Antithese Femme

par un vocabulaire plus doux "tendres", "chérirons", "indulgent", "libre". Une fois qu'elle a convaincu, Marceline propose une solution pour le bonheur "il ne manquera rien à ta pauvre mère". II) Les procédés de l'argumentation A. Opposition homme/femme • Vocabulaire péjoratif pour les hommes : "ingrats", "mépris", "vains", "horreur ou pitié"... celui des victimes pour les femmes "jouets", "victimes", "infortunées". • Les verbes : ce sont les hommes qui agissent sur les femmes : "m'a permis

Picasso prend ses distances avec le Parti Communiste. Description (analyse dénotative). Au sein d' un plan d'ensemble, le tableau met en scène deux groupes de personnages qui forment contraste, les victimes et leurs bourreaux. Les oppositions (antithèses) sont nombreuses : à la nudité des femmes répondent les cuirasses des soldats (mi-nus toutefois), aux courbes féminines la rigidité des lignes horizontales et verticales définissant les hommes. En outre, si les visages des femmes apparaissent au

L’homme labourait son vaste terrain et élevait le bétail. Physiquement très demandant, les tâches extérieurs comme intérieurs occupaient bien la journée. Ce n’était pas aussi facile qu’aujourd’hui avec nos appareils beaucoup plus sophistiqués. La femme, elle, accouchait et élevait une douzaine d’enfants, ce en plus de cuisiner hiver comme été sur le poêle à bois et de faire la lessive de la grande famille incluant les couches non jetables et les couvertures, avec comme seul soutien technique une

situe 3 ans après celle du Barbier de Séville, dans le château du comte Almaviva qui a épousé Rosine. Plusieurs intrigues se nouent autour du mariage de Figaro (le concierge du château d’Aguas Frescas près de Séville) avec Suzanne (la camériste = femme de chambre de la comtesse). La pièce a souvent été considérée, par sa dénonciation des privilèges archaïques de la noblesse, comme l’un des signes avant-coureurs de la Révolution française. 2) Présentation du passage : Au début de l’acte II, où

famille ? - Modèles de famille. Thèse : Inconvénients :- On perd l’idée de mariage. - Banalisation du mariage - Discrimination et hostilité sociale Antithèse : Avantages : - Indépendance - Nouvelle attention aux enfants - Liberté dans la distinction des contours de la famille

attiré la suspicion , curiosité Structure d'opposition dans le texte (L4-7)→ « tandis que »→conjonction d'opposition « j'étais voué par état » , « j'ai su » →elle est privé de liberté mais elle sait en tirer profit , même du pire (L7) Oxymore , Antithèse → « douleur volontaire ». (L4) « On me croyait étourdi » →elle essaye de s'armer pour affronter les Hommes →ennemi →ne laisse pas de liberté au Femmes . Elle s'attaque aux hommes en tant que fonction , elle dénonce une société où les femmes sont

officielle eut lieu le 27 avril 1784 au théâtre de l'Odéon, après plusieurs années de censure. Dans cet extrait, on retrouve les personnages officiels de la pièce : Figaro, Bartholo et Marceline mais aussi Brid’oison et le comte. Marceline qui est une femme de caractère se lance dans un réquisitoire enflammé pour défendre la discrimination dont sont victimes les femmes à cette époque. Tout d’abord, nous étudierons les caractéristiques de cette comédie puis le plaidoyer engagé de Marceline. Tous les

interrogative « Qu’avez-vous ? », confirme l’affection qu’elle éprouve pour Lorenzo. B. Lorenzo le trouble-fête. Lorenzo interrompt sa tante et évoque Tarquin , le tyran romain, en commençant par « Il y avait une fois », ce qui forme une antithèse flagrante avec le nom de Tarquin : c’est « une histoire de sang », comme le dit Catherine. Ce choix de la part de Lorenzo montre qu’il refuse l’atmosphère paisible que s’efforçait d’instaurer Catherine. On peut comprendre que Lorenzo souffre du

« Le jeu de l’amour et du hasard », Acte I, scène 1. De « Quoi vous n’épouserez…. » à « …. qui a vécu avec lui ? ». Introduction Ce dialogue se situe au centre de la 1ère scène de « Le Jeu de l’amour et du hasard », la femme de chambre de Silvia, Lisette, vient raconter à sa maîtresse l’entretien qu’elle a eu avec le vieux gentilhomme, Mr Orgon : elle est vouée à être mariée par son père à un prétendant qu’elle n’a jamais vu. Orgon a demandé à Lisette si ce projet de mariage plaisait à sa

Tartuffe prend une posture de suppliant. On remarque l’omniprésence du "je", mais un "je" qui se dévalorise : "mon infirmité", "mon néant". La dame, elle, est "souveraine", a entre ses mains le sort de l'amant (v. 960, marqué par un parallélisme et une antithèse ; le "malheur" de l'amant dépend du caprice de l'aimée : "s'il vous plaît"). Tartuffe fait le récit des angoisses et des luttes vaines pour résister à l'attraction de la dame (946-48 et 976-978) Enfin, on constate l’invitation à l'amour partagé