Anton Tchekhov

partir de 1880 au théâtre en Scandinavie, en Russie, etc. Il n’y en a pas en France au début, mais ceux-ci se reprendront en ayant les premiers metteurs en scène. Les auteurs et artistes marquants sont Strindberg (1849-1912), Ibsen (1828-1906) et Tchekhov (1860-1904). Les caractéristiques de ce mouvement sont : l’objectivité, qu’on a l’impression d’atteindre quand le sujet s’efface, et l’engagement (on veut éveiller les masses); l’omniprésence de l’art, puisque tout est art et l’art est partout

A) La mouette Mise en scène par Frédéric Bélier-Garcia au théatre des Amandiers d’après la comédie en quatre actes d'Anton Tchekhov créée le 17 octobre 1896. Elle raconte l’existence de différents personnages, dont chacun plus complexe que l’autre, mènent une grande bataille immobile, qu’est la vie, où tout est toujours déjà « trop tard ». En effet, chacun poursuit un amour, une ambition, une chimère qui se dérobe quand il croit la tenir. Chacun se croit donc libre mais finalement se rend compte

malchance, d’être médecin, et il n’y a personne qui ne sente obligé de s’entretenir de médecine avec moi. […] Une situation sans équivalent12. » Une conférence de rédaction de Boudilnik. Tchekhov est le second à partir de la gauche (dessin de 1885). Le ton à moitié plaisant, empreint d'autodérision, qu’utilise Tchekhov dans ces propos est caractéristique d’une grande partie des lettres de ses années d’études ainsi que des années suivantes. Le travail n'est pas rendu difficile seulement du fait de l’état

La Cerisaie : Lecture Analytique Introduction) Nous sommes ici en présence d’une des pièces les plus connues d’Anton Tchekov, grand dramaturge russe à la fin du XIXe siècle : La Cerisaie, écrite en 1903, sa dernière pièce. Notre extrait se situe à l’acte III de la pièce, au moment où Lioubov Andreevna, la propriétaire, apprend que la Cerisaie va être vendue. Tchekov veut nous montrer ici, la fin d’un monde où l’on assiste à une véritable mutation sociale. LECTURE La question que vous m’avez

Stringberg (Le Pélican 1982) et Ibsen (Le Canard Sauvage 1993). En choisissant ces pièces, il souhaite y « arracher de la représentation le drame bourgeois » en proposant une nouvelle lecture. Il effectuera, par ailleurs, la même chose avec La Cerisaie de Tchekhov en 1998. Son parcours se poursuit par sa direction entre 1992 et 1996 au Centre Dramatique National de Savoie. Il y découvre Edward Bond et a comme «  une révélation » avec de dramaturge anglais. Grâce à lui, il met en scène un théâtre plus violent

jouer "vrai" était son obsession principale. Profitant de l'aide de généreux mécènes, il put développer son art pendant des décennies. Stanislavski a mis au point son système de jeu afin de répondre aux exigences naturalistes d'auteurs tels que Anton Tchekhov et Maxime Gorki. Toutefois, Stanislavski a sans doute été inspiré par des acteurs au jeu très classique. Stella Adler, qui fut le seul professeur d'art dramatique américain à avoir travaillé avec lui, le considérait comme un homme de tradition

Vienne dans une école privée; l’activité de professeur restera au cœur de toute son existence, de Berlin (1926, à l’Académie des Arts) à Los Angeles (UCLA jusqu’en 1944) et se prolongera à travers des cours privés. Longtemps après les premiers élèves Anton Webern et Alban Berg (1904), avec lesquels se forme ce que l’histoire retiendra sous le nom de Seconde école de Vienne, de nombreux autres créateurs suivront ses cours dont John Cage en 1935. L’année 1933 est décisive : reconversion au judaïsme (à

Arnold Schönberg est le fils d’une professeur de piano, Pauline, et de Samuel, qui tient un magasin. Le futur compositeur s’avère principalement autodidacte, même s’il reçoit des cours d'Alexander von Zemlinsky, ami et futur beau-frère. Tout comme Anton Webern, il admirait Richard Wagner, mais également il admirait Richard Strauss (certaines œuvres en découlent comme “la Nuit transfigurée“, sextuor à cordes de 1899, ou son premier quatuor à cordes, 1905). Le 7 octobre 1901 à Bratislava, il épouse

Le dodécaphonisme Le dodécaphonisme est un terme inventé par René Leibowitz, compositeur français du XXème siècle, qui signifie littéralement douze sons. Ce terme désigne une méthode de composition développée par le compositeur autrichien Arnold Schönberg dans les années 1920. Cette méthode se base comme son nom l'indique sur l'utilisation des douze sons de la gamme chromatique. Tous sont utilisés de manière égale, c'est à dire qu'il n'y a plus de tonique, de sous-dominante ou encore de dominante

Conservatoire Giuseppe Verdi de Milan chez Giulio Cesare Paribeni (contrepoint) et Giorgio Federico Ghedini (composition). C'est à cette époque qu'il découvre les compositeurs modernes de la seconde école de Vienne (Arnold Schönberg, Alban Berg et Anton Webern), mais aussi Bartok, Stravinski, Paul Hindemith et Darius Milhaud. Blessé à la main, il ne peut continuer ses études de piano et gagne sa vie comme accompagnateur de classes de chant. Il fait ainsi la connaissance de la soprano américaine Cathy