Anthropomorphisme

lion lié »). - Sobriété de La Fontaine (esthétique classique). Stylisation de la fable : simplification de l’action, même par rapport à Ésope. 9 vers pour le récit seulement. . L’apparence des animaux DissErtAtion AnALysEr LE sujEt - Anthropomorphisme chez Marot : bonnet du rat, allusion à des accessoires (serpe, couteau) dont se servent les hommes, usage de la parole, sentiments mis en valeur (pitié du lion : « Ô pauvre verminière »). - Animaux naturels chez la Fontaine : rugissements, pas

cause de la valeur souveraine de l’individu naturellement bon. ANOMIE : absence de loi, d'organisation ou de coordination sociale génératrice de désordre. ANTHROPOCENTRISME : littéralement, considérer l'homme comme centre de toute chose. ANTHROPOMORPHISME : littéralement, fait de donner une forme humaine à un être (représentations de Dieu ou de la mort). ANTHROPOLOGIE : étude scientifique de la nature humaine. APORIE : problème insoluble. (Littéralement : sans ressource ou stérile) ARBITRAIRE :

Tous les régimes politiques reposent en tout, en partie sur de postulats indémontrables ce qu’on pourrait appeler les actes de foi ; pour la Démocratie ce serait l’égalité ou la liberté= » d’où irrationalité dans tous les régimes politiques. Anthropomorphisme : comme si les électeurs constituaient un ensemble doté d’intentions et projets particuliers un ensemble : un homme dont on pourrait décrypter la pensée. La notion de Raison n’est pas un élément caractéristique de la Démocratie. Sous section

famille Les animaux de compagnie sont souvent considérés comme des membres de la famille. Certaines personnes estiment que les animaux domestiques partagent nos émotions. Du coup, on leur offre des cadeaux pour leur anniversaire par exemple. Anthropomorphisme = certaines personnes considèrent leur animal comme leur meilleur compagnon sur qui ils projettent leurs propres pensées ou désirs. Cette attention pour les animaux a poussé les fabricants à proposer des produits de plus en plus sophistiqués

(v.30/31) jeux sur les sonorités (« lion lié »). - Sobriété de La Fontaine (esthétique classique). Stylisation de la fable : simplification de l’action, même par rapport à Ésope. 9 vers pour le récit seulement. 3. L’apparence des animaux - Anthropomorphisme chez Marot : bonnet du rat, allusion à des accessoires (serpe, couteau) dont se servent les hommes, usage de la parole, sentiments mis en valeur (pitié du lion : « Ô pauvre verminière »). - Animaux naturels chez la Fontaine : rugissements, pas

(tous droits dréservés) 85 II – Les personnes morales La personnalité juridique est reconnue par le droit à des entités qui ont des buts et des intérêts collectifs → groupements de personnes ou de biens que la loi considère, par anthropomorphisme, comme des personnes juridiques; Deux axes pourront être envisagés : La nature juridique de la personnalité morale; Le régime juridique de la personnalité morale. acisse (tous droits dréservés) 86 II – Les personnes morales La

pré-scientifique associée aux religions primitives. Il s’agit de chercher des explications aux énigmes de l’existence dans un monde imaginaire et mythologique, où les dieux ressemblent aux hommes et représentent des solutions à leur besoins d’explication (anthropomorphisme) : le vent s’explique par le dieu du vent, Éole qui se met à “souffler” (cf. T 2 p. 361). Il est clair qu’une telle conception des dieux à l’image ds hommes ne tient pas longtemps. L’aspect mythologique va disparaître au profit d’explication plus

30/31) jeux sur les sonorités (« lion lié »). - Sobriété de La Fontaine (esthétique classique). Stylisation de la fable : simplification de l’action, même par rapport à Ésope. 9 vers pour le récit seulement. 3. L’apparence des animaux - Anthropomorphisme chez Marot : bonnet du rat, allusion à des accessoires (serpe, couteau) dont se servent les hommes, usage de la parole, sentiments mis en valeur (pitié du lion : « Ô pauvre verminière »). - Animaux naturels chez la Fontaine : rugissements

l’Écriture la réaction du Dieu trois fois saint face à la rupture de l’alliance de la part du peuple élu ou, plus largement, face à toute impiété. Elle est l’envers du droit absolu de Dieu à être aimé par- dessus tout. « La “colère” de Dieu est un anthropomorphisme qui […] exprime, plutôt qu’un sentiment d’irritation, le châtiment qui 18. Cf. Jg 5, 11. 19. Rm 3, 21-26. 20. Cf. Ez 24, 14 ; Mt 16, 27 ; Rm 2, 6 ; Ap 2, 23 ; 20, 12. 21.

5. Ibid., page 282 / Voltaire, Dictionnaire philosophique portatif (1764), article « Bêtes » / Jeremy Bentham, Introduction aux principes de morale & de législation (1789) : anthropocentrisme ou anthropomorphisme : l’animal souffre. 6. Ibid., pages 150-151 : l’animal raisonne