Antigone Ou Le Choix

poésie lyrique du XXe siècle] Lecture aux vacances de printemps : lecture d’un roman du XXe siècle Balzac et la petite tailleuse chinoise de Dai Sijie Séquence 9 La tragédie dans le théâtre classique : Andromaque de J. Racine et du XXe siècle : Antigone de J. Anouilh Séquence 10 L’argumentation dans tous ses états (GT appartenant à tous les genres : théâtre, roman, poésie ; mais aussi image fixe et mobile, articles de presse etc.) Révisions pour le brevet Séquence 1 : Écrire court Cette

fin de la pièce quand l’enfant doit être attribué à l’une des deux femmes. En fonction du point de vue d’un metteur en scène, et de la femme qu’il a choisi de mettre en avant, le spectateur sera donc influencé tandis que le lecteur, lui à le libre choix de se mettre dans la peau de son personnage favori. La lecture permet également une meilleure compréhension, en effet, le lecteur peut lire à son rythme, le débit de parole des comédiens ne lui est pas imposé. Il peut relire un acte, une scène qu’il

personnage par la caractérisation directe et indirecte * Le personnage représentatif d’une vision de l’homme et de la société * Comparaison entre l’incipit et l’épilogue de Bel-Ami Lecture cursive d’une œuvre intégrale : Les élèves ont lu au choix L’Etranger de Camus ou L’Ecume des jours de Boris Vian. Les œuvres ont été exploitées dans le cadre d’un travail de dissertation : Dans quelle mesure les personnages de roman permettent-ils au lecteur de mieux connaître le cœur humain ? Séquence

goût et une autre sensibilité, comme le firent Du Bellay avec les Tristes d’Ovide ou Apollinaire avec la « Loreley » du poète allemand Clemens Brentano. Le poète accompagne ainsi un texte dans sa langue, semblant substituer à sa part de création un choix, un regard, une lumière portée sur un texte antérieur, par ce qui pourrait être compris comme un geste de totale soumission à son modèle, presque comme un effacement de soi. DOSSIER THÉMATIQUE LES RÉÉCRITURES libres, plus discrètes, se limitant à

goût et une autre sensibilité, comme le firent Du Bellay avec les Tristes d’Ovide ou Apollinaire avec la « Loreley » du poète allemand Clemens Brentano. Le poète accompagne ainsi un texte dans sa langue, semblant substituer à sa part de création un choix, un regard, une lumière portée sur un texte antérieur, par ce qui pourrait être compris comme un geste de totale soumission à son modèle, presque comme un effacement de soi. DOSSIER THÉMATIQUE LES RÉÉCRITURES libres, plus discrètes, se limitant

l’applique dans ses œuvres ; On se souviendra par exemple de la scène de fin de la pièce de théâtre « la machine infernale » où le héros déchu Oedipe qui, volontairement devenu aveugle, erre aux côtés du fantôme de sa mère/femme et de sa fille Antigone vers un avenir incertain. Cette définition se retrouve aussi dans le roman de Victor Hugo « Le dernier jour d’un condamné » où l’histoire est racontée à la première personne par le narrateur/condamné qui écrit quotidiennement les événements qu’il

Les Figures mythologiques Antigone Celle qui meurt pour rien ou simplement pour dire non ! A travers les siècles , elle a porté sur ses frêles épaules ce message de rébellion pure, obstinée et sans concession. Si dans la Grèce antique le devoir qu’on devait aux morts justifiait davantage son sacrifice, dans la tragédie transposée à notre époque il ne subsiste que l’entêtement à dire non, à refuser le compromis . Dans le théâtre d’ Anouilh l’argument s’efface, se dépouille de la

animaux, 1984 de G. Orwell, Fahrenheit 451 de Bradbury… • Mais recourez aussi à d’autres genres : – pièces de théâtre à teneur argumentative : Beaumarchais, Le Mariage de Figaro ; Marivaux, L’Île des esclaves, la Nouvelle Colonie ; Anouilh, Antigone ; Ionesco, Rhinocéros… – romans : Hugo, Les Misérables ; Zola, Germinal ; Camus, La Peste… Le théâtre « TOUT EST POUR LE PIRE… » • DISSERTATION • SUJET La poésie 27_FRA070631_07C.fm Page 191 Lundi, 30. juillet 2007 2:23 14 Amorce

seront mis de côté et aucunes évolutions n’aura eu lieu jusqu’ai XXème où les tragédies reviendront sous formes de mythe tragique et moins de théâtre avec par exemple, Antigone de Jean Anouilh. II- Les caractéristiques de la tragédie La tragédie à des caractéristiques qui lui sont propres, on les reconnait grâce à : Un choix de sujet noble qui fait référence aux personnages de hauts rangs évoqués dans la partie précédente Une action simple et grande qui doit finir dans le chagrin et le deuil

se poser la question du bien et du mal ? N’est-ce pas se tromper soi-même que d’essayer de se maintenir dans l’inconscience ?     Or très souvent, l’inconscience nous rend complice d’actes qui sont destructeurs. Nous devons constamment faire des choix et prendre des décisions. Pour cela il faut délibérer. L’homme vital est en nous, mais il est soumis à l’homme mental. Il ne peut pas nier sa propre conscience et sa pensée. Et cet homme qui pense a besoin de repères du bien et du mal, de principes