Annick Cojean

1. L'auteure et son domaine de recherche : L'auteure de l'article, Annick Cojean, est une journaliste. Grand reporter au journal « Le Monde » depuis 1993, lauréate du prix Albert-Londres (dont elle préside aujourd'hui le jury) en 1996 pour sa série de reportages « Les mémoires de la Shoah » ; Annick Cojean s'intéresse principalement à la politique mondiale, au centre de la plupart de ses articles de presse, à l'Histoire et aux voyages, sujets phares de plusieurs de ses ouvrages comme Les Hommes

Fiche de lecture : « Une farouche liberté » par Gisèle Halimi et Annick Cojean. 1) Biographie et courants  : Biographie  : Gisèle Halimi (1927-2020) est avocate au barreau de Paris, féministe, fondatrice avec Simone de Beauvoir et coprésidente de l’association Choisir-La Cause des femmes, et présidente de la commission politique de l’Observatoire de la parité entre hommes et femmes. Cette femme a pris part à tous les grands combats

L'île du crâne L'écrivain : ANTHONY HOROWITZ Langue originale: Anglais Traductrice : Annick le Goyat Éditeur: Hachette Collection : Verte Aventure Date de parution originale: 1988 Date de parution: 1991 Dessinateur: Benoît Dartigues Genre : Fantastique Cela se passe dans l'école de groosham Grange. A l'approche de Noël. Mots clés : école mystérieuse. Biographie : Anthony Horowitz est né à Londres en 1957. Il a commencé a écrire en 1983. Il a écrit de nombreux romans pleins d'humour

Alex Rider Stormbreaker Présentation du livre Ce livre est un roman policier qui a été écrit par Anthony Horowitz et qui est apparu en avril 2001. Résumer Alex rider est agé de 14 ans lorsque son oncle chez qui il vit meurt.Son oncle disait à Alex qu'il travaillait dans une banque.Seulement le jeune garçon devina tout de suite que ce n'était pas vrai car après l'enterrement, le chef de la banque vena lui parler et lui exprima toutes ces condoléances et dit que son oncle était mort dans un accident

d'actualité dont les conséquences sont encore très présentes dans les mœurs occidentaux et bien-sûr, orientaux. Malgré la densité de ce texte, nous en ferons une étude linéaire, en tentant de mettre en évidence les prises de position de l'auteur, Annick Cojean. Nous nous concentrerons d'abrod sur le titre et le chapeau du texte avant d'étudier paragraphes par paragraphes les dimensions stylistiques de cet article de journal. Cette enquête nous est d'abord présentée par le journaliste rédacteur de

courage, pris des risques fous, reçu les clandestins, assuré la transmission des messages... Il était impossible de leur dénier encore le droit de vote. Ce n’est pas de Gaulle qui leur a donné. Ce sont les femmes qui l’ont glorieusement gagné.» Annick Cojean, Le Monde 2001. → En effet, énormément de femmes ont participé à la Résistance durant la Seconde Guerre Mondiale. Les hommes allaient au front et les femmes travaillaient dans les usines à leur place. C'est à partir de ce moment la que les mentalités

fous, reçu les clandestins, assuré la transmission des messages... Il était impossible de leur dénier encore le droit de vote. Ce n’est pas de Gaulle qui leur a donné. Ce sont les femmes qui l’ont glorieusement gagné. » Propos recueillis par Annick Cojean, Le Monde, vendredi 9 mars 2001. En novembre 1944, les comités féminins de la Résistance fusionnent pour former l’Union des femmes françaises. L’UFF connaît un développement spectaculaire, en lien avec l’euphorie de la Libération et le rôle

courage, pris des risques fous, reçu les clandestins, assuré la transmission des messages…Il était impossible de leur refuser encore le droit de vote. Ce n’est pas de Gaulle qui leur a donné. Ce sont les femmes qui l’ont glorieusement gagné. » ( Annick Cojean, Le Monde, vendredi 9 mars 2001) http://femmesdanslaresistance.unblog.fr/ Source : le livre d'histoire-géographique de 1ère Conclusion : On parle beaucoup de la lutte des femmes pour le droit de vote mais leur engagement et leur rôle dans la

AVIS PERSONNELUNE FAROUCHE LIBERTE-ANNICK COJEANTout d’abord, en lisant le chapitre un, j’ai eu une émotion de tristesse cependant par la suite j’ai été pris aux tripes.Dans un premier temps j’ai eu une émotion de tristesse car je trouve qu’aucune femme et aucun enfant ne devrait vivre ce que Gisele Halimi a vécu, et ce que des millions d’enfants vivent encore : une injustice sans nom, dans laquelle elles sont obligées de se plier aux règles misogynes de la société dès l’enfance, car comme le dit

risques fous, reçu les clandestins, assuré la transmission des messages... Il était impossible de leur dénier encore le droit de vote. Ce n’est pas de Gaulle qui leur a donné. Ce sont les femmes qui l’ont glorieusement gagné.»Propos recueillis par Annick Cojean, Le Monde, vendredi 9 mars 2001. En novembre 1944, les comités féminins de la Résistance fusionnent pour former l’Union des femmes françaises. L’UFF connaît un développement spectaculaire, en lien avec l’euphorie de la Libération et le rôle