Anne Ma Soeur Anne

château. Le prince vécut avec la princesse plus de deux ans entiers, et en eut deux enfants, dont le premier, qui fut une fille, fut nommée l’Aurore, et le second, un fils, qu’on nomma le Jour, parce qu’il paraissait encore plus beau que sa sœur. La reine parla plusieurs fois à son fils, pour le faire expliquer, mais il n’osa jamais se fier à elle de son secret : il la craignait, quoiqu’il l’aimât, car elle était de race ogresse, et le roi ne l’avait épouséequ’à cause de ses grands biens.

l'Autriche-Hongrie, leur père retourne en Roumanie. Restés à Paris, Ionesco et sa jeune sœur sont élevés par leur mère qui les fait vivre comme elle peut, mais Eugène est placé dans un foyer d'enfants auquel il ne peut s'habituer. Aussi, de 1917 à1919, sa sœur et lui sont confiés à une famille de paysans près de Laval (Mayenne). Cette période restera dans son souvenir comme un temps très heureux. En 1925, le frère et la sœur retournent chez leur père à Bucarest où ils apprennent le roumain. Leur père a obtenu

présente est le fait qu’on ne puisse pas vivre sans amour, plus précisément, si on ne vit pas en couple. « La seule valeur humaine de l’indépendance est une valeur d’échange. Quand on garde l’indépendance pour soi, tout seul, on pourrit à la vitesse des années de solitude. (...) Le couple, cela signifie un homme qui vit une femme et une femme qui vit un homme » , l’homme est à moitié homme et à moitié innommable. Donc il parvient à substituer une autre moitié à cette moitié innommable qu’il porte en lui

généralisée de l’Homme et de ses actions. Cela pose entre autre la question de la liberté dans un contexte historique absurde. L’intrigue de l’histoire met en scène Jan, un homme riche qui a réussi sa vie et qui retourne des années plus tard voir sa famille, sa mère et sa sœur, Martha. Celles ci tiennent un hôtel et se livrent à des activités criminelles en détroussant et en tuant les riches voyageurs de passage dans leur demeure dans l’espoir de quitter leur région vers un endroit plus accueillant

autobiographique qui parle d’aventures vécues par l’auteur. Il s’agit d’un texte autobiographique. Résume : Née sourde profonde, Emmanuelle Laborit pousse des cris semblables à ceux des oiseaux, ainsi est-elle surnommée la mouette. Elle passe ses premières années à être dépendante des entendant par le biais de sa mère, avec qui elle entretient une relation instinctive alors que la communication entre elle et son père et quasi inexistante. Mais c’est bien son père qui lui fait découvrir la langue des signes

emploi de blanchisseuse qui lui permet de sortir de sa misère. Le jour où Lantier a abandonné Gervaise, cette dernière s'est battue au lavoir avec Virginie, la sœur d'Adèle, Gervaise a remporté le combat.  C'est à cette époque que Coupeau, un ouvrier zingueur, décide de la courtiser. Ils vivent ensemble dans le même immeuble que la soeur de Coupeau, mariée à Lorilleux, un chaîniste cupide et égoïste. Ils se marient à la mairie, puis à l'église. Le nouveau couple connaît une certaine prospérité

l'Aisne le 8 décembre. Soeur du poète et écrivain Paul Claudel. Camille passe son enfance à Villeneuve sur Fère et faire ses premiers pas d'artiste à Nogent sur Seine. Elle mourra dans le Vaucluse le 19 octobre 1943. Depuis son adolescence, Camille est passionnée par la sculpture et commence très jeune à travailler la glaise. Soutenue par son père, elle doit affronter la très forte opposition de sa mère. Aînée de quatre ans de Paul Claudel , elle impose à celui-ci, ainsi qu'à leur sœur Louise, sa forte

ou la prise de conscience d’un secret permet à certains personnages de donner un sens à leur vie. En posant le poids du secret de famille au cœur de l’histoire, Alice Walker expose les tabous familiaux et sociaux de la société américaine des années 1900 à 1930. Au début du roman, Célie subit des violences telles qu’elle ne peut avoir qu’une mauvaise opinion d’elle même. Jeune adolescente isolée et traumatisée par les hommes, elle se dénigre et se soumet à la violence pour se protéger. A travers

travaille avec noblesse, soigne son travail ; c'est le type même du bon ouvrier. · Les Lorilleux : sœur et beau-frère de Coupeau ; ouvriers bijoutiers en chambre, ils fabriquent des chaînettes d'or ; leur logis est crasseux ; ils survivent par leur travail et leur avarice ; Mme Lorilleux n'aime pas Gervaise qu'elle surnomme « La Banban » (pour « La Bancale » sans doute) ; elle est jalouse de cette belle-soeur qui parvient à s'établir dans un commerce ; les Lorilleux refusent d'aider Gervaise lorsque celle-ci

est la cible des jeunes du lycée et ses parents décident de l’envoyer en Amérique en attendant que les choses se calment. Conrad , quand à lui, croit en Hitler. Hans devient avocat et tente d’oublier son passé, mais celui-ci le rattrape plusieurs années plus tard… ANALYSE DE L’ŒUVRE « Quand je le quittai enfin, je courus sur tout le chemin du retour. Je riais, je parlais tout seul, j’avais envie de crier, de chanter, … » Ce passage est pour moi très intense et on peut ressentir toute l’émotion