Andromaque Tragédie Antique

qui, dans sa défense et illustration de la langue française, imposait l'idée d'une tragédie et d'une comédie en français, la révolution qui avait substitué l'imitation du théâtre antique aux mystères et farces du Moyen-Äge avait été trop brutale pour que le public y adhère. Le moyen-Äge n'avait dégage aucune esthétique théâtrale. Le XVI siècle avait privilegié le theorie, en s'inspirant largement des modèles antiques , mais son effort, n'avait pas atteint la taille critique qui eût entraîné l'adhésion

auteurs grecs et latins. Cette solide culture antique lui fournira de nombreuses sources d'inspiration et de réflexion pour son théâtre. Au début de sa carrière, il se lie d'amitié avec La Fontaine (1659) et Boileau (1663). Après quelques poèmes et une première tragédie, La Thébaïde, jouée par Molière sans beaucoup de succès, il emporte une première victoire en 1665 avec Alexandre, pièce à la gloire de Louis XIV. Son premier véritable triomphe est Andromaque. L'année de la mort de Molière, en 1673

Shakespeare écrit la tragédie mythologique Troilus and Creside, Milton nous présente Comus qui cite une trentaine de mythes grecs. Puis, au 19e siècle, les poètes romantiques tels que Shelley, Keats et Byron utilisent la mythologie pour exprimer leurs sentiments. Jusqu’au vingtième siècle, on choisit la mythologtie significative à extérioriser leur fureur, leur angoisse causé par la guerre et à critiquer le phénomène irrationel de la réalité. En bref, il est évident que, de la période antique au monde d’aujourd’hui

reçoit est fondé sur l'étude de la Bible, de la rhétorique et des auteurs grecs et latins qu'il lit à livre ouvert. Cette solide culture antique lui fournira de nombreuses sources d'inspiration et de réflexion pour son théâtre. Le début d'une carrière Racine est ambitieux et compte faire carrière dans le monde. Après quelques poèmes et une première tragédie, La Thébaïde, jouée par Molière sans beaucoup de succès, il emporte une première victoire en 1665 avec Alexandre, pièce à la gloire de

l'étude de la Bible, de la rhétorique et des auteurs grecs et latins. Cette solide culture antique lui fournira de nombreuses sources d'inspiration et de réflexion pour son théâtre. Son éducation le lie au Jansénisme, doctrine sévère et pessimiste. On retrouvera ce pessimisme dans le destin de ses personnages. Racine est ambitieux et compte faire carrière dans le monde. Après quelques poèmes et une première tragédie, La Thébaïde, il emporte une première victoire en 1665 avec Alexandre, pièce à la gloire

trajédies et comédies en français. Ce renouveau permet à des nouvelles classes de la pop à s'y intéresser : des représentations sont données à la cour. XVIIè siècle : l'âge d'or du théâtre Théâtre classique Reprise du théâtre antique : Phèdre et Andromaque de Racine, Antigone d'Anouilh. Corneille, L’Illusion comique → Valorisation du théâtre LES DIFFERENTS GENRE THEATRAUX : > La comédie → cherche à faire rire, elle corrige les mœurs par le rire. Elle a une fonction de critique

Quels intérêts peut-on retirer, selon vous, de la lecture ou de la représentation d'une tragédie classique ? Le sujet soulève une problématique ouverte mais claire. -intérêts : avantage, apport personnel, enrichissement -lecture : théâtre fait pour être joué, spectacle, représentation, or présupposé : intérêt particulier né de la lecture : temporalité différente, relecture, propre interprétation… -représentation : faite par autrui d’où interprétation, parti pris du metteur en scène, des acteurs

est un art qui obéit à des contraintes qui lui sont propres Exiguïté, très petit renvoient à l’espace scénique, restreint. Cet espace très délimité rend difficile la multiplicité des lieux pour une même intrigue. Même à l’origine, l’amphithéâtre antique, lieu ouvert plutôt vaste était nettement circonscrit et les changements de décor peu nombreux. Certaines pièces au Moyen-Age représentées lors de foires proposaient plusieurs scènes en simultanées mais les contraintes techniques du théâtre à l’italienne

lâches et des coupables. Au théâtre, la mort n'est pas l'apanage du héros. Un exemple emprunté à la tragédie grecque : dans Electre de Sophocle (495-406 avant J.C.), Oreste tue sa mère Clytemnestre et son amant Egisthe. Le héros, c'est le meurtrier. 2 Le héros est-il celui qui sait mourir ou n'est-ce pas plutôt la mort qui fait de lui un héros ?  Prenons encore un exemple dans Sophocle et la tragédie grecque. Dans Antigone, Antigone devient vraiment un héros (une héroïne, plutôt) en se suicidant.

lâches et des coupables. Au théâtre, la mort n'est pas l'apanage du héros. Un exemple emprunté à la tragédie grecque : dans Electre de Sophocle (495-406 avant J.C.), Oreste tue sa mère Clytemnestre et son amant Egisthe. Le héros, c'est le meurtrier. 2 Le héros est-il celui qui sait mourir ou n'est-ce pas plutôt la mort qui fait de lui un héros ?  Prenons encore un exemple dans Sophocle et la tragédie grecque. Dans Antigone, Antigone devient vraiment un héros (une héroïne, plutôt) en se suicidant.