Apollinaire Themes

voyage en Rhénanie est une période très importante de la vie artistique de Guillaume Apollinaire. En effet, après avoir été engagé par la vicomtesse de Milho pour enseigner le français à sa fille Gabrielle, le poète quitte Paris en leur compagnie et gagne la Rhénanie en Septembre 1901 . Ils sont accompagnés la gouvernante Annie Playden. Installés dans la villa Neu-Glück située a Bennerscheid, puis à Honnef, Apollinaire découvre des paysages nouveaux et des légendes qui l'inspirent énormément... «  Le

Guillaume Apollinaire, de son vrai nom Wilhelm Albert Włodzimierz Apolinary de Wąż-Kostrowicki[1], né le 26 août 1880 à Rome et mort pour la France le 9 novembre 1918 à Paris, est un poète et écrivain français, né polonais, sujet de l'Empire russe. Il est l'un des plus grands poètes français du début du XXe siècle, auteur notamment du Pont Mirabeau. Il a écrit également quelques nouvelles et romans érotiques. Il pratiquait le calligramme (terme de son invention désignant ses poèmes écrits en forme

rythme harmonieux et une présentation en vers. Cependant les artistes vont avec le temps arrêté de suivre ce type de poèsie. En effet, Baudelaire modernisera la poésie en voulant faire des poèmes en prose sans rythme et sans rime. Guillaume Apollinaire, auteur du XX siècle auteur du recueil Alcool, ne respecte pas les règles classiques non plus. Il dénudera tout les aspects de la poésie en excluant la ponctuation et en réalisant des jeux de mots. Cependant il créer ses propres règles comme avec

lien avec ce poème : -Le dormeur du val de Denis Cousin : -le dormeur du val d’Alain Perrin : Il y a en a d’autre, mais je n’ai pas trouvé les peintres correspondant : 2-la colombe poignardée de Guillaume Apollinaire (1880-1918) : Douces figures poignardées chères lèvres fleuries Mya Mareye Yette et Lorie Annie et toi Marie Où êtes-vous ô jeunes filles Mais près d'un jet d'eau qui pleure et qui prie Cette colombe s'extasie Tous les souvenirs de naguère

Guillaume Apollinaire Guillaume Apollinaire, de son vrai nom Wilhelm Albert Włodzimierz Apolinary de Wąż-Kostrowicki est né à Rome le 26 aout 1880, et mort pour la France le 9 novembre 1918 à Paris. Sa mère, Angelika Kostrowicka, appartenant à l'Empire russe était issue de la noblesse polonaise, et son père était sûrement Francesco Flugi d'Aspermon, un officier italien. Son enfance passée avec son demi frère Albert à Monaco a nourri le fruit de son imagination. Entre 1902 et 1907 il travailla

Guillaume Apollinaire, de son vrai nom Wilhelm Albert Włodzimierz Apolinary de Wąż-Kostrowicki[1], est un écrivain français (né polonais, sujet de l'Empire russe), né le 26 août 1880 à Rome et mort le 9 novembre 1918 à Paris. Il est l'un des plus grands poètes français du début du XXe siècle, auteur notamment du Pont Mirabeau. Il a écrit également des nouvelles et des romans érotiques. Il pratiquait le calligramme (terme de son invention désignant ses poèmes écrits en forme de dessins et non de

italien. Il arrive en 1887 à Monaco, puis poursuit des études aux lycées de Cannes et de Nice. En 1899, il passe l'été dans la petite bourgade wallonne de Stavelot, un séjour quitté à "la cloche de bois": ne pouvant payer la note de l'hôtel où Apollinaire réside avec son frère et sa mère, la famille doit quitter la ville en secret et à l'aube. L'épisode wallon féconde durablement son imagination et sa création. Ainsi de cette époque, le souvenir des danses festives de cette contrée : " C'est la maclotte

jours et passent les semaines Ni temps passé Ni les amours reviennent Sous le pont Mirabeau coule la Seine Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Guillaume Apollinaire (1880 - 1918) Etude du poème: 1) Étude du lexique 2) Étude de la syntaxe 3) Étude du mètre et du rythme 4)Étude de la structure ____________________________________________________________ ___________________________________________

l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. VICTOR HUGO, Les Contemplations Doc B: Si je mourais là bas... GUILLAUME APOLLINAIRE, Poème à Lou Si je mourais là-bas sur le front de l'armée Tu pleurerais un jour ô Lou ma bien-aimée Et puis mon souvenir s'éteindrait comme meurt Un obus éclatant sur le front de l'armée Un bel obus semblable aux mimosas en fleur Et puis

Recueil poétique de Guillaume Apollinaire, pseudonyme de Wilhelm Apollinaris de Kostrowitzky (1880-1918), Poèmes à Lou fut publié partiellement sous le titre Ombre de mon amour à Genève chez Pierre Cailler en 1947. Si quelques poèmes avaient paru dans l’Apollinaire d’André Rouveyre en 1945, une édition intégrale en fac-similé intitulée Poèmes à Lou vit le jour à Genève chez Cailler en 1955. Les Poèmes à Lou, pourvus ou non d’un titre, ont été écrits entre le 8 octobre 1914 et la fin de septembre