Ponge Proust Romains Saint-John Perse Sarraute Sartre Senghor Steinbeck Supervielle Tournier Valéry Vian Biographie Aragon

pure dans la boue La Dame aux camélias est un chef-d’œuvre d’Alexandre Dumas fils publié en 1848 inspiré par son amour pour la courtisane Marie Duplessis. L’héroïne s’appelle Marguerite Gautier, qui porte toujours un bouquet de camélias, d’où son surnom : la dame aux camélias. Le roman raconte une tragique histoire d’amour entre elle et un jeune bourgeois, Armand Duval. Cet amour fait verser bien des larmes aux lecteurs qui ne peuvent rester insensibles à la souffrance des deux amants, contraints

vraies et la pénétration scientifique peuvent seulement se gagner par le travail du concept. Le concept seul peut produire l'universalité du savoir. » Hegel, La Phénoménologie de l'esprit « Rien ne sert d’être vivant, s’il faut que l’on travaille. » André BRETON « L'Homme est un être de désir. Le travail ne peut qu'assouvir des besoins. Rares sont les privilégiés qui réussissent à satisfaire les seconds en répondant au premier. Ceux-là ne travaillent jamais. » Henri LABORIT, Éloge de la fuite.

Oedipe sur la route de Henry Bauchau - Antigone de Henry Bauchau - Le portrait de Dorian Gray de Wilde - Je l'aimais de Anna Gavalda - Le temps des secrets de Marcel Pagnol - L'élégance du hérisson de Muriel Barbery - Les faux monnayeurs d'André Gide - Mémoire d'une jeune fille rangé de Simone de Beauvoir. - Jacques le fataliste et son maître de Diderot. - Du côté de chez Swann de Proust - Moi, Christiane F., 13 ans, droguée, prostituée... - Oliver Twist de Charles Dickens - La dame de Bali

payer a ses fidèles absolument tout (comme les ouvrages considérés comme religieux, des cours, des tests de scientologie, etc…), telle les taxes prélevées par l'église catholique au moyen âge. Entretien : L'abbé Raymond Prévost de l'église saint André nous dit : « Une secte est une groupe qui a pour but de couper de la famille, de la vie, de la société et de s'enrichir au dépens des fidèles. Mais au contraire, une religion est une ouverture d'esprit, un reliment à dieu. » Dans cette optique d'ouverture

mais la vulgarité est infranchissable.»[ François Mauriac ] - Le noeud de vipères «Ce n'est pas la mort qui nous prend ceux que nous aimons ; elle nous les garde au contraire et les fixe dans leur jeunesse adorable : la mort est le sel de notre amour ; c'est la vie qui dissout l'amour.»[ François Mauriac ] - Le désert de l'amour «Les êtres que nous connaissons le mieux, comme nous les déformons dès qu’ils ne sont plus là !»[ François Mauriac ] - Thérèse Desqueyroux «Chacun de nous est un désert

l'antipathie ( haine, jalousie, mépris, rancune... ) , ou de la sympathie ( admiration, adoration, amitié, amour... ). - Nuancer l'expression d'un sentiment : Tu peux exprimer un même sentiment avec plusieurs mots : par exemple, pour traduire le sentiment d'antipathie. Tu as le choix entre les termes

surpopulation et le loisir. »(André Brincourt; « André Malraux ou le temps du silence » - 1966) Pour être cultivé, il fallait des loisirs: une classe de gens peinait pour permettre à un très petit nombre de jouir de la vie, de s'instruire, et le jardin de la culture, des belles-lettres et des arts, restait une propriété privée où seuls pouvaient avoir accès non les plus intelligents, les plus aptes, mais ceux qui, depuis leur enfance, s'étaient trouvés à l'abri du besoin. (André Gide , Discours sur Maxime

| |"Comme d'autres esprits voguent sur la musique, le mien, | |Ô mon amour ! nage sur ton parfum". | |