Annales de Tigernach

1032 mormaer (chef de clan) du district de Moray, charge occupée autrefois par son père Findláech MacRory (de 990 à 1020), et donc seigneur héréditaire, selon les Annales de Tigernach, et fils d'un roi d'Écosse, Findláech étant appelé rí Alban — ce qui signifie « roi d'Écosse » dans le langage gaélique du Moyen Âge — selon les Annales de l'Ulster et le Livre de Leinster. Il semblerait en tout cas qu'il n'ait eu aucun droit à la royauté, et que c'est comme commandant au service du roi Duncan Ier qu'il

 La fin d'un mythe La Bataille de Camlann est la dernière bataille à laquelle le Roi Arthur aurait pris part Les Annales de Cambrie (conservées dans des manuscrits duXIIesiècle) mentionnent la bataille de Camblan où périrent Arthur et "Medraut". Il n'est pas précisé s'ils sont alors des ennemis ou des alliés. Selon Geoffroy de Moumouth (Historia Regum Britanniae, 1135-1138) Arthur qui mène la guerre en Gaule est trahi par sa femme Geunièvre qui appuie l'usurpateur Mordred, neveu d'Arthur

Origines obscure mais dont le destin fut rendu légendaire par William SHAKESPEARE Petit-fils de Ruaidri et fils de Finloech, Macbeth aurait été chef de clan du district de Moray, et donc seigneur héréditaire, selon les annales de Tigernach, et fils d'un roi d'Écosse, selon les annales irlandaises. Il semblerait en tout cas qu'il n'ait eu aucun droit à la royauté et que c'est comme commandant au service du roi Duncan Ier qu'il fit assassiner ce dernier, en 1040, afin de s'approprier le royaume. Il aurait

retrouvées respectant la mythologie de la légende et le cadre de vie des celtes au VI ième siècle. Sa valeur est documentaire, elle traite de l'origine des légendes arthuriennes (violentes). Témoignages sur le roi arthur dans les « Annales Cambriae (956) : « 516 : Bataille de Badon, dans laquelle Arthur porta la croix de Notre Seigneur Jésus-Christ, trois jours et trois nuits, sur ses épaules, et les Bretons furent victorieux. » : un vrai Arthur chevalier a accomplis un exploit guerrier

was the goddess Brigit, patron of poets, who later became Christianized as St. Brigit. It was not a good idea to get on the wrong side of the Morrigan, she was not nice to know. There is part of an elegy of an Irish prince in the ‘Annals of Tigernach’ in which the white-haired Morrigan drowns the prince in the sea, she “flung her white mane against Conaig in his curach. Hateful is the laugh which she laughs today”.(27) The Morrigan and Dagda also figure in one of the most stirring