Anthropisation

caractère renouvelable ou non… Le développement durable, fil rouge du nouveau programme de géographie La géographie a une longue pratique de l’analyse des rapports nature/société La géographie a depuis longtemps fait le constat de l’ancienne anthropisation des milieux, elle envisage des aménagements effectués sur des littoraux, en montagne, en zone humide… L’approche géographique se distingue de celle des SVT qui privilégie l’aspect naturaliste et la dimension écologique, mais les analyses géographiques

Questions du concept de patrimoine, relation société-nature, aménagement territorial, identité de Mendoza. I- Le système rue-canal d’irrigation-arbre-trottoir comme générateur d’une ville-jardin Canaux d’irrigation constituent la première anthropisation des zones désertiques de la région. Ce n’est qu’ensuite dans ce premier schéma que sont venues voies de circulation, infrastructures, construction. Dans la ville coloniale : tracé irrégulier des canaux, seulement quelques arbres. Après tremblement

sous-tend un état stable, figé dans le temps. En définitive, peut-on envisager un développement | |humain figé ? Le développement n’est-il pas intrinsèquement dynamique ? A travers l’exemple environnemental, il apparaît inconcevable | |qu’une anthropisation ne génère aucune perturbation des milieux ; cela s’inscrit donc en rupture complète avec la notion de durabilité. | |Scientifiquement, il est parfaitement acquis que les interventions humaines modifient les équilibres écosystémiques.

manière irrégulière mais peuvent avoir une très forte intensité. Les aléas sont donc présents et ce depuis un bon moment mais on peut se demander si ceux-ci n’ont pas été renforcés depuis quelques décennies. En effet on constate une forte anthropisation de la commune et de toute la région côtière du Languedoc-Roussillon depuis les années 1960 et notamment la Loi Racine. Cette emprise de l’homme a évidemment des répercussions sur les aléas, on peut par exemple remarquer la déviation sensible du

Annaler, 74A (2-3) : 109-121. Meunier, M., 1991. Éléments d’hydrologie torrentielle. Centre d’Étude du Machinisme Agricole, Série Études Montagnes 1, 176 p. Mlakar, J. M., 1992. Les tufs et travertins du Col du Lautaret : paléoenvironnements et anthropisation des milieux alpins d’altitude. Mémoire de DEA, Université d’Aix Marseille II, Aix-en-Provence, 125 p. Nieuwenhuijzen, M. E. et Van Steijn, H., 1990. Alpine debris flows and their sedimentary properties. A case study from French Alps. Permafrost

Paysage identitaire, paysage patrimonial...................................27 thème 4 Paysage vécu, paysage subi, paysage construit........................33 colloque du thème 4 Paysages anciens et actuels : reconstitution, évolution naturelle, anthropisation................39 thème 5 Le paysage et l’eau......................................................................41 thème 6 Paysages urbains.........................................................................47 Colloque du thème 6

d’autres encore un changement inexorable et naturel des communautés vivantes. Sans doute aussi les invasions représentent-elles aussi un « élément d’alerte » concernant le dysfonctionnement de nos écosystèmes à la suite d’impacts locaux (pollution, anthropisation,…) ou globaux (changements climatiques). De plus, ce phénomène dépasse largement le contexte des introductions d'espèces. Ainsi, à la faveur de grands changements environnementaux, des espèces autochtones sont susceptibles d'étendre brutalement

bas de pentes. I-2-4-Végétation Le département d'Oumé marque la transition entre la foret et la savane. Les formations sont représentées par des lambeaux ou ilots forestiers. La végétation actuelle du département est caractérisée par une anthropisation aigue. Elle est constituée de quelques ilots forestiers appauvris, de grandes proportions de jachère des cultures pérennes telles que le café et le cacao et de plantation artificielles d’essences forestières réalisées par la SODEFOR. I-2-5-Population

environnement Les hommes se répartissent dans des milieux géographiques qui résultent de l’interaction entre les différentes composantes du milieu physique et les actions humaines, qui s’inscrivent dans la longue durée. En France, du fait de cette forte anthropisation, il n’existe quasiment plus de milieux « naturels », bien que la nature demeure présente par le biais des climats, de l’eau, des grandes formes de relief qui peuvent représenter des ressources ou des contraintes pour la société. Certains milieux

filières agroalimentaires, cependant beaucoup plus développées aux États-Unis qu’au Brésil. 3. Montrez que l’agriculture contribue fortement à organiser les territoires de ces deux États. Les paysages photographiés ici témoignent de la forte anthropisation des milieux liée à l’extension de la frontière agricole dans les deux pays. Si le processus est beaucoup plus ancien aux États-Unis qu’au Brésil (dernier tiers du XIXe siècle pour l’un et du XXe siècle pour l’autre), la dynamique spatiale est