Antisémitisme

Odile Benyahia-Kouider dans son article « Qu’est ce qui fait rire les Allemands » Il est impensable également de se moquer de la Shoah sans qu’aussitôt toutes les organisations, associations, les ligues juives attaquent pour diffamation, pour antisémitisme, propagation nazie… La religion est aussi un autre sujet à prendre avec des pincettes : il suffit de se rappeler le scandale provoquée par la caricature de Mahomet. Cette histoire a provoqué un véritable tollé mondial car selon les religions abrahamiques

Grave erreur judiciaire, sur fond d’espionnage, de magouilles, d’antisémitisme. Bouleverse la société française pendant 12 ans. Touche toutes les sphères publiques françaises de l’époque : politique ( IIIe république), militaire, religieux (antisémitisme + ralentissement de la réforme du catholicisme en France), social, juridique, médiatique (importance de la presse), diplomatique (relations altérées de plus belle avec l’Allemagne), et culturelle puisqu’émergence du terme « intellectuels ».

déclenchement de « l’Intifadah des mosquées » et surtout après le 11 septembre 2001. Toutefois, s’il s’exprime plus ouvertement aujourd’hui, force est de constater que le discours antisémite était présent avant ces événements. Les manifestations de cet antisémitisme sont diverses. Tout d’abord, des graffitis ont fleuri dans certains établissements scolaires : « mort aux juifs », « nique les juifs », ... Les cours sont parfois l’objet de remarques clairement antisémites. Ainsi, il arrive que certains élèves

par la diffusion à la foule. « Comment le peuple allemand en est-il venu à détester les juifs au point d’entreprendre, dans la joie et toute bonne conscience, leur extermination systématique ? «  Pierre Sordin Hitler va donc entreprendre cet antisémitisme ancien. Il y ajoute des théories fumeuses soi disant scientifiques qui prouveraient la supériorité de la soi disante «  Race aryenne » sur la « Race juive ». Il s’appuie sur des théories assez fumeuses émises en particulier par un français le

Aller à :Navigation,rechercher Aller à :Navigation,rechercher Fiche de révision : les totalitarismes antisémitisme : doctrine raciste manifestant une hostilité complète vis-à-vis des juifs et musulmans totalitarisme : Système politico-économique cherchant à imposer son mode de pensée considéré comme le seul possible. Colonialisme : Doctrine politique qui prône l'exploitation par la métropole des territoires sous-développés qu'elle a pris en charge à son seul profit ou au profit unique des éléments

tant pis, il ne faut pas la corriger car ce serait reconnaitre l’injustice ce qui troublerait la France. L’armée est également une institution sacrée , la parole des officiers généraux a plus de pouvoir que celle des avocats. C : Religion et antisémitisme Drumont et Barrès se revendiquaient antisémites. Dans la propagande de l’Action Française, le juif est une menace pour la France. Bilan . Les antidreyfusards ont-ils laissé une trace sur la société ? D’un point de vue politique non, car leur

rejoindre collectivités avec outils→ productivité agricole paysans riches (Koulak) veulent pas aller aux Kolkhozes partent au Goulag (mort) nationalisation des entreprises→ plan quinquennal, contraintes pour la grandeur de l'Etat III – Racisme et antisémitisme nazis 1) Une idéologie nazis humanité composée de races hiérarchisée selon aspect physique (juifs responsables de tt) 2) Une politique antisémite avant 33 boycott juifs + propagande glorifiant race aryenne, séparat° des allemands (droits)

L’affaire éclate en 1897. Le vrai coupable est Esterahazy , jugé en 1890 puis acquitté. Réaction de Zola qui publie l’éditorial « J’accuse… ! » le 13 janvier 1898. La raison de l’Etat l’emporte sur les droits de l’Homme . Barier assume son antisémitisme en diant qu’il y a trop de juifs. La mobilisation des nati-dreyfusards passe par la presse , les caricatures, les pétitions. La Libre Parole de Drumont est un journal antisémite le plus célèbre de l’époque. Le Pèlerin et La Croix aussi. 1899 :

rapports de force. Justice et « droits de l’homme » sont des « illusions humanitaires ». Racisme et darwinisme social fustigent la démocratie, ce « régime des faibles » dont le Juif, cette antithèse de l’instinct et de la force, est le héraut. Cet antisémitisme laïque se superpose au vieil antijudaïsme chrétien. Ces deux formes du rejet coexistent dans une Europe occidentale où progressent la sécularisation et la laïcisation. Mais tandis que le rejet religieux surveillait, proscrivait, et cherchait

étudier l'Allemagne nazie avec les élèves? Au-delà de la relative originalité de ce choix, de l'ouverture vers l'histoire des arts, celui-ci se justifie par son caractère pratique: il permet d'aborder une grande variété des aspects du régime (antisémitisme, embrigadement et propagande, répression) avec assez peu de documents, et autorise le professeur qui le souhaite à aborder certaines problématiques plus poussées (les questions de l'adhésion et du consentement au régime notamment). Au N.S.D.A