Apocalypse

Federico Fellini ; Gens de Dublin, John Huston ; Haute Pègre, Ernst Lubitsch ; La Vie est belle, Frank Capra ; Monsieur Verdoux, Charles Chaplin ; La Passion de Jeanne d'Arc, Carl Th. Dreyer. 21e ex aequo  : À bout de souffle, Jean-Luc Godard ; Apocalypse Now, Francis Ford Coppola ; Barry Lindon, Stanley Kubrick ; La Grande Illusion, Jean Renoir ; Intolérance, David Wark Griffith ; Partie de campagne, Jean Renoir ; Playtime, Jacques Tati ; Rome ville ouverte, Roberto Rossellini ; Senso, Luchino Visconti ;

PROBLEMATIQUE Références, citations, comparaisons : quand l’art (ré)écrit le XXème siècle. DOMAINE 1 Communication visuelle Nick Ut Vietnam Napalm, 06-08-1972 DOMAINE 3 Arts plastiques Banksy Napalm, 1994 DOMAINE 2 Cinéma Francis Ford Coppola Apocalypse Now, 1979 http://www.dailymotion.com/video/x5wn8d_apocalypse-now-le-napalmfils_shortfilms 

toits sont renversés sur les fondements"). L'insistance sur la totalité ("de tout âge et de tout sexe ") apporte une image de chaos : tous sont atteints sans qu'il y ait espoir de comprendre ce qui se passe. La vision qui se dessine est celle d'une apocalypse qui perturbe, fausse et détruit toutes les données habituelles du monde : ce qui tenait debout est abattu, ce qui vivait est détruit, ce qui était calme et en paix est déstabilisé. Mais cette déstabilisation est aussi morale. 2. Le bouleversement

droguent leur adhérents… Un autre danger serait les suicides collectifs qui ont lieu dans certaines sectes telles que le « temple solaire ». En effet cette secte qui mélange religion, ésotérisme (terme compris uniquement par les adhérents) et apocalypse, ont des objectifs très obscurs : Luc Jouret, gourou de la secte organisera plusieurs suicides collectifs dont un Le 5 octobre 1994, où 48 membres de l'OTS, dont Jouret et Di Mambro sont partenaire, périssent tués par balle et brûlés. Le plus incompréhensible

employant une graisse ou une émulsion d’œuf pour lier les couleurs. Celles-ci sont ternes (gris, noir) et d’autres couleurs plus chaudes comme le rouge et le marron qui symbolisent le sang et la boue. La lumière ne paraît pas naturelle comme une vision apocalypse et de désespoir. Les formes sur les panneaux de gauche et de droite sont surtout droites. Alors que sur le panneau central elles sont courbées et enchevêtrées reflétant ainsi le chaos et la désolation d’un champ de bataille. DESCRIPTION Les couleurs

voulait prendre la place de Dieu ! Mais il fut précipité sur la terre. Apocalypse 12 :3-9 nous révèle que Lucifer, appelé maintenant Satan ou « l’adversaire », entraîna avec lui, dans sa rébellion cosmique, le tiers des armées angéliques ! (Dans la Bible, les “étoiles” symbolisent souvent les anges, comme nous pouvons le lire dans Apocalypse 1 :20). Or, puisque le nombre des anges est supérieur à cent millions (Apocalypse 5 :11), Satan a dû séduire des dizaines de millions d’anges, qui sont devenus

grondeuse est montrée par l’auteur en une large fresque, cette « vision rouge de la révolution », au vacarme tonnant des gros sabots sur la terre dure. La fosse du Voreux est un monstre puissant, et le puits qui à la fin coule à l’abîme semble une apocalypse, ou une apothéose, selon la perspective. Lantier qui tente de sauver Catherine pour la ramener vers la lumière est un nouvel Orphée, ayant abandonné sa lyre élégiaque pour entonner le chant plus à propos de l’Internationale. Il y a du Dante dans

Aujourd'hui encore, les cinéastes continuent à produire autour de ce thème, le rendant typique du cinéma américain. Citons, pour les pros-Vietnam, Voyage Au Bout de l'Enfer, de Cimino et les Rambo I et II. Pour les contre, et parmi les plus célèbres, Apocalypse Now, American Graffiti, Platoon, Good Morning Vietnam, Full Metal Jacket, Forrest Gump, Tonerre Sous Les Tropiques... Il est intéressant de noter qu'outre de (trop) rares reportages, aucun film n'est produit par les sociétés américaines à ce sujet

comprendre ce qui s'y passe; on peut évoquer aussi La Débâcle de Zola. Au XXème siècle, de nombreux écrivains dénoncent les boucheries de la première et de la deuxième guerre mondiale Céline, Voyage au bout de la nuit. S'y joignent peinture et cinéma, Apocalypse Now, Francis Ford Coppola.

liberté, égalité et fraternité. Pour continuer sur le thème de la guerre, l'extrait de Full Metal Jacket visionné met en exergue la manipulation, car c'est en période de trouble que nous retrouvons la manipulation à son paroxysme. Contrairement à Apocalypse Now ou Platoon, Kubrick pose sa caméra à la manière d'un documentariste pour donner du réalisme, mais son approche n'est pas vaine. Il cherche à diaboliser l'armée, la mise en scène est millimétré de façon à tourner la vie sociale de l'armée