Annie Playden

André Durand présente ‘’Alcools’’ (1913) recueil de poèmes de Guillaume APOLLINAIRE On trouve ici les textes et les commentaires de : ‘’Les colchiques’’ (page 2), ‘’Palais’’ (page 4), ‘’Chantre’’ (page 5), ‘’Crépuscule’’ (page 5), ‘’Annie’’ (page 7), ‘’La maison des morts’ (page 8), ‘’Clotilde’’ (page 13), ‘’Cortège’’ (page 14), ‘’Le voyageur’’ (page 16), ‘’Marie’’ (page 18), ‘’La blanche neige’’ (page 19), ‘’Poème lu au mariage d’André Salmon’’ (page 19), ‘’L’adieu’’ (page 20), ‘’Salomé’’

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souvenir c'était au déclin de la beauté » Ici s’exprime le mal-aimé quide sa douleur personnelle passe à un rejet de toutes les femmes stigmatisées par leurs menstruations, symbole d'impureté ou toutes sanguinaires comme l’ont été avec lui Annie Playden puis Marie Laurencin. Vers 83 à 85 : « Entourée de flammes ferventes Notre-Dame m'a regardé à Chartres Le sang de votre Sacré-Coeur m'a inondé à Montmartre Je suis malade d'ouïr les paroles bienheureuses » Apollinaire donne d’autres exemples

voudrais ne pas men souvenir ctait au dclin de la beaut Ici sexprime le mal-aim quide sa douleur personnelle passe un rejet de toutes les femmes stigmatises par leurs menstruations, symbole dimpuret ou toutes sanguinaires comme lont t avec lui Annie Playden puis Marie Laurencin. Vers 83 85 Entoure de flammes ferventes Notre-Dame ma regard Chartres Le sang de votre Sacr-Coeur ma inond Montmartre Je suis malade dour les paroles bienheureuses Apollinaire donne dautres exemples de sa religiosit

présent. Dans le recueil Alcools, Apollinaire évoque des passages de sa vie : « Chacun de mes poèmes est la commémoration d'un moment de ma vie ». Il dévoile donc ses sentiments personnels. Ces échecs amoureux lui inspire de nombreux poèmes. Annie Playden dans « Annie »ou encore « Les colchiques »et Marie Laurencin dans « Marie » tiennent une grande place dans le recueil. Apollinaire utilise la première personne, le pronom personnel « je » et se dévoile. Il nous parle de lui mais pas seulement : « Parlez-nous

comptoirlitteraire.com www.comptoirlitteraire.com Andr Durand prsente Alcools (1913) recueil de pomes de Guillaume APOLLINAIRE On trouveici les textes et les commentaires de Les colchiques (page 2), Palais (page 4), Chantre (page 5), Crpuscule (page 5), Annie (page 7), La maison des morts (page 8), Clotilde (page 13), Cortge (page 14), Le voyageur (page 16), Marie (page 18), La blanche neige (page 19), Pome lu au mariage dAndr Salmon (page 19), Ladieu (page 20), Salom (page 21), La porte (page 21), Merlin

la poésie peut notamment servir aux poètes de partager leurs expériences amoureuses ; par exemple dans La Chanson du mal aimé , poème extrait du recueil Alcools dans lequel Apollinaire fait le récit en chanson de ses amours malheureuses avec Annie Playden, rencontrée en Rhénanie. Dans ce début de poème, Apollinaire retrace de façon discrète un épisode douloureux de sa vie sentimentale. Ses échecs amoureux fournissent à Apollinaire un lyrisme neuf et personnel et fait du poète un être souffrant de

roman appelé « Mirely ou le petit trou pas cher » prend place sous forme d'un roman pornographique écrit sous pseudonyme pour un libraire de la rue Saint-Roch à Paris. En 1901, il fit un séjour en Rhénanie chez Mme de Milhau, il rencontre alors Annie Playden et tombe fou amoureux de cette femme. Suite à son retour en France, son pseudo est alors changé en Guillaume Apollinaire d'après le prénom de son grand père, Apollinaris , il est alors ensuite engagé un mois comme nègre de l'avocat Esnard pour

l’amour estfaux et mauvais et fait du mal au poète. Le regret de ses relations passées avec ses muses est une thématique phare du recueil Alcools , il exprime son regret pour son amour non-réciproque pour Annie Playden qu’il rencontra en Allemagne, dans sespoèmes tel que : « La Chanson du Mal-Aimé » et « Anne ». Et son amour perdu pourMarie Laurencein dans « Le Pont-Mirabeau » et dans le poème « Marie ». Peutimporte la femme, l’amour le trahi et le blesse.Les

André Durand présente ‘’Alcools’’ (1913) recueil de poèmes de Guillaume APOLLINAIRE On trouve ici les textes et les commentaires de : ‘’Les colchiques’’ (page 2), ‘’Palais’’ (page 4), ‘’Chantre’’ (page 5), ‘’Crépuscule’’ (page 5), ‘’Annie’’ (page 7), ‘’La maison des morts’ (page 8), ‘’Clotilde’’ (page 13), ‘’Cortège’’ (page 14), ‘’Le voyageur’’ (page 16), ‘’Marie’’ (page 18), ‘’La blanche neige’’ (page 19), ‘’Poème lu au mariage d’André Salmon’’ (page 19), ‘’L’adieu’’ (page 20), ‘’Salomé’’