Appât

ses désirs ont été niés par ceux qui lui ont imposé un mariage contraire à ses inclinations. Dandin ne s’est jamais préoccupé de ses sentiments. Ses parents n’ont pas eu davantage de considération pour elle : ils n’ont accepté son mariage que par appât du gain. Face à ces abus de pouvoir, elle refuse de se soumettre. déclare que mon dessein n’est pas de renoncer au monde, et de m’enterrer toute vive dans un mari. » (acte II, scène 2) Pour elle, le mariage est synonyme de mort. Elle exprime face à

1) Introduction : Le texte proposé à l’étude est extrait de la scène 10 de l’Acte III du Malade imaginaire , dernière pièce écrite et créée par Molière, peu avant sa mort de maladie, en 1673. Dans cette pièce jouée quatre fois du vivant de son auteur, où Molière lui-même interprétait le rôle du « malade imaginaire », le dramaturge met en œuvre une critique acerbe de la médecine et des médecins charlatans de son époque, tout en mettant en œuvre tous les moyens

c'est Alex qui ment à sa mère, mais aussi la mère qui ment à ses enfants en leur cachant les lettres que leur père, enfui à l'ouest, leur avait envoyées. De l'autre, c'est la RDA qui cache le réel sous des formules stéréotypées, tandis que la RFA appâte les Allemands de l'Est avec son Deutsche Mark et ses temples de la consommation. La désillusion est amère : chômage plus lourd et niveau de vie plus faible qu'à l'Est. Les discussions acerbes entre Rainer (le copain d'Ariane) et Alex, résument parfaitement

les mœurs populaires. Dès ses origines, il est devenu pour elles une nouvelle source de culture qui non seulement leur était accessible mais concernait leurs « petits » intérêts. Devenu une industrie dans les mains des industriels Pathé et Gaumont appâtés par le gain, il a conquis et fidélisé le peuple en le prenant par les sentiments. Georges Mélies et de Émile Cohl en ont fait un art pour le ravissement des yeux des grands comme des petits. On a donc, dans un sens, les intérêts populaires qui ont

garçon qui apparait comme « joyeux, innocent et sans cœur » et qui semble donc insensible à la jeune fille. A cause de sa jalousie, Clochette va révéler au Capitaine crochet, l’ennemi juré de Peter Pan, où est cachée Wendy, afin qu’il l’enlève pour appâter Peter et obtenir un duel. Capturée; Wendy est convoquée dans la cabine du Capitaine Crochet où ce dernier lui certifie que Peter ne pourra jamais aimer et lui propose alors de rejoindre la piraterie. Wendy, attristée par les paroles du capitaine

y a plusieurs façons de l'interpréter, mais la manière la plus évidente est qu'elle va permettre à Lorenzo de constater toute l'étendue de la corruption de son double, en effet, il n'hésitera pas à vendre sa tante au Duc : Catherine utilisée comme appât Marie Soderini et Catherine parlent de Lorenzaccio et de la honte qu’il représente  Elle est le seul personnage avec Philippe Strozzi et Catherine Ginori à voir et ressentir le mal-être de Lorenzo. Elle est aimante et attentionnée envers son fils

mariage et va tenter de rendre jalouse sa cousine en utilisant Rosette. • D’après moi Rosette est trop innocente pour réellement « aimer » Perdican mais elle a probablement des sentiments pour lui quelque part. Celui-ci se sert d’elle comme appât pour attiser la jalousie de Camille. Rosette, elle, se laisse amadouer par les beaux gestes et paroles de Perdican, il la fait se sentir femme, ce dont elle lui est reconnaissante, mais elle n’oublie pas qu’il est son seigneur, ce qui le place au-dessus

« détour » par la fiction ? La Fontaine écrit, dans les Fables, à propos de l'apologue : «  C'est proprement un charme : il rend l'âme attentive, Ou plutôt il la tient captive  » Selon le fabuliste, la fiction séduit le lecteur, et fonctionne comme un appât : elle ensorcelle par le récit du conte ou de la fable, et la moralité (ou la thèse défendue) devient ainsi plus « digeste ». L'essai peut en effet apparaître comme ardu et rebutant. Un récit au contraire est toujours plaisant par les animaux qu'il

l'esprit, en refusant tout effort. Je joue au sens strict du mot.". Joueur médiocre, il participe peu aux deux parties engagées contre Czentovic où Mac Connor faisait face au champion en avançant les pions. Le jeu d’échec est aussi pour le narrateur un appât pour attirer Czentovic : " n'était-ce pas en jouant aux échecs qu'assurément on attirait le mieux l'attention d'un joueur d'échecs ?". b) Le champion du monde d’échecs : Czentovic Il joue aux échecs mais il n'est pas obsédé par les échecs

10 avec le préambule. Ce texte nous propose une argumentation serrée. Au 1er regard, on a l' impression que c' est un plaidoyer pour l'esclavage mais c' est en réalité un violent réquisitoire contre cela (tout est implicite). - Préambule qui appâte le lecteur - 1er argument : économique et historique ( lignes 3 à 7) - 2ème argument : esthétique, racial et (l.8 à10) - 3ème argument : théologique (l.11 à13) - 4ème argument : ethnologique (l.14 à 18) - 5ème argument: ethnologique