Antispécisme

Peter Singer : Définition du spécisme : Le spécisme (ou espécisme) est défini comme une forme de discrimination concernant l'espèce, mise en parallèle avec toutes les formes de domination d'un groupe sur un autre comme le racisme (discrimination concernant la race) ou le sexisme (discrimination concernant le sexe). En pratique, le spécisme est l’idéologie qui justifie et impose l’exploitation et l’utilisation des animaux par les humains de manières qui ne seraient pas acceptées si les victimes

militants antispécistes dans l’article « antispécisme et lutte des classes »1 publié sur le site Paris-lutte.Info le 4 janvier dernier. De fait, pour ces militants, anticapitalisme et antispécisme semblent intrinsèquement lié. Pour autant, le rapprochement n’est pas si évident à concevoir. Afin de mieux comprendre ce qui pourrait lier ces deux idéologies, il est nécessaire de revenir sur ce qu’elles défendent et représentent respectivement. Le terme « antispécisme » et est apparu pour la première fois

spécisme est inacceptable selon les étudiants Regan, Fracione et Singer. Malgré qu’ils soient tous les trois antispécismes, nous pouvons remarquer une différence dans leur mouvement de libération animale. Soit une approche utilitariste pour Singer et une approche déontologique pour Regan et Francione. Le développement qui suit contient une brève définition du spécisme, les différences des antispécismes sur l’égalité, le droit et la liberté. Le spécisme est une discrimination envers l’espèce. Le fait de

néanmoins les agressions physiques sont extrêmement rare. Amis des animaux égal personnes déséquilibrées et dangereuses ? Totalement faux, la plupart des militants prônes la non-violence et la tolérance. Il ne faut pas tout stéréotyper… Antispécisme qu'est ce que c'est? Tout d’arbord qu’est ce que c’est le spécisme ? Le spécisme : (mot introduit en 1970)terme signifiant une discrimination basé sur l'espèce(par exemple l'homme est supérieur au singe et à le droit de réduire ceux si en

pertinent de considération morale, qui les différencie des végétaux (êtres vivants eux aussi) et les rapproche des hommes. « Les animaux sont capables de subir une injustice, un dommage, parce qu’ils sont capables de souffrir »9. Spécisme versus antispécisme, welferisme versus abolitionnisme Par ailleurs, avant d’en présenter les différents courants, J-B. Jeangène-Vilmer introduit deux notions qui sont centrales à l’éthique animale. La première, l’antispécisme, est une notion fondamentale apparue

arbitraire à telle espèce et pas à telle autre. Or le statut moral des animaux se pose parce que, à la différence des légumes ou des pierres, ce sont des êtres sensibles capables de souffrir. Du coup, contrairement à ce dont on l’accuse parfois, cet antispécisme n’incite pas à accorder aux animaux les mêmes droits qu’aux êtres humains. Qui voudrait en effet donner aux vaches le droit à l’éducation ? Mais il incite à prendre en compte cette capacité des animaux (êtres humains compris) à souffrir, notamment

influence humaine. Ce principe est alors incarné par l'écrivain John Muir, fondateur du Sierra Club, la plus anciennes organisation environnementales. Il inspire toujours de nombreux mouvements écologistes souvent dans leur vision la plus radicale (antispécisme...).- La conservation prônent l'usage avisé des ressources naturelles. Il s'agit de protéger la nature en tant que réservoir de ressources pour l'homme (idée qui inspire Colbert). Cette position plus modérée est défendue par l'ingénieur forestier