Anthologie Prison

peine de mort à l'encontre des citoyens romains était peu courante et jugée exceptionnelle. On lui préférait des peines de substitution allant, selon le crime et le criminel, de la réprimande privée ou publique à l'exil, ou la torture, ou encore la prison, et en dernier ressort, la mort. Il en était tout autrement pour les étrangers qui étaient considérés comme inférieurs vis-à-vis du citoyen romain et surtout les esclaves, considérés comme une chose dans le patrimoine (res in patrimonio). Précision

personnalité de mineur 40 A. Les étapes de l'acte criminel 40 B. Les conditions du passage a l'acte 41 Chapitre4. Traitement du phénomène 44 I. L'efficacité de la peine d'emprisonnement 44 A. La peine d'emprisonnement 44 B. Les peines alternatives a la prison 45 II. Réduction de l'ampleur du phénomène 48 A. Réformes de la panoplie législative 48 B. Des mesures de prévention 50 III. Remèdes a la délinquancejuvénile 50 A. Exemples du passé 50 B. Exemples modernes 51 ***Conclusion générale 54 Bibliographies

volontaires ou d’atteintes graves ayant entraîné la mort. La peine encourue est l’emprisonnement pour 25 ans ou à perpétuité. 1 Catégorie 3 : les auteurs d’atteintes graves à la personne. La peine encourue est de 5 à 7 ans de prison. ▪ Catégorie 4 : les auteurs d’infractions contre la propriété. La peine encourue est la réparation civile des dommages. Les premiers procès démarrèrent fin 1996. Après un an de fonctionnement, le constat a été que les tribunaux

exécuté en 1832. Claude GUEUX vivait en concubinage avec une femme, et leur fille. Un jour ils se retrouvent en manque de pain et de bois, Claude GUEUX va voler pour nourrir et réchauffer sa famille, mais il va se faire arrêter. Arrivé en prison il se fait une notoriété auprès des prisonnier, il se fait un ami du nom de Albin. Il a vingt ans il est pâle, jeune mince frêle à l’inverse de Claude Gueux qui as 36 ans , qui est fort et robuste. Albin partage sa misère avec Claude, il partage sa

1. Etude des paratextes 2.1 Le premier document (1/2) comporte trois paragraphes. Le premier est le résumé d’un évènement historique survenu en 1934 ou de jeunes pensionnaires de la maison de redressement s’échappent. Le second présente l’impact de cette évasion, un fait divers qui n’est pourtant pas le premier donnera lieu à une compagne de presse massive et sera sources d’inspiration du poète Jacques Prévert. Enfin le dernier paragraphe est une présentation du poète Jacques Prévert

Fiche de lecture « Surveiller et Punir, naissance de la prison » par Michel Foucault I .Biographie de l’auteur Michel Foucault est né en 1926 à Poitiers et meurt en 1984 à Paris après une longue carrière de philosophe engagé (ex : lutte contre l’homophobie, réaménagement des prisons…). Il s’est toujours intéressé au rapport entre pouvoir et connaissance et à la façon dont les hommes interagissent entre eux. M. Foucault a été un structuraliste à ses débuts, cela signifie qu’il analysait

celle-ci. Je vous parlerais donc de ce que les pays abolitionnistes ont perdu au fil du dernier siècle, et de ce qu’ils peuvent faire renaître. En premier lieu, si l’on examine des prisonniers connus dans l’histoire de l’humanité, Adolf Hitler (en prison 264 jours) a écrit son livre de propagande « Mein Kampf » dans sa cellule en Allemagne, et Nelson Mandela (emprisonné de 1964 à 1990) faisait bouger ses troupes révolutionnaires même lorsqu’il était au cachot. Ceci nous montre qu’une mauvaise influence

condamnation d'innocents, coûtent plus cher que les frais à payer pour un prisonnier avec une peine à perpétuité. Garder en vie des criminels, cela ne favoriserait pas les récidives ? En effet, on ne peut pas savoir si ceux-ci, une fois sortis de prison, ne commettrons pas un nouveau meurtre. Mais la peine de mort entraine la possibilité d'une erreur judiciaire (comme il s'en est produit plusieurs) et la perte de vie humaine qu’entraine la peine de mort est irréparable. Par exemple, pour l'Affaire

ARMEES A partir de 1965, elle commence les attaques à main armée et la mise en place de l’impôt révolutionnaire auprès des Basques. Prise d'otages : 17 janvier 1996: début de la prise d'otage la plus longue de l'histoire d'ETA. Un officier de prison sera retenu et torturé pendant 532 jours.  THEME POLITIQUE En 1966, lors de la première partie de la cinquième assemblée, voit une division entre l’ETA-Berri et l’ETA-Zarra. Le 8 janvier 1989, l'ETA annonce la première trêve de son histoire

pour les obtenir. Et un jour Marie se réveille en entendant des bruits inhabituels, c’est les Allemands qui viennent les chercher. Ils ont été dénoncés. Le chemin est long, ils se dirigent vers Marseille. Ils sont amenés à la prison St-Pierre. Marie s’habitue vite à la prison, malgré que ce soit inconfortable et qu’ils n’aient aucune intimité. Ils sont nourris suffisamment. Sa grand-mère a été libérée en disant qu’elle n’est pas juive. Son père réussit à faire passer des lettres en douce, Ils reçoivent