Apologie De Socrate

d’un escalier qui renvoie à une succession de connaissance et qui contribue à l’élévation de celui qui les possèdent (cumulative et qualitative). Références textuelles : 1ère référence : Platon, le mythe de la caverne. C’est un récit produit par Socrate où il veut déterminer la situation humaine à l’égard de la culture, païdega (qui signifie pédagogie), autrement dit la formation, la culture, l’éducation. C’est une maîtrise de soi. Ce mythe intervient dans une réflexion sur la formation des gardiens

remède contre le déséquilibre des humeurs et aussi contre les affects du corps. Ainsi, au-delà de la vision d’Hippocrate dont sa conception à l’endroit de l’art est un remède comment conçoitSocrate cette notion ? De Platon, Socrate a élaboré son système artistique autour d’une inspiration divine. C’est un système de pourvu de technique. Raison pour laquelle, selon lui, la poésie est en effet une connaissance qui émane de l’inspiration divine.Car :  « Ce n’est donc

fait, vous êtes souvent en désaccord avec leur conception. Pour quelles raisons ? La question du rapport des philosophes à l’amour est en effet compliquée. Le livre écrit par Aude Lancelin et Marie Lemonnier, Les Philosophes et l’amour. Aimer, de Socrate à Simone de Beauvoir, le montre très bien. Le livre est d’autant plus intéressant qu’il combine sans aucune vulgarité ni vulgarisation l’examen des doctrines et l’enquête sur la vie des philosophes. En ce sens, il n’a pratiquement pas de prédécesseur

que je voyais hier en crédit et qui demain ne l’est plus ? Ou que le tracé d’une rivière change en crime ? Quelle vérité est-ce là, qui devient mensonge au-delà des montagnes qui la bornent ? Michel de Montaigne, Essais (1595), II, 12, Apologie de Raymond Sebond Au siècle suivant, Blaise Pascal, s’inspirant de Montaigne, reformule les mêmes idées : Plaisante justice qu’une rivière borne ! Vérité au-deçà des Pyrénées, erreur au-delà. Ils confessent que la justice

cette chose, que je voyais hier en crédit et qui demain ne l’est plus ? Ou que le tracé d’une rivière change en crime ? Quelle vérité est-ce là, qui devient mensonge au-delà des montagnes qui la bornent ? Michel de Montaigne, Essais (1595), II, 12, Apologie de Raymond Sebond Au siècle suivant, Blaise Pascal, s’inspirant de Montaigne, reformule les mêmes idées : Plaisante justice qu’une rivière borne ! Vérité au-deçà des Pyrénées, erreur au-delà. Ils confessent que la justice n’est pas dans ces coutumes

av JC est prosaïque. LF ne cherche pas à s’attribuer l’originalité des fables. Le projet a été mené à bien. Dans un premier temps, LF cherche à gagner en légitimité ce qu’il ne peu avoir en originalité. En effet, ce projet avait déjà été mené par Socrate. Le projet de LF est justifié. A l’origine, fable = conte, récit en prose, dont mes caractéristiques = dépouillement et brièveté. Les fables sont sues de tout le monde, elles sont le fond commun culturel dans lequel il n’y a qu’à puiser. L’objectif :

est l’activité intellectuelle la plus noble. Selon lui, cette façon de voir était très bien à l’époque. Benjamin Constant pointe aussi du doigt la religiosité. Il y a une véritable religion d’état, le principe de laïcité n’a aucun sens. Exemple, Socrate condamné à mort pour avoir éloigner la jeunesse de la religion commune. L’être le plus indépendant de la société est paradoxalement l’esclave. A l’inverse, la liberté des modernes. C’est exactement le contraire. Renversement de civilisation selon

__________________________________________________________ 19 CHAPITRE V: Du pouvoir domestique; rapports du mari à la femme, du père aux enfants. — Vertus particulières et générales de l'esclave, de la femme et de l'enfant. — Différence profonde de l'homme et de la femme; erreur de Socrate; louables travaux de Gorgias. — Qualités de l'ouvrier. — Importance de l'éducation des femmes et de celle des enfants. ___________________________ 21 LIVRE II: EXAMEN CRITIQUE DES THÉORIES ANTÉRIEURES ET DES PRINCIPALES CONSTITUTIONS. ______

courtois et affable, dépourvu de l'arrogance de celui qui croit savoir et pis encore pouvoir enseigner. Ce qu'il sait, c'est, à comparer l'étendue de son parcours avec celui qui fait son propos ( la superficie d'un jardin cultivable), c'est comme Socrate « que tout ce qu'il sait c'est qu'il ne sait rien ». Il a désappris ce que Pangloss lui avait appris et il a donc appris à apprendre : c'est à dire qu'il est désormais ( conséquence sur une durée à venir) disponible, sans esprit de système, pour

emporté, de sorte que jamais on ne put- dire de lui : « Il en sue 1 » Mais toutes ses actions étaient distinctement réfléchies, comme à loisir, sans trouble, avec ordre, vigueur et accord dans leur suite . On pourrait lui appliquer ce qu'on rapporte de Socrate, qu'il était aussi capable de se priver que de jouir de ces biens, dont la plupart des hommes ne peuvent être privés sans amoindrissement ni en jouir sans s'y abandonner . Être fort et maître de soi, modéré dans les deux cas, sont d'un homme ayant