Antithese Femme

ANAPHORE n.f. | Répétition d’une même expression ou d’un même mot en début de phrase ou de vers | - Partout l’image idée, partout la pensée fleur, partout les fruits- Anaphore de "il y a" dans le poème Enfance III, de Rimbaud   | ANTITHESE n.f. | 2 termes de sens opposés dans une même phrase | - Le navire était noir, mais la voile était blanche | ASSONANCE n.f. | Répétition d’une même voyelle dans un groupe de mots | Assonance en [u] dans Je vous envoie un bouquet de Ronsard : 

disposés en sens inverse dans deux segments de phrase. EXEMPLE : Tel qui rit vendredi, pleurera dimanche. / Il faut manger pour vivre et non vivre pour manger. ANTITHESE : Rapprochement de deux choses opposées, dans une phrase ou un texte. EXEMPLE : Le directeur des ateliers était un homme bref et tyrannique. OXYMORE : Antithèse dans un même groupe syntaxique. GROUPE NOMINAL = nom + adjectif ou GROUPE NOMINAL = verbe + adverbe. EXEMPLE : Une flamme si noire. EUPHEMISME ( ou LANGAGE POLITIQUEMENT

| |2-    Une structuration  |  | |Le pour et le contre, les avantages, les inconvénients |        ANTITHESE | |Noms ou adjectifs valorisants ou dévalorisants |  | |Verbes de sentiments, portant un jugement, une opinion ( je |    

Chimène fait comprendre à Rodrigue qu'elle l'aime). A.10. EUPHEMISME : Atténuation de l'expression d'une réalité brutale ou blessante. Exemple(s) : Il a vécu. Il nous a quitté. Disparition = la mort. Demandeur d'emploi= chômeur. B. Les figures de l'opposition B.1. ANTITHESE : Mise en parallèle de deux expressions désignant des réalités opposées. Cette  forte   opposition,   souvent   renforcée   par   un   parallélisme   de   construction,   permet   de   mettre  vigoureusement en valeur une idée. Exemple(s) : "Ton bras est invaincu

en [s] dans Colombine[->0] de Verlaine[->1] :
    Cassandre sous son
    Capuce| ANAPHORE n.f.|Répétition d’une même expression ou d’un même mot en début de phrase ou de vers|- Partout l’image idée, partout la pensée fleur, partout les fruits| ANTITHESE n.f.|2 termes de sens opposés dans une même phrase|- Le navire était noir, mais la voile était blanche| ASSONANCE n.f.|Répétition d’une même voyelle dans un groupe de mots|Assonance en [u] dans Je vous envoie un bouquet[->2] de Ronsard[->3] :
 

en [s] dans Colombine de Verlaine :     Cassandre sous son     Capuce | ANAPHORE n.f. | Répétition d’une même expression ou d’un même mot en début de phrase ou de vers | - Partout l’image idée, partout la pensée fleur, partout les fruits | ANTITHESE n.f. | 2 termes de sens opposés dans une même phrase | - Le navire était noir, mais la voile était blanche | ASSONANCE n.f. | Répétition d’une même voyelle dans un groupe de mots | Assonance en [u] dans Je vous envoie un bouquet de Ronsard :

blanche Assonance en [u] dans Je vous envoie un bouquet de Ronsard : Qui ne les eût à ce vêpre cueillies Chutes à terre elles fussent demain. - Il regarde longtemps, longtemps cherche sans voir - Ces murs, maudits par dieu, par Satan profanés ANTITHESE n.f. ASSONANCE n.f. Répétition d’une même voyelle dans un groupe de mots CHIASME n.m. Structure en croix qui associe 2 termes deux à deux sans nécessairement qu’ils aient un rapport de sens COMPARAISON n.f. Etablir un parallèle

-------Pour faire un plan de dissert, il faut déjà comprendre le sujet. L'analyser. Savoir si la question est ouverte ou fermée. Tout le monde s'accorde à dire qu'une fois que tu sais ça, tu choisis entre, en gros, deux types de plan: thèse/ antithèse/ synthèse (facultatif) = plan dialectique QUESTION FERMEE (on a envie de dire oui/non/mais) OU plan à thèmes QUESTION OUVERTE (chaque partie = un aspect de la question) ------Il existe deux autres types de plan mais qui sont moins importants

+ «vouée» appartient au chp lex de la soumission + voix passive «vouée par» -> sujet = l'héroïne, subit l'action (=victime) + «vouée» appartient au chp lex de la fatalité -> fatalité de la condition féminine + «état» = métonymie pr être une femme + «silence et inaction» appartient au registre péjoratif -> difficulté de la condition féminine de l'époque l.3: «étourdie,distraite» connotation péjorative -> une image négative de la condition féminine l.4-5: «ceux...cacher» -> les filles

énonciation. Sa fonction narrative : elle répond aux mises en garde de Valmont à propos d’un danger qu’elle court : Prévan, un autre libertin s’étant vanté publiquement de la séduire. Piquée au vif, elle lui révèle combien il se méprend. Merteuil, une femme orgueilleuse 1) L’usage de la 1ère personne - le « moi » précédé d’un « mais » met en évidence le caractère exceptionnel de la lettre (elle qui n’est pas comme les autres l.3-4 ; pronom qu’on retrouve l.22 et 28