Apollinaire Alcools Commentaires

guerres mondiales. Écrire ne va plus de soi : la littérature est souvent remise en question. 10 Fiches de révision-FR40 • Au début du siècle, les écoles (naturaliste, symboliste) s’effacent. Les écrivains prônent la liberté poétique (APOLLINAIRE) ou l’exploration romanesque du moi (PROUST). • Le surréalisme (1924-1940) Il entend rompre avec le conformisme littéraire pour libérer le langage de toutes les entraves de la morale et de la conscience (BRETON, ARAGON, ÉLUARD). • La littérature

l’opprime car selon Zola, le prolétariat (gens les plus pauvres) n’est pas responsable de sa situation. Il est donc plutot fataliste que révolutionnaire car il décrit la situation telle qu’elle est et on verra bien si les choses s’améliorent. - Commentaire des arbres généalogiques: (Feuilles en mains) Zola voulait montrer la vérité des lois de l’hérédité, l’influence de la société sur certains défauts et l’histoire du second empire à travers cette famille. L’Assommoir - Titre: Champ sémantique

constitue une des formes importantes du renouveau poétique dans le dernier tiers du XIXe siècle et son influence sera grande, à travers les symbolistes comme Jean Moréas et les décadentistes, et le poète aura de nombreux héritiers comme Guillaume Apollinaire qui « tend une main à Verlaine » (Michel Décaudin) avant de s'ouvrir à d'autres modernités . “fetes galantes”: 1)ref à Watteau : .surnommé peintre des fetes galantes au XVIIIe .thème des parcs,paysages,amoureux==>aspect pictural/pers hérité

images sont nombreuses et leurs significations variées. Ainsi, un même comparant peut avoir, selon les poèmes, une valeur positive (méliorative) ou négative (péjorative). 1. Les débuts de l'hommeWilhelm Apollinaris de Kostrowitzky dit Guillaume Apollinaire (1880-1918), fils naturel d'une aristocrate polonaise et d'un officier italien, naît en 1880 à Rome. Son enfance est partagée entre la vie instable de sa mère et les pensions qu'il fréquente. En 1899, il s'installe à Paris, vit de petits métiers

sa forte teneur en imagesIdée que l’intensité du court-circuit poétique, provoqué par l’image, rapprochement de deux réalités distantes, est proportionnelle à cette distance même (on retrouve l’esthétique de la surprise chère à Baudelaire et à Apollinaire)Mais trop de surprise ne surprend plus : le rapprochement d’objets insolites est devenu le poncif surréalisteAndré Breton : c’est l’extrême concentration de l’image (l’exactitude de sa forme) qui produit sa force poétique. Sa valeur efficace se

d’autobiographie (journal intime), il avait une amie Julie Charles. Avec le lac, il pense à cette femme (vivant, bien sûr), il revient sur le même lieu et il se souvient de ce rencontre. Dans l’évocation du passe qui revit ses sentiments. COMMENTAIRE DU POÈME 1. Le thème : L’amour, la mort→ LE TEMPS PASSÉ. Et aussi il y a un autre thème important que c’est la NATURE. • Introduction : très bref information de l’auteur et le contexte. Nous devons situer le contexte de la méditation

la littérature romantique, on pourra consulter : James M. West, The French Face of Ophélia from Belleforest to Baudelaire, University Press of America, 1984. 2. La Réunion des musées nationaux a consacré un court ouvrage à la reproduction et au commentaire de cette suite lithographique : Arlette Serullaz et Yves Bonnefoy, Delacroix et Hamlet, Éditions de la Réunion des musées nationaux, « Musarde », 1993. OPHÉLIE : HISTOIRE D’UN MYTHE FIN DE SIÈCLE 83 L’iconographie préraphaélite pose

(1999). - Denis Merle, Métamorphoses, livre X, Ellipses, collection 4/40 Etudes antiques (2000). - Le Cédérom Les Métamorphoses d’Ovide : il comprend le texte latin, la traduction par Danièle Robert, 110 récits sonorisés, 700 commentaires animés et 800 images pour une durée de 5 heures. Il est commercialisé au prix de 60 euros par Cadmos, 41 rue de Richelieu, 75001 Paris (01 53 80 24 09 ; fax : 01 45 89 21 46 (http://www.cadmos.fr/). - On trouvera dans Enigmes romaines

texte est à première vue sa traduction, versant heureux du plagiat, variation infime apparemment puisque simple passage du même dans une autre langue, un autre goût et une autre sensibilité, comme le firent Du Bellay avec les Tristes d’Ovide ou Apollinaire avec la « Loreley » du poète allemand Clemens Brentano. Le poète accompagne ainsi un texte dans sa langue, semblant substituer à sa part de création un choix, un regard, une lumière portée sur un texte antérieur, par ce qui pourrait être compris

texte est à première vue sa traduction, versant heureux du plagiat, variation infime apparemment puisque simple passage du même dans une autre langue, un autre goût et une autre sensibilité, comme le firent Du Bellay avec les Tristes d’Ovide ou Apollinaire avec la « Loreley » du poète allemand Clemens Brentano. Le poète accompagne ainsi un texte dans sa langue, semblant substituer à sa part de création un choix, un regard, une lumière portée sur un texte antérieur, par ce qui pourrait être compris