Antigone Heroine Mythique

111 14. La poétique des ruines ……………………………………………………...113 15. Le paysage mythique du Nadhor.………………………………………….. 115 16. Le sol natal comme repère identitaire ………………………………………118 17. Le labyrinthe joycien ……………………………………………………… 119 18. Les espaces mythiques et emblématiques.…………………………………. 120 19. Personnification et humanisation du paysage.…………………………….. 124 20. Conclusion ………………………………………………………………… 127 V. LE PAYSAGE MYTHIQUE DE « YOKNAPATAWPHA » CHEZ WILLIAM AULKNER…………………………………………………………. 1. Le

Puis elle s’attache au jeune Jupillon, fils d’un épicier. Mais l’enfant grandit, devient homme, et Germinie éprouve une dévorante passion pour lui. Ces amours la conduiront à la déchéance. Zola, qui admirait beaucoup ce roman, s’en inspira pour son héroïne Gervaise, dans L’Assommoir. Dans l’extrait suivant, le narrateur décrit un aspect de la déchéance de l’héroïne : l’alcoolisme. D’abord, elle avait eu besoin, pour boire, d’entraînement, de société, du choc des verres, de l’excitation de la parole

ADOSA, Paris, 1984, 184 p. 17 Hélène. [ 150 BACON (H.), « Woman's two faces : Sophocles' view of the tragedy of Oedipus and his family », in Science and Psychoanalysis Decennial Memorial Volume, J. Marmor, New York, 1966, p. 10-24. 07G, 17 Antigone, Jocaste, Sophocle. [ 151 BADER (Clarisse), La femme grecque: étude de la vie antique, Didier, Paris, 1872. 05, 13. [ 152 BADER (Clarisse), La femme romaine: étude de la vie antique, Didier, Paris, 1877. 05, 13. [ 153 BADIAN (E.), « Eurydice

est la ville natale de Bérénice où Antiochus, alors allié de Titus, a rencontré et éprouvé un coup de foudre pour la reine (voir vers 188 à 190) dans le même temps où cette dernière s’éprenait de Titus (vers 194). En un alexandrin et un lieu mythique (tout à la fois emblématique de la Judée, de sa reine et de ses deux prétendants romains) le destin des trois personnages est scellé. 2) Bérénice - Son entrée peut éveiller chez Antiochus une trompeuse espérance : fuyant la joie importune de

calque très exactement son comportement sur celui des blanches. Dans Nini l’antagonisme racial est ramené à une question de couleur de peau et Nini aura beau s’envoler à la fin du roman vers l’Europe, elle ne sera jamais blanche. La faute des héroïnes de Sadji est de mépriser leurs racines culturelles africaines ; ce sont des personnages déracinés et la faute en revient certainement à la colonisation et à l’idéologie de l’assimilation. Beaucoup d’autres romanciers vont concentrer leurs productions

l’amour dans les paroles de la nourrice et de Mercutio et l’idéalisation d’un amour absolu chez Roméo est spectaculaire; la nourrice voit en l’amour une « bonne partie de plaisir » qui réjouit les sens et Mercutio prend en dérision la mythification des héroïnes amoureuses dans la littérature antique. Il désacralise par son ironie ce sentiment si noblement perçu et ressenti par Roméo : « Rien que les os, un vrai hareng saur ! O chair, comme te voici poissonnifié ! » (p 89)^ On peut même ajouter la vision

statut générique de la tragédie et de la comédie. Un grand héros classique Sujet 1 qui impose de s’interroger sur la notion de « grand héros classique ». Trois constituants du syntagme. Héros : le masculin semble empêcher de choisir une héroïne. Double sens. Sens fonctionnel, personnage principal dans une œuvre, sens conceptuel lié à la notion d’héroïsme. Est héros celui qui accomplit un certain nombre d’actions d’éclat, d’actes glorieux. L’héroïsme suppose une reconnaissance par la foule

Typologie racinienne, quelques figures[20] L’espace dans la tragédie racinienne[21] Bien que la scène soit unique, conformément à la règle, on peut dire qu’il y a trois lieux tragiques. Il y a d’abord la Chambre : reste de l’antre mythique, c’est le lieu invisible et redoutable où la Puissance est tapie : chambre de Néron, palais d’Assuérus, Saint des Saints où loge le Dieu Juif ; cet antre a un substitut fréquent : l’exil du Roi, menaçant parce qu’on ne sait jamais si le Roi est vivant

chantés en Allemagne puis en Italie, en gardant le même titre pour rendre hommage à l’opéra italien. c. Présence d’un élément mythologique : des éléments provenant de la mythologie grecque ou romaine sont repris dans quelques écrits. Un personnage mythique, un mythe total, reprise d’un espace géographique. On retrouve ce genre d’éléments dans des sonnets tels Le sang des dieux (1882), où est repris le mythe d’Antinaus, qui est un jeune grec extrêmement beau et qui fut le favori de l’empereur Hadrien

scène est immense. Elle peut représenter tout à la fois l'intérieur et l'extérieur d'un temple, d'un palais, d'un camp, d'une ville. On y déroule de vastes spectacles. C'est, et nous ne citons que de mémoire, c'est Prométhée sur sa montagne ; c'est Antigone cherchant du sommet d'une tour son frère Polynice dans l'armée ennemie (les Phéniciennes) ; c'est Évadné6 se jetant du haut d'un rocher dans les flammes où brûle le corps de Capanée (les Suppliantes d'Euripide) ; c'est un vaisseau qu'on voit surgir