Apollinaire écriture Poétique

et Louise Labé. 3 - La poésie du XVIIe siècle : 3.1 La poésie baroque : goût de l'ornementation et langage à effet.Théophile de Viau, Pierre de Marbeuf. 3.2 La poésie classique : Malherbe (règles de la versification), Boileau (Satires et Art Poétique) et La Fontaine (fables moralistes). 4 - La poésie du XVIIIe siècle : André Chénier, mort sous la Terreur. Versification très classique. Fabre d’Églantine (Il pleut bergère) 5 - La poésie du XIXe siècle : 5.1 Le romantisme : de

sentiments personnels et un instrument lui permettant de s’engager avec force et conviction contre l’oppression et la barbarie, pour défendre un idéal de paix, de liberté et de justice. Cette séquence propose de mettre en évidence combien la langue poétique se met au service des sentiments et de l’engagement. L’objectif premier de cette séquence est de faire de l’élève un lecteur autonome capable de lire entre les lignes. - public visé : une classe de 3ème très hétérogène (de ZEP)

chef de file du mouvement, en raison de son autorité et de son originalité : inspiré par Baudelaire, Mallarmé, Lautréamont, Rimbaud et Apollinaire (poètes de la fin XIXème siècle), il cherche les « correspondances » du monde réel, que peuvent seules mettre à jour des techniques comme l’écriture automatique ou le rêve éveillé. Il cherche un nouveau langage poétique, libéré de toutes contraintes, qui laisse s’exprimer l’inconscient. Oeuvres principales : 1924, Manifeste du surréalisme. 1928, Nadja

mais encore le symbolisme, et poètes tels que Baudelaire. Charles Baudelaire (1821-1867) est un poète et critique d’art reconnu pour la qualité de son œuvre poétique. Le poète détache dans ses poèmes la poésie de la morale et puise dans les thèmes triviaux et laids tels que la boue pour les transformer en « or » par le processus d’alchimie poétique : on le qualifie alors de poète de la modernité. C’est ainsi qu’il fait paraître en 1855 dans

poète. Les règles peuvent donc servir au poète. De plus, certaines contraintes imposées multiplie l’effet poétique, d’où l’utilité d’une construction soignée et réfléchie. Par exemple, le mouvement Oulipo (Ouvroir de littérature potentielle) cherche la contrainte pour développer une poésie étrange. On peut parler ici de la règle S + 7, qui consiste à remplacer

héritier d'une longue tradition orale, privilégie la musicalité d'où, dans la plupart des textes poétiques, le recours au vers qui apporte aussi la densité. Mais le poète recherche aussi l'expressivité par le poids accordé aux mots comme par l'utilisation fréquente des figures de styles et au premier chef des images, comparaisons et métaphores, recherchées pour leur force suggestive. L'expression poétique (expression peut-être préférable à « poésie » car plus générale) s'est constamment renouvelée

Marceline DEBORDES-VALMORE : « Qu’en avez-vous fait ? » * B : Etienne JODELLE : « Sonnet » * C : Victor HUGO : « Parfois, lorsque tout dort… » * D : Guillaume APOLLINAIRE : « Les cloches » * E : Pierre REVERDY : « Tard dans la vie » I) Questions : 1- Analyser brièvement les différentes formes poétiques représentées dans ce corpus. Dites en quoi le texte E présente une rupture caractéristique de la poésie moderne. Le corpus soumis à notre étude est composé de cinq poèmes

de la fonction politique III. Son discours est au service de l’action. A. Son action est directe B. Victor Hugo fait appel à leur responsabilité C. Hugo utilise un ton lyrique pour susciter l’acte le pont mirabeau de guillaume apollinaire 1. LA FORME POETIQUE a. 4 quatrains et refrain sous forme de distique (2 petits vers qui reviennent toujours) Forme:10/4/6/10. b. Refrain : vers impairs, heptasyllabes (élément essentiel de la musicalité depuis Verlaine) c. Premier vers repris à la fin

chef de file du mouvement, en raison de son autorité et de son originalité : inspiré par Baudelaire, Mallarmé, Lautréamont, Rimbaud et Apollinaire (poètes de la fin XIXème siècle), il cherche les « correspondances » du monde réel, que peuvent seules mettre à jour des techniques comme l’écriture automatique ou le rêve éveillé. Il cherche un nouveau langage poétique, libéré de toutes contraintes, qui laisse s’exprimer l’inconscient. Oeuvres principales : 1924, Manifeste du surréalisme. 1928, Nadja

pléiade, poésie savante imitée des grecs et des latins, manifeste de la pléiade « défense et illustration de la langue française », maître du sonnet, précurseur du romantisme ? Mélancolie maladive, goût blessé de la perfection, recherche de l’idéal poétique, thèmes : amour, nature, exil, solitude, temps… Louise Labé (1524-1566) : Réputation plutôt scandaleuse (Calvin critiquera la liberté de ses mœurs), poésie de l’amour sensuel, amour meurtri aux plaisirs indécis Ronsard (1524-1585) : Le « prince des