Andromaque Iii 8 Une Longue Tirade Lyrique

La liste des écrivains qui apparaissent sur la couverture. De gauche à droite et de haut en bas : 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. Michel de Montaigne Jean-Baptiste Poquelin dit Molière Madame de Sévigné Voltaire Denis Diderot Jean-Jacques Rousseau François-René de Chateaubriand Honoré de Balzac Victor Hugo Charles Baudelaire George Sand Arthur Rimbaud Marcel Proust Albert Camus Nathalie Sarraute Jean-Paul Sartre Marguerite Duras Patrick Modiano Pour les Nuls

apparaissent sur la couverture. De gauche à droite et de haut en bas : 1. Michel de Montaigne 2. Jean-Baptiste Poquelin dit Molière 3. Madame de Sévigné 4. Voltaire 5. Denis Diderot 6. Jean-Jacques Rousseau 7. François-René de Chateaubriand 8. Honoré de Balzac 9. Victor Hugo 10. Charles Baudelaire 11. George Sand 12. Arthur Rimbaud 13. Marcel Proust 14. Albert Camus 15. Nathalie Sarraute 16. Jean-Paul Sartre 17. Marguerite Duras 18. Patrick Modiano Pour les Nuls est une marque

la première poésie composée en langue vulgaire (et non plus en latin). Elle instaure une conception de l'amour qui s'intègre au système des valeurs féodales, la fin'amor (voir courtois, courtoisie). côté de la «chanson», ou canso, le poème d'amour lyrique, les troubadours pratiquent en les adaptant des formes comme le «sirventès», qui illustrent l'autre grande veine de cette poésie, guerrière et satirique. Bertran de Born, seigneur de Hautefort en Périgord (v. 1140-v. 1215), qui écrit en satiriste

la première poésie composée en langue vulgaire (et non plus en latin). Elle instaure une conception de l'amour qui s'intègre au système des valeurs féodales, la fin'amor (voir courtois, courtoisie). côté de la «chanson», ou canso, le poème d'amour lyrique, les troubadours pratiquent en les adaptant des formes comme le «sirventès», qui illustrent l'autre grande veine de cette poésie, guerrière et satirique. Bertran de Born, seigneur de Hautefort en Périgord (v. 1140-v. 1215), qui écrit en satiriste

« engagé » Écrit entre 1577 et 1589, le long poème des Tragiques (10 000 vers) n’a pu paraître qu’en 1616, dans une France religieuse pacifiée. Sur un ton tour à tour épique, prophétique, parfois violemment satirique, Agrippa d’Aubigné évoque les longues luttes religieuses du xvie siècle en pourfendant l’intolérance catholique. Montaigne (1533-1592) inventeur des Essais Édités dans leur première version en 1580, enrichis au fils des années, les Essais de Montaigne inaugurent une nouvelle forme littéraire

consacrer la traduction de lImitation de Jsus-Christ. Il faudra attendre 1659 pour quil revienne au thtre avec dipe, une tragdie crite la demande de Fouquet, le surintendant des Finances. Cette pice est un succs. En 1667, Racine triomphe avec Andromaque. Corneille, qui a 61 ans, se dcouvre un jeune rival audacieux, adul par un nouveau public. Protg par Fouquet, puis par Louis XIV, Corneille continue pourtant se consacrer au thtre, mais Racine la remplac dans le cur du public. En 1670, les deux

raconté) à la « mimésis » (imitation par la représentation de personnages agissants). La mise au point des techniques nécessaires à un tel passage a duré un siècle, en gros : le -6ème siècle. Acteurs : Lourds mannequins géants, matelassés sous leur longue robe, à la démarche lente et saccadée, assez effrayants avec leur énorme masque (porte voix d’où sort une voix surhumaine), montés sur leurs cothurnes, ils se déplacent au son d’une flûte ou de percussions. Ils ne chantent pas, mais psalmodient leur

......................................6 I. BÉNÉDICTION...........................................6 II. L’ALBATROS............................................7 III. ÉLÉVATION.............................................8 IV. CORRESPONDANCES............................8 V......................................................................8 VI. LES PHARES...........................................9 VII. LA MUSE MALADE...............................9 VIII. LA MUSE VÉNALE...........................

(série collège, juin 2007) Sujet 5 • Texte de Jacques Lacarrière (série collège, juin 2007) . . Sujet 6 • Texte d’Alexandre Jardin (séries tech. et prof., sept. 2007) ½ Sujet 7 • Texte de Frédéric Boutet (séries tech. et prof., sept. 2007) ½ ¾ Sujet 8 • Texte d’Axel du Prel (série collège, sept. 2007) . . . . . . ¾¼½ Sujet 9 • Texte de Christiane Rochefort (série prof., déc. 2007) . . ¾¼ Sujet 10 • Texte de Jean-François Samlong (série collège, avr. 2008)¾½ Sujet 11 • Texte d’Émile Zola (série collège

: - le tour elliptique : «Fallut se rendre. Fallut partir», les pronoms sujets étant omis, ce qui a le double effet de parodier, d’en faire une sorte de chant goguenard du troupier résigné) on note des euphémismes («le royal réduit») ; - les vers 8-9 qui montrent un certain lyrisme amusé. Le contraste s’établit aussi entre des moments secs : «J’eus beau»... (deux fois) et des moments fluides («obligeamment»). La parodie étant la réaction d’un lettré qui se tourne vers les Anciens pour leur demander