Anesthésie

est retraité et pèse 64 kilos pour 1m75. Mr. C. à fait son entrée en service de chirurgie le 09/05/2012, son motif d’hospitalisation est une fibroscopie ainsi qu’une coloscopie. Cette dernière est un examen diagnostic et thérapeutique réalisé sous anesthésie générale permettant d’accéder à la cavité abdominale et pelvienne à l’aide d’une caméra optique. Mr. X. présente comme antécédents médicaux : un diabète non insulino-dépendant (diabète de type II), une hypertension artérielle (HTA), IDM inférieur

Césarienne Traitements et allergies : aucuns Histoire de la maladie : Entrée au bloc opératoire le 19/12/2014 pour une conisation à l’anse diathermique (intervention qui consiste à enlever chirurgicalement une partie du col de l'utérus) sous anesthésie générale en prévision du papillomavirus (cancer du col de l’utérus). Prémédication: Xanax (Alprazolam) 0.25mg, anxiolytique en prévision de l’anxiété pré-opératoire. Dafalgan 1g (antalgique/antipyrétique) en prévision des douleurs post-opératoire

morphiniques comme le paracétamol, les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) ou encore le néfopam. Les morphiniques peuvent également être administrés en systémique (sous-cutané ou en analgésie auto-contrôlée par le patient (ACP)), notamment après anesthésie générale. Cependant, l’utilisation de morphiniques s’accompagne d’effets indésirables parmi lesquels on retiendra les nausées et vomissements, la sédation, le prurit, la rétention urinaire et la dépression respiratoire. Dans ce contexte, en raison

ses motivations et de lui expliquer clairement le déroulement de l'intervention, les risques de complications ainsi que les limites de l'opération. Cet entretien est suivi d'un examen médical, afin de déterminer le type d'anesthésie à effectuer (anesthésie locale ou générale). Aujourd'hui, les examens préopératoires, comme la consultation d'anesthésie, permettent d'évaluer l'état de santé du patient, ses troubles ou ses faiblesses (problème de coagulation ou de cicatrisation) et de prévoir ses réactions

(norme entre 18.5 et 25). Enfin, Mr G n’a signalé aucune allergie connue. En ce qui concerne ses antécédents, on note une thyroïdectomie partielle en 1986. En ce qui concerne les suites de l’intervention chirurgicale, qui s’est déroulée sous anesthésie générale, la reprise de l’hydratation, de l’alimentation et de la diurèse ont eu lieu sans complications. A ce jour, J2 de l’intervention, - en lien avec l’effraction cutanée et la présence d’une VVP à l’avant-bras gauche et d’une sonde vésicale

l’oreille gauche, 38.0 a droite. Apres l’essai d’un second appareil avec des résultats identique, le bloc opératoire est appelé et le Dr F accepte la patiente au bloc opératoire. La température est reprise au bloc (37.4). L’intervention dure 1h10 sous anesthésie générale légère selon la demande de la patiente. . Il n’y a pas de problème durant l’intervention. Constante de bloc : 8/51 74. Durant l’intervention, le chirurgien a retiré le polype utérin ainsi qu’un partie de l’endomètre ( endometrectomie)

à enlever des veines bouchées dans la jambe qui procurent de grosses douleurs. Il ne s’agit pas d’une intervention lourde : l’opération dure environ une heure, dans la salle ils ne sont que deux (le chirurgien et un infirmier), il n’y a qu’une anesthésie locale (péridurale). [pic] • les pontages : l’intervention consiste à soigner une veine bouchée, en utilisant une prothèse ou une autre veine prélevée ailleurs dans le corps. Les pontages peuvent se faire

deuxième jour : Jeudi 16 janvier 2014 : J’ai aidé l’assistante dentaire à ranger les documents des patients dans un grand tiroir. Puis j’ai observé le docteur Bénidini dévitalisé une dent d’un patient. Dévitaliser une dent consiste, sous anesthésie locale, à retirer complètement le nerf, à désinfecter l’intérieur des racines et à les reboucher de façon étanche. Étape 1 : une voie d’accès est ménagée à travers la dent pour accéder aux racines. Étape 2 : la longueur de chaque racine est déterminée

 Cas concret de Mr G- Chirurgie viscérale. Présentation succincte de Mr G. Mr G âgé de 58 ans, opéré le 3 septembre pour une sigmoïdectomie et une cure de hernie ombilicale sous cœlioscopie, sous anesthésie générale puis reprise en urgence au bloc pour une péritonite. Antécédents : Allergie : Intolérance à l’aspirine Médicaux : (Arthroscopie du genou gauche) pas d’intérêt dans la situation Sigmoïdite en 2011 et 3 crises en 2014 traitées par bi-antibiothérapie Rectorragie

méthode se déroule par: -une anesthésie locale(injection) autour de l'orifice de l'utérus; -une courte anesthésie générale qui dure quelques minutes; -une dilatation du col de l'utérus avec de fines tiges de métal; -introduction d'une canule dans l'utérus pour aspirer son contenu. {text:soft-page-break} L'intervention dure environ de 20 à 30 minutes. Dans le cas d'une anesthésie locale, la femme ne reste que trois heures à l'hôpital. Dans le cas d'une anesthésie générale, on la gardera, par